Depuis début janvier, les professionnels de santé vous demandent de présenter votre carte de mutuelle 2023.
De quelle carte s’agit-il ? À quoi sert-elle ? Que contient-elle ? Où la télécharger en version numérique ? Voici nos réponses à 12 de vos questions !
La carte de mutuelle (appelée aussi "carte tiers payant" ou "carte d’adhérent") est un document très important pour la prise en charge de vos dépenses de santé.
👉 Elle atteste aux professionnels de santé à qui vous la présentez que vous bénéficiez bien d’une complémentaire santé, et vous permet de bénéficier du tiers payant, afin d’éviter l’avance de vos frais de santé.
👉 Non, la carte de mutuelle est incluse dans votre contrat de complémentaire santé.
Si elle porte le nom de tiers payant, c’est qu’il s’agit du nom du système national qui vous dispense de faire l'avance des frais médicaux.
👉 Non, la carte tiers payant a un rôle différent et complémentaire de celui de la carte Vitale.
Leurs points communs :
Vous les présentez à vos professionnels de santé.
Ce sont des cartes personnelles qui comportent des données confidentielles.
Elles contiennent les informations nécessaires à la prise en charge de vos soins médicaux.
Elles facilitent la prise en charge de vos dépenses de santé.
Leurs différences :
La carte Vitale est une carte rigide verte, établie par votre organisme de sécurité sociale ; la carte tiers payant est une carte en papier souple, fournie par votre mutuelle.
La carte Vitale est une carte à puce qui transmet les informations à l'Assurance maladie ; la carte tiers payant atteste de vos droits de complémentaire santé pilotés par votre mutuelle.
La carte Vitale n’a pas de fin de validité et doit être mise à jour chaque année chez un professionnel de santé ; la carte tiers payant est établie pour une période définie (souvent 12 mois) et est remplacée à son échéance.
Conçue pour tenir facilement dans votre portefeuille, votre carte de mutuelle est éditée en petit format. Le revers de la médaille : il n’y a pas beaucoup de place pour y noter toutes les informations en détail !
👉 C’est pourquoi les catégories de prestations de santé sont codifiées à destination des professionnels de santé.
Voici leur signification (pour vous aider, leur libellé est également inscrit au dos de la carte) :
PHAR : Pharmacie remboursable
MEDE : Médecin spécialiste et généraliste
SVIL : Sage-femme - Laboratoire d’analyse - Radiologie - Auxiliaire médical - Fournisseur (hors opticien et audioprothésiste)
TRAN : Transport sanitaire
CSTE : Centre de soins
OPAU : Optique et auditif
DESO : Soins dentaires
DEPR : Prothèses dentaires
DEOR : Orthodontie
EXTE : Soins externes
HOSP : Hospitalisation (hors soins externes)
👉 Non, pas forcément.
Ce qui est indiqué sur la carte tiers payant n’est pas le reflet exact de vos garanties, mais l’information du niveau de tiers payant dont a besoin le professionnel de santé qui demande à consulter votre carte.
👉 Les pourcentages expriment les taux de prise en charge des dépenses de santé, établis à partir des bases de remboursement définies par la Sécurité sociale.
Ces pourcentages incluent :
la part de remboursement pris en charge par l'Assurance Maladie,
le ticket modérateur (ce qui reste à votre charge une fois que l'Assurance Maladie a remboursé sa part), que la Mutuelle prend en charge selon les dispositions de votre contrat de complémentaire santé,
les éventuels dépassements d’honoraires.
👉 "PEC" est quant à lui l'acronyme de "prise en charge" : la demande de tiers payant est accordée ou refusée aux professionnels de santé selon les garanties souscrites.
👉 Toutes les cartes de mutuelle intègrent un dessin pixélisé en noir et blanc appelé "Datamatrix".
Ce code contient toutes les données concernant votre couverture santé, et permet au professionnel de santé qui le flashe d’éviter la saisie manuelle de ces informations.
👉 La période de validité de votre carte de mutuelle est indiquée à l’intérieur de celle-ci, tout en haut à droite.
Il s’agit des dates d’ouverture et de fermeture de vos droits au tiers payant (qui seront modifiées en cas de résiliation de contrat).
👉 L’envoi de votre carte de mutuelle en deux exemplaires est automatique :
en fin d’année civile (vous avez reçu en décembre 2022 la carte de mutuelle 2023 valable du 1er janvier 2023 au 31 décembre 2023),
ou lors de la modification de votre contrat (changement du niveau de garanties, ajout ou suppression d’un bénéficiaire).
👉 Vous pouvez à tout moment télécharger la version numérique de votre carte de mutuelle en cours de validité dans votre espace adhérent en ligne.
Vous avez perdu votre carte tiers payant ?
👉 Merci de nous avertir immédiatement afin que nous puissions vous envoyer une nouvelle carte de mutuelle et bloquer l'ancienne.
