Pour affronter l'hiver, nous avons besoin de vitamines et d'oligo-éléments. Qu'il s'agisse de Vitamine C, B, magnésium, zinc ou fer, ils permettent de renforcer nos défenses immunitaires et boostent notre moral. Mais pour faire le plein d'énergie et lutter contre les infections, rien de mieux qu'une bonne alimentation ! Céline Capart, diététicienne et nutritionniste, nous explique comment réaliser de bonnes cures de vitamines, et affronter l'hiver !
Qu’il s’agisse des légumes racines (betteraves, navets, carottes), des cucurbitacées (potiron, potimarron, courge butternut), ou de la famille des choux (de Bruxelles, rouge, vert, blanc, brocolis), ils sont tous adaptés à la saison froide et apportent donc les nutriments essentiels pour réaliser de bonnes cures de vitamines. Aussi bien les vitamines du groupe B, du groupe C (dans les choux surtout), des minéraux (calcium, potassium, magnésium) mais également des antioxydants divers (bêta-carotène, caroténoïde, polyphénols).
De même pour les fruits d’hiver (les agrumes, les kiwis), et les fruits exotiques. Sans oublier les fruits secs, champions pour les fibres.
Attention toutefois, la vitamine C est très fragile. Le jus d’orange pressées doit être bu dans les 30 minutes qui suivent la préparation, sous peine de ne plus contenir de vitamine C, qui aura eu le temps de se dégrader. Et n'oubliez pas de ciseler du persil frais dans vos salades ou sur votre steak.
Les fruits et légumes d'hiver sont à consommer à chaque repas. Au moins deux légumes différents et un fruit, à midi et le soir. Cru ou cuit, nature, sous forme de compote, de purée, de gratin, de soupes, de jus… Ils se consomment sous toutes les formes. Les légumes en conserve ou surgelés peuvent aussi faire l’affaire pour dépanner quand on n’a pas le temps d’éplucher les légumes frais.
Pensez également à assaisonner vos plats de légumes d’épices et aromates pour améliorer la « santé » de vos recettes. Possédant des vertus médicinales protectrices sur des sphères diverses et très larges, les épices et aromates améliorent la saveur et l’odeur, apportent de la variété et évitent la monotonie astronomique.
Pour vos défenses anti-infectieuses, veillez à apporter les micronutriments indispensables :
Vous les retrouverez dans une alimentation variée et équilibrée avec notamment des fruits de mer, du poisson, de la viande, les légumes secs et les œufs.
De plus, un écosystème intestinal bien équilibré serait favorable à une bonne immunité. Les yaourts (et autres spécialités laitières), les fruits et les légumes ont une action positive sur la qualité de notre flore intestinale.
Et bien évidemment, il faut continuer à appliquer les conseils de base : la pratique d'une activité physique, même si elle n’est pas très intense, est essentiel car immunostimulant. L’hydratation, très importante pour permettre à l’organisme de fonctionner correctement. Le lavage des mains, pour éviter la transmission de germes et donc, rester loin des maladies.
En conclusion : une alimentation équilibrée est toujours la base pour bien se porter, mais en ces temps chargés de virus, il faut davantage penser aux fruits frais.
L’Assemblée Générale de votre mutuelle Santé Just qui regroupe les activités du centre optique Just’Optique et du centre auditif Just’Audio se réunira le 22 juin 2021, et se prononcera sur le renouvellement de la moitié de son Conseil d’Administration.
Cette instance porte la voix des adhérents de la Mutuelle Santé Just, et vous représente, vous toutes et tous. Car en tant qu'adhérents de la Mutuelle Just vous êtes automatiquement adhérents de Santé Just. Explications en détail.
Tout d'abord, votre mutuelle dispose d’un Conseil de 10 à 20 membres, et cela conformément à ses statuts. Ces derniers sont élus à bulletins secrets parmi les membres participants (les adhérents) et honoraires de la mutuelle qui présentent leur candidature. Les membres participants sont les personnes majeures qui figurent sur votre bulletin d’adhésion à la Mutuelle.