Vous envisagez sérieusement d'arrêter de fumer ? Bravo ! En étant bien préparé(e), vous allez pouvoir faire souffler votre santé et votre portefeuille 👏
Pour tenir bon, le mieux est de bien se préparer avant d'arrêter de fumer. Même s'il n’y a pas de bonne ou de mauvaise méthode, voici quelques conseils valables pour tous :
👉 Identifier ses motivations.
Ne plus être essoufflé(e) en montant l'escalier, ne plus avoir les dents jaunes, réduire le risque de déclarer un cancer, accueillir un bébé, protéger ses proches (en France, 1100 personnes meurent chaque année des suites du tabagisme passif)...
👉 S'organiser.
En choisissant une date, en prévenant ses proches, en adaptant ses petites habitudes quotidiennes, en rendant son logement non-fumeur...
👉 Se faire aider.
Sachez que vous aurez 70 % plus de chance de réussir en étant accompagné par un professionnel de santé ! Parlez-en à votre médecin traitant ou à un tabacologue (à l'hôpital, en centre médical, ou en appelant gratuitement la ligne téléphonique de Tabac info service au 39 89).
💡 Pour bénéficier d'un coaching à portée de main, vous pouvez également télécharger l'appli gratuite Tabac info service sur Google Play d’Android ou sur l’App Store d’iOS.
Sans tabac, votre corps va éliminer progressivement les produits toxiques absorbés et vous allez assez rapidement percevoir les premiers bienfaits pour votre santé.
Les désagréments liés au sevrage tabagique ne sont heureusement que passagers !
🚭 En arrêtant de fumer, votre taux de monoxyde de carbone dans le sang diminuera. Dès 8 heures de sevrage tabagique, il sera divisé par deux et vous serez mieux oxygéné(e).
😋 En quelques jours, vous respirerez mieux et retrouverez peu à peu votre goût et votre odorat.
😊 Au bout de quelques semaines, vous tousserez moins et vous aurez plus d’énergie. Votre peau sera plus belle et vous aurez meilleure mine.
🏃♀️ En quelques mois, vous récupérerez de plus en plus de souffle et vos performances sportives s’amélioreront.
💙 Au bout d'un an, votre risque d’accident vasculaire cérébral (AVC) redeviendra équivalent à celui d’une personne n’ayant jamais fumé, et votre risque d’infarctus du myocarde aura diminué de moitié.
👩⚕️ Dix ans plus tard, vos risques de cancer de la bouche, du poumon, de la vessie auront bien diminué, et votre espérance de vie se rapprochera de celle des personnes n’ayant jamais fumé.
💡 Bonne nouvelle, il y a aussi des bienfaits psychologiques : l'arrêt du tabac permet progressivement d'être mieux concentré(e), de mieux mémoriser, d'être moins stressé(e) et de mieux dormir.
Avez-vous calculé combien fumer vous coûte tous les mois ? Et quelle est la (jolie) somme vous allez pouvoir économiser en stoppant la cigarette ?
👛 Vous économiserez par exemple 225 € par mois en ne fumant pas vos 15 cigarettes par jour... soit 2 700 euros par an !
Estimation réalisée sur la base d'un paquet de 20 cigarettes au prix de 10 €.
Projetez-vous : qu'allez-vous vous offrir avec l’argent économisé ? 🎁
Pour calculer plus finement ce gain de pouvoir d’achat, Tabac info service met à votre disposition un calculateur sur la page d'accueil de son site Internet.
💡 Le saviez-vous ?
En fonction de la gamme choisie pour votre contrat de complémentaire santé, la Mutuelle Just peut prendre en charge les produits de sevrage tabagique achetés en pharmacie.
Renseignez-vous en consultant votre grille de garanties dans la rubrique Documents de votre espace adhérent.
Cet article a été écrit grâce aux ressources du site tabac-info-service.fr de Santé publique France. N'hésitez pas à parcourir ce site riche en conseils, informations, outils et témoignages : https://www.tabac-info-service.fr/.
Gastro-entérite, bronchiolite, grippe... vous pensez sûrement tout savoir sur ces enquiquinants virus d'hiver. ❄
Vérifiez vos connaissances en répondant à nos 10 questions !
Faux.
😷 Porter un masque peut s’avérer utile pour protéger les autres... mais pour se protéger soi-même, mieux vaut se laver les mains !
🦠 Les virus et les bactéries peuvent survivre sur les surfaces et les objets pendant plusieurs heures. Vous vous contaminez lorsque vous vous touchez les yeux, le nez ou la bouche après avoir touché des objets ou surfaces où le virus était encore actif.
🧼 En vous lavant régulièrement les mains, surtout après avoir été en contact avec des objets ou des surfaces potentiellement contaminées, vous réduisez donc considérablement le risque de contamination.
Faux.
📅 La période d'incubation après une contamination s'étend généralement de 1 à 3 jours, mais peut durer jusqu'à 5 jours.
Vrai.
😤 Ces virus sont nos ennemis de l’hiver !
🚌 Nous les attrapons car ils se propagent plus facilement dans des endroits fermés et densément peuplés, comme les écoles, les bureaux et les transports en commun.
🥶 En parallèle, le froid affaiblit les défenses naturelles de notre corps : les températures basses rendent ainsi notre système immunitaire plus vulnérable aux infections.
Faux.
🤒 Il n'existe aucun vaccin qui soit 100 % efficace contre la grippe.
💡 Le taux d'efficacité des vaccins contre la grippe varie d'une année à l'autre. Il est généralement compris entre 40 et 60 % (42% pour 2021-2022, tous âges et tous virus confondus).
Vrai.
🩺 Cette infection des voies respiratoires inférieures est en effet principalement observée chez les nourrissons et les jeunes enfants.
👶 Les bébés âgés de moins d'un an sont particulièrement à risque, car leurs voies respiratoires sont encore peu développées et plus vulnérables aux infections.
🧑 Les adultes peuvent aussi être atteints, même si c'est moins fréquent.
Faux.
👨⚕️ Non, pas forcément. Si vous avez été en contact avec une personne malade et que vous vous sentez bien, vous n'êtes pas obligé de consulter votre médecin !
👩⚕️ Cependant, si vous présentez des symptômes tels qu'une fièvre, des maux de tête, des courbatures, une toux ou des difficultés respiratoires, alors n'hésitez pas et prenez RDV le plus tôt possible.
Vrai.
👴 Leur système immunitaire étant moins capable de combattre les infections, le risque de complications graves est plus élevé.
Faux.
💪 S'il est vrai que certaines vitamines, comme la vitamine C et la vitamine D, peuvent aider à renforcer le système immunitaire, la prise de ces compléments ne suffit pas à vous protéger contre les infections hivernales.
Vrai.
💦 Oui, les virus hivernaux, comme la grippe et le rhume, peuvent être transmis par des gouttelettes en parlant, en toussant ou en éternuant.
Faux.
💧 Certes, les personnes atteintes de gastro-entérite doivent boire beaucoup pour prévenir la déshydratation, mais seulement de l'eau !
🥤 Il est indispensable d’éviter de consommer des aliments ou des boissons qui pourraient irriter votre estomac. L’alcool et le café sont donc des aliments à éviter pendant cette maladie.
Alors, quel est votre score sur 10 ?
En cotisant tous les mois auprès de la Mutuelle Just, vous bénéficiez d’une complémentaire santé de qualité et d’un panel d’avantages.
Mais à quoi servent vraiment vos cotisations ? Pour quelles raisons leur montant évolue-t-il chaque année ? À quelle date allez-vous recevoir votre échéancier et vos cartes de mutuelle 2023 ? Découvrez nos réponses ci-dessous !
Se regrouper pour bénéficier ensemble d’une bonne couverture santé : c’est là tout le système mutualiste ! 😀
En tant que mutuelle indépendante impliquée dans l'Économie Sociale et Solidaire, notre mission consiste à couvrir au mieux les dépenses de santé de plus de 55 000 personnes (sans réaliser de profits, ni reverser de dividendes à des actionnaires). ❤
💡 Près de 80 % du montant de vos cotisations hors taxes* est reversé aux adhérents de la Mutuelle Just pour le remboursement de leurs frais de santé. C’est ce qu’on appelle le « taux de redistribution ».
Le solde sert à vous proposer des services et des avantages de qualité, à payer les contributions obligatoires, à engager les dépenses pour faire fonctionner correctement la mutuelle. **
Vous l’avez sans nul doute remarqué, vos cotisations de mutuelle évoluent tous les ans, afin de prendre en considération différents paramètres :
🧓 Votre âge. Toutes les offres de complémentaire santé évoluent selon une courbe liée à l’âge de l’assuré. En vieillissant, garder la forme peut demander de consulter plus régulièrement un professionnel de santé, et donc de solliciter plus souvent des remboursements de soins.
🏡 Votre lieu de résidence. Vos cotisations tiennent compte de votre lieu de vie : les coûts médicaux diffèrent selon les régions, en raison notamment du nombre de médecins et des dépassements d’honoraires.
👍 Vos choix de garanties. Une meilleure prise en charge de vos soins, en optique ou en dentaire par exemple, augmente votre protection mais aussi votre niveau de cotisation.
👩👧👦 Votre situation familiale. Le nombre de bénéficiaires de votre contrat, appelés « ayants droit », a une répercussion sur le prix de vos cotisations.
👨⚕️ L'évolution des dépenses de santé en France. En lien avec le vieillissement de la population et l'augmentation du prix des soins, l’État prévoit une hausse des dépenses de santé en France en 2023.
📈 La situation économique. Nous subissons les répercussions économiques actuelles dues à la guerre en Europe et au niveau élevé de l’inflation.