Par la suite, vos délégués, réunis en assemblée générale, élisent à bulletin secret les membres du Conseil d’Administration. Ils sont élus pour 6 ans, et peuvent êtres renouvelés par moitié tous les 3 ans.
Le Conseil d’Administration se réunit sur convocation du Président au moins 3 fois par an.
Une fois en place, le Conseil d’administration détermine les orientations de la Mutuelle et veille à leur application. Les Administrateurs ont pour rôle de délibérer sur les décisions stratégiques de la Mutuelle. Par ailleurs, ils peuvent aussi se saisir de toute question intéressant la bonne marche de la mutuelle.
Si vous êtes intéressé(e), alors vous devez obligatoirement envoyer votre candidature au plus tard le 12 juin. Celle-ci se fait par lettre recommandée avec accusé de réception (adressée à : Mutuelle Just, 53 avenue de Verdun, 59300 Valenciennes) ou par recommandé électronique (e-mail : g.bara@just.fr). Le formulaire d’acte de candidature est à retrouver ici.
Soucieux d'améliorer continuellement ses services aux adhérents, votre mutuelle vous présente son partenariat avec LIFEAZ, la start-up Française créatrice du premier défibrillateur conçu pour les particuliers.
Chaque année 50 000 personnes meurent d'un arrêt cardiaque en France, avec un moyenne d'âge des victimes de 60 ans, et même de 40 ans chez les sportifs amateurs. De plus, 80% des accidents arrivent à domicile. C'est pourquoi, Clark peut devenir un précieux atout.
Qui est Clark ? Vous nous diriez l'identité secrète de Superman, c'est un peu vrai. Plus sérieusement, c'est le défibrillateur qui veillera sur vous, vos proches, ou encore vos voisins. Grâce à notre partenariat avec LIFEAZ, vous bénéficiez en tant qu'adhérents d'une réduction de 100 euros à l'achat. Si vous souhaitez le louer, vous bénéficierez d'une réduction de 5€/ mois. Enfin, si vous êtes le gérant d'une TPE (entreprise de moins de 20 salariés), vous pouvez aussi profiter de l'offre afin de protéger au mieux de vos collaborateurs.
Avec un poids de 1,4 KG, et une taille de 21cm x 21cm x 7cm, Clark est léger et discret, donc vous pouvez l’emmener avec vous si nécessaire.
Il est simple d’utilisation, avec des auto-tests quotidiens, il vous alerte donc dès qu’il détecte une anomalie. Clark vous guidera en cas d’arrêt cardiaque de la personne à côté de vous. En effet, vous n’aurez qu’à suivre les consignes orales de l’appareil, à appliquer pour administrer correctement le massage cardiaque. La connectivité permet d'avoir un suivi simplifié, et encore plus fiable à tout moment. Grâce à ses mises à jour régulières, vous bénéficiez automatiquement des dernières innovations.
Grâce aux formations mobiles de LIFEAZ, vous pourrez apprendre et réviser les bons réflexes face à toute situation d’urgence sur leur application gratuite : « Everyday Heroes – Secourisme ».
Vous l’aurez compris, grâce à ce nouveau service mis à votre disposition, la Mutuelle Just souhaite renforcer l’accompagnement de ses adhérents. Grâce à Clark vous pourrez prendre soin de soin de vous et de vos proches.
250 g de beurre
200 g de sucre
4 oeufs
70 g de farine
250 g de chocolat
ÉTAPE 1
Avant tout, préchauffer le four à 180°C. Au bain-marie, faire fondre le chocolat et le beurre.
Dans un saladier, battre les œufs avec le sucre jusqu'à ce que le mélange mousse et blanchisse.
ÉTAPE 2
Dans la préparation, incorporer délicatement le chocolat, le beurre puis la farine.
Après avoir obtenu une pâte homogène, verser dans un moulle beurré et fariné (24/25 cm de diamètre).
Faire cuire environ 25 minutes.
ÉTAPE 3
Laisser refroidir le gâteau pour qu’il soit à température ambiante.
Bon appétit !