💶 Les mesures réglementaires. Nous subissons l’impact réglementaire imposé aux mutuelles. Notamment avec la réforme du 100% santé, qui a pour conséquence l’augmentation importante des prestations à rembourser en dentaire, en auditif et en optique.
Tous ces facteurs cumulés impactent le montant de vos cotisations de mutuelle. Nous devons chaque année procéder à des arbitrages complexes pour veiller à conserver l’équilibre entre la pression contextuelle et le maintien d’une couverture santé de qualité pour tous.
Les montants de vos cotisations mensuelles pour l’année à venir sont récapitulés dans un document d’appel de cotisations nommé "échéancier" ou "avis d’échéance".
La carte de mutuelle (appelée aussi "carte tiers payant" ou "carte d’adhérent") est renouvelée annuellement. Elle atteste aux professionnels de santé que vous bénéficiez d’une complémentaire santé et vous permet d’éviter l’avance de frais.
Nous vous envoyons ces documents chaque année en fin d’année civile.
Côté calendrier, voici les dates à retenir :
FIN NOVEMBRE 2022
✉ Le Président de la Mutuelle Just vous adresse sa lettre annuelle pour vous livrer toutes les informations clés au sujet de la Mutuelle et du renouvellement de vos garanties.
DÉBUT DÉCEMBRE 2022
📫 Vous recevez dans votre boîte aux lettres une enveloppe de la Mutuelle Just contenant :
- la lettre annuelle du Président,
- l’appel à candidatures des délégués en vue de l’élection des représentants des adhérents,
- votre avis d’échéance, applicable au 1er janvier 2023,
- deux exemplaires de votre carte de mutuelle au format papier, utilisable à partir du 1er janvier 2023.
DÉBUT JANVIER 2023
👩⚕️ Les professionnels de santé vous demandent de présenter votre nouvelle carte de mutuelle 2023 (la carte tiers payant 2022 ne vous sera alors plus utile).
Sachez que vous pouvez à tout moment télécharger la version numérique de votre carte de mutuelle en cours de validité :
💻 dans votre espace adhérent en ligne
📱 et sur l’application mobile Mutuelle Just.
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PRÉCISIONS
* Vos cotisations sont soumises à une taxe de l’État de 13,27 % à 20,27 % (selon les types de contrats).
** Le fonctionnement de la mutuelle correspond en majeure partie aux frais de gestion qui recouvrent l’ensemble des sommes engagées pour concevoir les contrats, les commercialiser (dont le réseau commercial, le marketing, les commissions des intermédiaires), les souscrire (dont l’encaissement des cotisations, la gestion des résiliations, le suivi comptable et juridique) et les gérer (dont le remboursement, la gestion du tiers payant, l’information client, l’assistance, les services, les prestations complémentaires), c’est-à-dire accomplir toutes les tâches incombant à l’organisme assureur dans le respect des garanties contractuelles.
Lui, c’est Frédéric. Son métier : développeur web. C’est un homme de l’ombre. L’un de ceux que vous ne verrez jamais en agence ou que vous n’aurez pas au téléphone. Et pourtant, il fait partie des rouages essentiels au bon fonctionnement de notre mutuelle puisqu’il est l’un des garants du bon cheminement de l’information entre vous et nous.
« J’ai commencé ma carrière professionnelle dans une boutique de jeux vidéo, explique celui qu’on appelle « Fred » au sein de la mutuelle. J’y suis resté sept ans, puis j’ai rejoint une enseigne de grande surface en tant que conseiller à la vente ». Suite à sa fin de contrat, Frédéric fait le bilan. « A titre personnel, cela faisant 25 ans que je faisais de l’informatique, donc pourquoi pas en faire mon métier… »
Durant sa formation au CNAM de Lille, Frédéric perfectionne sa technique, déjà très sûre. Puis, il rejoint la Mutuelle Just, première structure à lui donner sa chance en tant qu’informaticien, en 2015. « J’étais la clé à molette du service, plaisante-t-il. Je gérais aussi bien les demandes matérielles que logicielles. Je suis resté six mois ». Un départ qui ne doit rien au hasard ou à un souci professionnel : l’opportunité de participer à la certification ISO 9001 d’une entreprise d’usinage de précision était trop forte.
Preuve que sa première période au sein de la Mutuelle Just lui plaisait, Frédéric demande à revenir en novembre 2016. Pour ne plus la quitter. Mieux : pour y évoluer. « Suite à une restructuration du service informatique, un poste de développeur web a été créé. J’ai postulé et ma candidature a été retenue. Le fait de connaitre les logiciels de gestion de la mutuelle a été un argument majeur dans le cadre du couplage entre les différents outils existants et ceux à créer », explique celui qui, désormais, s’éclate dans son nouveau rôle.
Depuis, Frédéric développe des outils qui sécurisent le traitement des données de la mutuelle. Il crée des bases documentaires pour faciliter le travail des équipes. Il participe pleinement au développement de nouveaux outils web pour nos adhérents. « Je fais rarement deux jours la même chose, souligne-t-il. Quant à mon planning, j’ai arrêté d’en faire : il n’arrête pas de changer au gré des demandes ».
Mais, loin de se plaindre, Frédéric en redemanderait presque, tant il semble avoir définitivement trouver sa voie professionnelle.
C’est dans un imposant bâtiment Art déco classé Monument historique que nous avons rendez-vous avec Sabrina, Adjointe ressources humaines au Touquet Équipements et Évènements. La structure a souscrit une mutuelle d'entreprise chez Just. Explications.
« Nous avons contractualisé avec la Mutuelle Just en 2008, précise d’emblée la pétillante RH. Cela faisait suite à la volonté de nos élus de donner aux salariés un accès plus facile à une protection sociale ». C’est ce qui s’appelle être en avance sur son temps puisque l’obligation pour l’employeur de proposer une mutuelle d'entreprise à ses salariés ne sera effective qu’en 2016…
Être précurseur peut toutefois être à double tranchant et le saut vers l’inconnu peut parfois être problématique. Est-ce le cas au Touquet ? Sabrina répond : « Nous n’avons rien à redire sur l’accompagnement de la Mutuelle Just. Tout roule. Nos interlocuteurs ont toujours été très réactifs pour ce qui est de prendre en compte les nouvelles adhésions, les modifications de données ou les radiations. Du côté de nos salariés, je n’ai jamais eu écho de retours négatifs ».
Deux autres points sont particulièrement appréciés par Sabrina : la proximité et l’échange. « C’est un partenariat très fort. Ensemble, nous mettons en place des réunions d’informations pour expliquer les nouveautés, les changements, les bonnes pratiques aux salariés. Nous avons aussi des rencontres régulières avec notre conseiller de terrain qui vient nous voir pour s’assurer que nous ne rencontrons pas de difficultés. Ce sont des petits plus fortement appréciables ». Et qui permettent à Sabrina, et sa responsable Anna, de gérer les contrats de leurs 80 salariés en toute tranquillité.
Rester en forme constitue un pilier dans le bien être de chaque individu et notamment pour un senior. Il permet de se sentir bien à la fois dans son corps mais également dans sa tête. Mathilde, coordinatrice sport santé dans notre centre partenaire, nous donne ses conseils. Alors, comment rester en forme au quotidien pour les seniors ?
"Les recommandations de l’OMS indiquent que les personnes âgées devraient pratiquer au moins 150 minutes d’activité d’endurance par semaine. Cela avec une intensité modérée. Ou alors 75 minutes d’activité d’endurance avec une intensité soutenue.
Lorsqu’une personne âgée a des difficultés à cause d’un problème de santé, il est conseillé d’être malgré tout actif physiquement, autant que son état de santé lui permet.
En cas de soucis de santé, il faut, en premier lieu, en parler à son médecin traitant qui pourra conseiller et orienter si nécessaire vers une structure adaptée à la prise en charge de la pathologie pour une bonne réadaptation à l’effort.
En conclusion, pour rester en forme, il faut rester mobile et conserver une pratique physique quotidienne d’intensité modérée."
La Mutuelle Just prône, depuis de nombreuses années, le sport santé l’activité physique comme source de bien-être et de bonne santé. Aujourd’hui, nous demandons l’avis d’une experte en la matière pour rester en forme : Mathilde, responsable de notre centre partenaire, spécialisé dans le sport santé.
Quelle définition pouvons-nous donner de l’activité physique et à quoi sert-elle ?
"On entend par activité physique tout mouvement produit par les muscles, qui engendrera une augmentation de la dépense énergétique. Il s’agit donc de plusieurs pratiques, aussi bien celles pouvant être réalisées en établissement [comme dans notre centre sport santé partenaire], que celles du quotidien (passer l’aspirateur, jardiner…). Vous pouvez d’ailleurs changer quelques petites habitudes du quotidien pour augmenter votre activité physique. Se garer un peu plus loin sur le parking pour vos courses, favoriser les escaliers par rapport à l’ascenseur, aller à la boulangerie du quartier à pied …
Ces activités physiques, en plus d’être nécessaires pour se maintenir en bonne santé, sont également importantes pour conserver votre tonus musculaire. De ce fait, elles vous permettent de vous sentir mieux au quotidien, dans votre corps mais également dans votre tête.
Mon petit conseil : dans le choix de votre pratique, orientez-vous vers une activité physique qui vous plait, qui vous motive pour qu’elle soit pérenne."
Vous nous disiez qu’une bonne hydratation est également importante…
"Au-delà du fait qu’il est important de bien vous hydrater, boire de l’eau permet tout simplement au corps de bien fonctionner ! L’hydratation permet, en premier lieu, de combler la perte d’eau liée à la transpiration. Elle élimine également les toxines créées au cours de l’activité physique, lubrifie le muscle, évitant ainsi les crampes et les blessures…"
Qu’en est-il des étirements ?