Comme de nombreuses personnes en France, la Mutuelle Just a découvert le superbe travail des Mamies tricoteuses il y a deux ans. Depuis, un partenariat solidaire a vu le jour entre nos deux structures. Cette section de l’Amicale laïque de Marly a eu la bonne idée de profiter de la présence en son sein de retraités aux doigts de fée et au cœur d’or pour développer une gamme de layettes spécifiques pour les bébés prématurés. Parmi ces généreuses mamies, nous rencontrons aujourd’hui Nadine, l’une des benjamines du groupe, adhérente de notre mutuelle depuis quatre ans.
Rue Barbara. Marly. En arrivant à l’atelier des tricoteuses, nous tombons nez à nez avec Nadine en plein travail. Une maille à l’endroit, une maille à l’envers : le tricot prend forme. « Nous avons chacune nos spécialités, indique la quinquagénaire. Moi, c’est la couverture pour le peau à peau. Ce n’est pas trop difficile. C’est bien pour moi qui ait besoin de faire travailler mes mains ». Car, si Nadine s’est remise au tricot, c’est parce que c’était nécessaire : « Je suis atteinte de sclérose en plaques, précise-t-elle sans fausse pudeur. Au bout d’un moment, j’ai dû faire le deuil de mon activité salariée et j’avais besoin de rester active. J’ai vu un reportage à la télé sur cette association : trouver un moyen de garder ma dextérité tout en agissant pour une bonne cause, aussi près de chez moi, c’était juste parfait ».
Son engagement, Nadine en a fait une philosophie de vie : « Quand je vois un bébé de 500 grammes qui se bat pour survivre, je me dis que je n’ai pas le droit de me plaindre. Ça m’aide à avancer, à oublier ma propre maladie ».
C’est devant la télévision que Nadine aime se mettre à l’ouvrage. « Je tricote devant la télé. Une fois, on regarde « Scènes de ménages » et il y a une scène où Huguette tricote. On se regarde avec mon mari et on se dit : « non, on ne ressemble quand même pas au vieux couple de la série » », plaisante-t-elle.
Regarder la télé est une chose, mais y passer régulièrement en est une autre. Comment Nadine vit-elle la médiatisation autour de son activité et de celles de ses consœurs ? « Ça ne me dérange pas. Au contraire, si ça peut nous aider à recruter ou à obtenir du fil à tricoter, je veux bien participer à tout ça ». Et la Mutuelle Just participera également en faisant prochainement de ses agences des relais pour recueillir des dons de fil.
L’avenir pour Nadine et les tricoteuses est radieux, mais studieux. Avec 1200 pièces livrées à la maternité de Valenciennes en six mois, soit l’équivalent de toute la production 2018, la demande n’est pas prête de manquer. D’ailleurs, Nadine aimerait prochainement aller à la rencontre des parents de bébés prématurés à la maternité de Valenciennes « juste pour voir la réaction des parents quand on leur remet les vêtements. Ça doit être émouvant ». Cela fera une preuve de plus du bonheur que ces petits tricots peuvent créer.
La mutuelle communale se développe en France. Cette offre de complémentaire santé présente l’avantage d’utiliser l’effet de groupe pour proposer des tarifs préférentiels. Elle est également un excellent moyen de ramener des personnes ayant renoncé aux soins faute de moyens dans un parcours de soins classique. Dans les Hauts-de-France, la Mutuelle Just a été la première à saisir l’importance de permettre aux habitants des communes de profiter de tarifs négociés. Nous vous proposons aujourd’hui le témoignage de l’un de nos partenaires communaux.
Marchiennes, Nord. Sa célèbre abbaye. Sa forêt domaniale. Et son grand soleil en ce jour caniculaire de juillet. C’est autour d’un verre d’eau fraiche que nous rencontrons Claude Merly, Maire de la ville, et Hélène, responsable du Centre Communal d’Action Sociale (CCAS). Le sujet du jour : la mutuelle communale mise en place depuis plus d’un an.
« J’avais vu passer un article dans les journaux sur le sujet et nous avions de temps en temps la question de la part de certains habitants de la commune, raconte Claude. J’ai donc commencé à m’intéresser au sujet. J’ai consulté quelques-uns de mes homologues et j’ai réalisé qu’une mutuelle communale pourrait être un plus pour mes concitoyens ». Car, quand il s’agit du bien-être de ses administrés, M. le Maire ne transige pas.
Porté par le CCAS de la ville, le projet de mutuelle communale fait son chemin dans les règles. La Mutuelle Just, bien implantée dans le secteur, est consultée, tout comme plusieurs autres acteurs de la complémentaire santé. « Nous nous sommes renseignés auprès de plusieurs mutuelles, explique Hélène, qui gère actuellement avec sa collègue Catherine le partenariat avec notre organisme. La plus intéressante restait Just. Ce choix a été acté en conseil municipal et le partenariat a pu démarrer ».
Réunions publiques, mise en place d’une permanence, outils de communication, tout est mis en œuvre par notre mutuelle pour informer les habitants de cette nouvelle offre solidaire. Ce qu’apprécie M. Merly : « Plus il y aura d’adhérents dans la commune, plus ce sera intéressant pour tout le monde, confirme-t-il. Le fait que Just dédie un conseiller pour des permanences régulières est, dans ce cadre, tout à fait appréciable ». La responsable du CCAS renchérit : « Tout se passe bien. L’organisation est top, il n’y a, pour l’instant, rien à redire. Les réunions publiques ont bien fonctionné et il y aura quatre permanences d’ici la fin de l’année ». De quoi permettre aux 4 600 Marchiennois d’avoir toutes les informations nécessaires pour faire leur choix.
Une agence de mutuelle ou d’un autre type de service est la vitrine concrète d’une entreprise. Ses conseillers sont ceux qui travaillent au plus près de l’adhérent. Ils renvoient la première image de la structure. Il est donc important que les agences soient ouvertes quasiment en permanence. A la Mutuelle Just, nous avons mis en place un dispositif qui évite ce genre de désagrément.
Aujourd’hui, nous sommes à l'agence de la Mutuelle Just de Dunkerque pour rencontrer Audrey. Mais, nous aurions pu être à Arras ou Cambrai. Car, Audrey est ce que l’on appelle dans notre jargon une « volante » : une conseillère chargée des renforts et remplacements. « Mon travail consiste à pallier une absence en agence, nous explique-t-elle. Cela suppose que le matin, je peux être dans une agence et l’après-midi dans une autre ». Ce fonctionnement demande une grande organisation et un planning bien défini. « Selon le planning, les déplacements peuvent très variés. Cela demande une grande souplesse car il y a toujours des imprévus de dernière minute : une maladie ou autre. Moi, personnellement, j’aime bien le changement, quand ça bouge, donc ça me va », sourit celle qui a pris son poste depuis six mois désormais.
Et les adhérents, comment vivent-ils cette situation ? « Certains adhérents ont leurs petites habitudes, mais changer les habitudes, c’est sympa aussi, plaisante Audrey. La seule différence avec ce qu’ils connaissent habituellement, c’est que j’ai besoin d’un peu plus de temps pour analyser leur dossier, là où leur conseiller habituel peut avoir un vécu avec l’adhérent. Sinon, c’est pareil et plutôt bien accepté à mon avis ».
Ils sont cinq à se répartir ainsi les 14 agences de la Mutuelle Just. Mais pas que… Car Audrey et ses collègues ont une autre mission importante. « Nous gérons aussi les permanences mises en place dans certaines villes ayant conventionné une mutuelle communale avec Just », précise-t-elle. En effet, notre mutuelle a la confiance de près de 250 communes des Hauts-de-France pour proposer une mutuelle à prix négociés aux habitants desdites villes. Si toutes n’ont pas de permanences, Audrey en gère tout de même trente-deux de manière régulière ! « Ces permanences nous permettent d’être au plus près des adhérents ou futurs adhérents. Elles sont soit à jour et horaires fixes, soit sur rendez-vous. C’est une part importante de mon travail et ça permet de rendre le meilleur service à la population ».
Nous terminerons sur cette phrase qui résume bien la proximité que la Mutuelle Just souhaite maintenir au quotidien avec ses adhérents.