"Ils vont permettre de garder un muscle plus souple ; ainsi les muscles sollicités répondront mieux aux mouvements, le corps gagnera en souplesse. Vous serez ainsi plus à l’aise dans les activités du quotidien et vous améliorerez la posture de votre corps."
Un dernier conseil pour nos lecteurs ?
"Il est important d’avoir des repas variés, équilibrés et aheurés. Il faut également savoir se faire plaisir dans l’alimentation, être raisonnable sans pour autant se frustrer. Avant et après la pratique d’une activité physique, il ne faut pas hésiter à prendre une collation si nécessaire. Cela permettra d’apporter de l’énergie à l’organisme. "
Le 9 septembre c'est la journée mondiale de sensibilisation au syndrome d’alcoolisation fœtale : «Vous buvez, il trinque !». Le titre est volontairement provocateur, mais la réalité est bien là ! Explications avec le Dr. Solange MOORE WIPF, Pédiatre à la maternité de la Polyclinique du Parc à Saint-Saulve.
Que peut-on dire des effets de l’alcool sur un bébé à naître ?
"L’alcool est un vrai poison pour bébé lorsqu’il est dans le ventre de sa mère et ce à tous les stades de la grossesse, du début de sa conception jusqu’à sa naissance. L’alcool bu par la mère atteindra directement le fœtus en traversant le placenta. Son élimination, plus lente par le foie immature du fœtus, entraînera une intoxication prolongée. Or, l’alcool est un toxique cellulaire dangereux qui peut être à l’origine de malformations graves aussi bien physiques que neurologiques. La consommation d’alcool par la maman est donc susceptible d’avoir des conséquences irréversibles sur l’avenir de l’enfant."
Quels sont les risques de malformations dont vous parlez ?
"Actuellement on parle de ETCAF (Ensemble des Troubles Causés par l’Alcoolisation Fœtale) et de SAF (Syndrome d’Alcoolisation Fœtale) en raison du caractère variable de ces troubles. La forme la plus grave de cette intoxication fœtale est le SAF qui associe à des degrés divers Une dysmorphie cranio-faciale (avec des fentes palpébrales rétrécies, un nez court, un philtrum effacé (absence de sillon entre le nez et la bouche), une lèvre supérieure mince, une lèvre inférieure mince, un petit menton en retrait), un petit poids, une petite taille et un petit tour de tête et des malformations non spécifiques (cerveau, os, faciales, cœur, œil, oreilles…)"
Y a-t-il d’autres conséquences possibles ?
"Lors de la consommation d’alcool par la maman, c’est le développement du cerveau de bébé qui est le plus gravement touché. Cette atteinte sera à l’origine de troubles du développement à différents degrés comme des troubles intellectuels, de l’apprentissage, de la mémorisation, du comportement.
A côté de cette forme grave d’intoxication fœtale, il existe des formes incomplètes. Dans ces cas-là, l’alcoolisation fœtale se traduit par des troubles du développement neurologique (difficultés d’apprentissage, échec scolaire) ou des troubles du comportement responsables de difficultés d’insertion dans la société. Le principal risque ici est celui d’un retard au diagnostic et, par conséquent, d’une prise en charge tardive de l’enfant. Le Syndrome d’Alcoolisation Fœtale est la première cause d’handicap mental non génétique : elle est 100% irréversible et pourtant 100% évitable !"
Comme de nombreuses personnes en France, la Mutuelle Just a découvert le superbe travail des Mamies tricoteuses il y a deux ans. Depuis, un partenariat solidaire a vu le jour entre nos deux structures. Cette section de l’Amicale laïque de Marly a eu la bonne idée de profiter de la présence en son sein de retraités aux doigts de fée et au cœur d’or pour développer une gamme de layettes spécifiques pour les bébés prématurés. Parmi ces généreuses mamies, nous rencontrons aujourd’hui Nadine, l’une des benjamines du groupe, adhérente de notre mutuelle depuis quatre ans.
Rue Barbara. Marly. En arrivant à l’atelier des tricoteuses, nous tombons nez à nez avec Nadine en plein travail. Une maille à l’endroit, une maille à l’envers : le tricot prend forme. « Nous avons chacune nos spécialités, indique la quinquagénaire. Moi, c’est la couverture pour le peau à peau. Ce n’est pas trop difficile. C’est bien pour moi qui ait besoin de faire travailler mes mains ». Car, si Nadine s’est remise au tricot, c’est parce que c’était nécessaire : « Je suis atteinte de sclérose en plaques, précise-t-elle sans fausse pudeur. Au bout d’un moment, j’ai dû faire le deuil de mon activité salariée et j’avais besoin de rester active. J’ai vu un reportage à la télé sur cette association : trouver un moyen de garder ma dextérité tout en agissant pour une bonne cause, aussi près de chez moi, c’était juste parfait ».