Aujourd’hui, direction Marly, près de Valenciennes. Nous avons rendez-vous avec les représentants de l’Association des Anciens Salariés de PPG (AASPPG). A la Mutuelle Just, cette association est parmi celles qui comptent le plus d'adhérents et cela fait plusieurs années que ça dure.
C’est à l’étage d’une maison de ville que nous rencontrons Gérard, Béatrice et Moïse, respectivement président, trésorière et secrétaire de l’AASPPG.
Il y a plus de vingt ans, un groupe d’anciens salariés de PPG, société spécialisée dans la peinture industrielle, fait un constat : une fois sortis des effectifs de l’entreprise, les retraités ne bénéficient plus de la mutuelle collective de leur employeur. Ils ne peuvent plus prétendre qu’à des contrats individuels, aux prestations moins intéressantes et aux tarifs plus élevés. Une association est donc née, regroupant d’anciens salariés de PPG, afin de mettre en place un contrat collectif de complémentaire santé pour ses membres.
« Au départ, nous sommes restés dans la même mutuelle que celle de PPG, explique Moïse. Mais, très vite, les avantages que nous avions se sont délités. Alors, le président de l’époque a proposé aux membres du conseil de l’association de regarder ce qui se faisait ailleurs et avons choisi la Mutuelle Just ». Désormais, cela fait presque dix ans que la relation entre l’association et la mutuelle perdure.
Et pourtant, ils reconnaissent eux-mêmes leur intransigeance : « Nous sommes chiants, il n’y a pas d’autres mots, acquiesce Gérard en souriant. Nous ne voulons pas forcément la mutuelle la moins chère, mais des garanties avantageuses pour nos adhérents. Nous nous intéressons à toutes les subtilités des contrats ».
Une vraie plus-value pour les 400 familles adhérentes à la Mutuelle Just qui bénéficient d’un vrai relais de la part de leurs dirigeants. « On fonctionne comme ça depuis plusieurs années, en partenariat et en confiance, souligne Moïse. On connait nos interlocuteurs, ils sont à l’écoute et prennent en compte nos propositions pour améliorer le contrat quand cela nous semble nécessaire ».
Cette méthode semble fonctionner puisqu’au 1er janvier de chaque année l’AASPPG renouvelle sa confiance à notre mutuelle, alors même que tous les ans, elle lance un appel d’offres pour interroger le marché. « Notre vice-président nous aide à analyser nos chiffres tous les mois, précise Béatrice, la trésorière du groupe. Nous coachons nos adhérents pour qu’il n’y ait pas d’abus. Quand un membre de l’association se fait démarcher par une autre mutuelle, nous analysons avec lui les garanties et on se rend très souvent compte que notre contrat associatif reste le plus avantageux ».
L’association AASPPG recherche de l’efficacité, de l’écoute et de l’exigence : elle semble avoir trouvé son bonheur avec la Mutuelle Just.
Abder est conseiller fidélisation grands comptes. Il participe notamment à la satisfaction de chaque entreprise partenaire de la Mutuelle Just. Pour cet amoureux de musique et de la vie en général, il ne s’agit pas d’un simple emploi, c’est un engagement quotidien.
Ce matin, nous prenons la route avec Abder. Sa voiture, c’est comme une deuxième maison quand, comme lui, on parcourt l’ensemble des Hauts-de-France pour aller au plus proche des entreprises adhérentes. Toujours élégant, lunettes de soleil sur le nez, il conduit prudemment tout en nous racontant son parcours.
« J’ai d’abord travaillé pour un grand groupe mutualiste, puis je suis parti dans le secteur médico-social pour participer au développement d’un Centre Local d’Information et de Coordination (CLIC). Je suis ensuite devenu responsable d’un établissement pour personnes âgées privé ». Voilà un parcours dont la logique sociale est claire. Il est comme ça, Abder : entier, généreux et humaniste.