Son engagement, Nadine en a fait une philosophie de vie : « Quand je vois un bébé de 500 grammes qui se bat pour survivre, je me dis que je n’ai pas le droit de me plaindre. Ça m’aide à avancer, à oublier ma propre maladie ».
C’est devant la télévision que Nadine aime se mettre à l’ouvrage. « Je tricote devant la télé. Une fois, on regarde « Scènes de ménages » et il y a une scène où Huguette tricote. On se regarde avec mon mari et on se dit : « non, on ne ressemble quand même pas au vieux couple de la série » », plaisante-t-elle.
Regarder la télé est une chose, mais y passer régulièrement en est une autre. Comment Nadine vit-elle la médiatisation autour de son activité et de celles de ses consœurs ? « Ça ne me dérange pas. Au contraire, si ça peut nous aider à recruter ou à obtenir du fil à tricoter, je veux bien participer à tout ça ». Et la Mutuelle Just participera également en faisant prochainement de ses agences des relais pour recueillir des dons de fil.
L’avenir pour Nadine et les tricoteuses est radieux, mais studieux. Avec 1200 pièces livrées à la maternité de Valenciennes en six mois, soit l’équivalent de toute la production 2018, la demande n’est pas prête de manquer. D’ailleurs, Nadine aimerait prochainement aller à la rencontre des parents de bébés prématurés à la maternité de Valenciennes « juste pour voir la réaction des parents quand on leur remet les vêtements. Ça doit être émouvant ». Cela fera une preuve de plus du bonheur que ces petits tricots peuvent créer.
La mutuelle communale se développe en France. Cette offre de complémentaire santé présente l’avantage d’utiliser l’effet de groupe pour proposer des tarifs préférentiels. Elle est également un excellent moyen de ramener des personnes ayant renoncé aux soins faute de moyens dans un parcours de soins classique. Dans les Hauts-de-France, la Mutuelle Just a été la première à saisir l’importance de permettre aux habitants des communes de profiter de tarifs négociés. Nous vous proposons aujourd’hui le témoignage de l’un de nos partenaires communaux.
Marchiennes, Nord. Sa célèbre abbaye. Sa forêt domaniale. Et son grand soleil en ce jour caniculaire de juillet. C’est autour d’un verre d’eau fraiche que nous rencontrons Claude Merly, Maire de la ville, et Hélène, responsable du Centre Communal d’Action Sociale (CCAS). Le sujet du jour : la mutuelle communale mise en place depuis plus d’un an.
« J’avais vu passer un article dans les journaux sur le sujet et nous avions de temps en temps la question de la part de certains habitants de la commune, raconte Claude. J’ai donc commencé à m’intéresser au sujet. J’ai consulté quelques-uns de mes homologues et j’ai réalisé qu’une mutuelle communale pourrait être un plus pour mes concitoyens ». Car, quand il s’agit du bien-être de ses administrés, M. le Maire ne transige pas.
Porté par le CCAS de la ville, le projet de mutuelle communale fait son chemin dans les règles. La Mutuelle Just, bien implantée dans le secteur, est consultée, tout comme plusieurs autres acteurs de la complémentaire santé. « Nous nous sommes renseignés auprès de plusieurs mutuelles, explique Hélène, qui gère actuellement avec sa collègue Catherine le partenariat avec notre organisme. La plus intéressante restait Just. Ce choix a été acté en conseil municipal et le partenariat a pu démarrer ».
Réunions publiques, mise en place d’une permanence, outils de communication, tout est mis en œuvre par notre mutuelle pour informer les habitants de cette nouvelle offre solidaire. Ce qu’apprécie M. Merly : « Plus il y aura d’adhérents dans la commune, plus ce sera intéressant pour tout le monde, confirme-t-il. Le fait que Just dédie un conseiller pour des permanences régulières est, dans ce cadre, tout à fait appréciable ». La responsable du CCAS renchérit : « Tout se passe bien. L’organisation est top, il n’y a, pour l’instant, rien à redire. Les réunions publiques ont bien fonctionné et il y aura quatre permanences d’ici la fin de l’année ». De quoi permettre aux 4 600 Marchiennois d’avoir toutes les informations nécessaires pour faire leur choix.
Une agence de mutuelle ou d’un autre type de service est la vitrine concrète d’une entreprise. Ses conseillers sont ceux qui travaillent au plus près de l’adhérent. Ils renvoient la première image de la structure. Il est donc important que les agences soient ouvertes quasiment en permanence. A la Mutuelle Just, nous avons mis en place un dispositif qui évite ce genre de désagrément.
Aujourd’hui, nous sommes à l'agence de la Mutuelle Just de Dunkerque pour rencontrer Audrey. Mais, nous aurions pu être à Arras ou Cambrai. Car, Audrey est ce que l’on appelle dans notre jargon une « volante » : une conseillère chargée des renforts et remplacements. « Mon travail consiste à pallier une absence en agence, nous explique-t-elle. Cela suppose que le matin, je peux être dans une agence et l’après-midi dans une autre ». Ce fonctionnement demande une grande organisation et un planning bien défini. « Selon le planning, les déplacements peuvent très variés. Cela demande une grande souplesse car il y a toujours des imprévus de dernière minute : une maladie ou autre. Moi, personnellement, j’aime bien le changement, quand ça bouge, donc ça me va », sourit celle qui a pris son poste depuis six mois désormais.
Et les adhérents, comment vivent-ils cette situation ? « Certains adhérents ont leurs petites habitudes, mais changer les habitudes, c’est sympa aussi, plaisante Audrey. La seule différence avec ce qu’ils connaissent habituellement, c’est que j’ai besoin d’un peu plus de temps pour analyser leur dossier, là où leur conseiller habituel peut avoir un vécu avec l’adhérent. Sinon, c’est pareil et plutôt bien accepté à mon avis ».
Ils sont cinq à se répartir ainsi les 14 agences de la Mutuelle Just. Mais pas que… Car Audrey et ses collègues ont une autre mission importante. « Nous gérons aussi les permanences mises en place dans certaines villes ayant conventionné une mutuelle communale avec Just », précise-t-elle. En effet, notre mutuelle a la confiance de près de 250 communes des Hauts-de-France pour proposer une mutuelle à prix négociés aux habitants desdites villes. Si toutes n’ont pas de permanences, Audrey en gère tout de même trente-deux de manière régulière ! « Ces permanences nous permettent d’être au plus près des adhérents ou futurs adhérents. Elles sont soit à jour et horaires fixes, soit sur rendez-vous. C’est une part importante de mon travail et ça permet de rendre le meilleur service à la population ».
Nous terminerons sur cette phrase qui résume bien la proximité que la Mutuelle Just souhaite maintenir au quotidien avec ses adhérents.
Aujourd’hui, direction Marly, près de Valenciennes. Nous avons rendez-vous avec les représentants de l’Association des Anciens Salariés de PPG (AASPPG). A la Mutuelle Just, cette association est parmi celles qui comptent le plus d'adhérents et cela fait plusieurs années que ça dure.
C’est à l’étage d’une maison de ville que nous rencontrons Gérard, Béatrice et Moïse, respectivement président, trésorière et secrétaire de l’AASPPG.
Il y a plus de vingt ans, un groupe d’anciens salariés de PPG, société spécialisée dans la peinture industrielle, fait un constat : une fois sortis des effectifs de l’entreprise, les retraités ne bénéficient plus de la mutuelle collective de leur employeur. Ils ne peuvent plus prétendre qu’à des contrats individuels, aux prestations moins intéressantes et aux tarifs plus élevés. Une association est donc née, regroupant d’anciens salariés de PPG, afin de mettre en place un contrat collectif de complémentaire santé pour ses membres.
« Au départ, nous sommes restés dans la même mutuelle que celle de PPG, explique Moïse. Mais, très vite, les avantages que nous avions se sont délités. Alors, le président de l’époque a proposé aux membres du conseil de l’association de regarder ce qui se faisait ailleurs et avons choisi la Mutuelle Just ». Désormais, cela fait presque dix ans que la relation entre l’association et la mutuelle perdure.
Et pourtant, ils reconnaissent eux-mêmes leur intransigeance : « Nous sommes chiants, il n’y a pas d’autres mots, acquiesce Gérard en souriant. Nous ne voulons pas forcément la mutuelle la moins chère, mais des garanties avantageuses pour nos adhérents. Nous nous intéressons à toutes les subtilités des contrats ».
Une vraie plus-value pour les 400 familles adhérentes à la Mutuelle Just qui bénéficient d’un vrai relais de la part de leurs dirigeants. « On fonctionne comme ça depuis plusieurs années, en partenariat et en confiance, souligne Moïse. On connait nos interlocuteurs, ils sont à l’écoute et prennent en compte nos propositions pour améliorer le contrat quand cela nous semble nécessaire ».
Cette méthode semble fonctionner puisqu’au 1er janvier de chaque année l’AASPPG renouvelle sa confiance à notre mutuelle, alors même que tous les ans, elle lance un appel d’offres pour interroger le marché. « Notre vice-président nous aide à analyser nos chiffres tous les mois, précise Béatrice, la trésorière du groupe. Nous coachons nos adhérents pour qu’il n’y ait pas d’abus. Quand un membre de l’association se fait démarcher par une autre mutuelle, nous analysons avec lui les garanties et on se rend très souvent compte que notre contrat associatif reste le plus avantageux ».
L’association AASPPG recherche de l’efficacité, de l’écoute et de l’exigence : elle semble avoir trouvé son bonheur avec la Mutuelle Just.
Spécialisée dans la mutuelle communale et la protection santé individuelle, la Mutuelle Just propose une gamme complète d’offres pour protéger votre capital santé.