De ce fait, on peut supposer qu’il se retrouve dans les valeurs portées par la Mutuelle Just. « Les valeurs mutualistes portées par Just me correspondent, confirme Abder. Mais j’ai trouvé encore plus : une mutuelle de proximité, qui innove, qui a juste la bonne taille pour être efficace et souple et qui pense réellement à la prévention et à la solidarité ». A l’entendre, voilà le mix idéal. « Ça a été un vrai coup de cœur pour le projet. J’ai souhaité m’inscrire dans cette dynamique. C’est un vrai engagement de ma part ». Quand on vous dit qu’il est entier, Abder.
Dès lors, on pourrait penser ces valeurs contradictoires avec la logique commerciale de son métier. Abder balaie l’argument du revers de la main, mais toujours avec le sourire. « Pour moi, l’efficacité prime. Par efficacité, je veux parler de cette balance à trouver entre les besoins de l’humain et la nécessité de faire vivre la mutuelle. Quand j’échange avec un adhérent ou un potentiel adhérent, je veux avoir la certitude que l’autre n’est pas perdant. L’entreprise et la mutuelle, ce doit être un duo gagnant, pour reprendre le nom de l’une de nos offres ».
Mais nous arrivons déjà au terme de notre voyage en voiture. Abder part à la rencontre d’une association de retraités pour faire le point sur son contrat et lui expliquer la réforme du 100% santé. Pour lui, tout se joue sur la confiance, celle qu’il a gagné auprès de ces partenaires au fur et à mesure des années : « A mon sens, il ne faut pas tout miser sur les prix, conclut-il. Il faut parler du bien commun, de la santé collective. Ce discours fonctionne quand on l’explique et est une base saine de partenariat ». Et tout cela avec le sourire, comme d’habitude.
Le mot « mutuelle » est souvent galvaudée et englobe, à tort, l’ensemble des organismes proposant de la complémentaire santé. Or, une vraie mutuelle est une structure qui existe pour et par ses adhérents et qui est administrée par des représentants élus par ses derniers. Rencontre avec un administrateur qui participe à la destinée de la Mutuelle Just.
Jean-Pierre en impose, comme on dit. Large stature, mains puissantes, voix de stentor, un physique cohérent avec les postes à responsabilité qu’il a pu exercer chez Bombardier.
De cette période, Jean-Pierre évoque sa participation au Tunnel sous la Manche, en tant que responsable logistique, et ses années de représentation syndicale. « J’ai travaillé 37 ans chez Bombardier, commençant modestement au secteur achats pour ensuite évoluer au sein de l’entreprise, indique ce valenciennois pure souche. Une fois en retraite, j’ai participé à la création de l’association des anciens de Bombardier et nous avons choisi de proposer une mutuelle pour les membres de cette association ».
C’est ainsi que la Mutuelle Just est entrée dans la vie de Jean-Pierre. Enfin, pas tout à fait : « Avant d’entrer chez Bombardier, j’étais adhérent à La Famille valenciennoise [ndlr : l’un des anciens noms de la Mutuelle Just]. Puis j’ai dû souscrire à la mutuelle de mon entreprise, avant de revenir chez Just à ma retraite. Je suis quelqu’un de fidèle quand tout se passe bien ».
C’est que Jean-Pierre est un homme de convictions. On ne compte plus les associations ou les comités dont il est à l’initiative ou auxquels il a participé : associations de quartier, clubs sportifs, commissions d’usagers, comités syndicaux, Il est sur tous les terrains. « Je ne peux être bien qu’en étant tourné vers les autres, confesse-t-il. C’est donc tout naturellement que j’ai accepté de briguer un poste d’administrateur au Conseil d’administration de la Mutuelle Just quand on me l’a proposé ».
Cette candidature est, en effet, logique pour cet adhérent qui n’a eu que des satisfactions avec sa mutuelle. Son élection, Jean-Pierre l’a vécue comme un ordre de mission. « En tant qu’administrateur, je reste fidèle à mon engagement dans l’action sociale, précise-t-il. Je peux aider les adhérents qui ont une vision extérieure de la mutuelle, tout en ayant les informations de l’intérieur du système ». Et de conclure avec un sourire : « Ça ne me coute rien et ça rapporte beaucoup aux autres ». Plus qu’une conclusion, un sacerdoce.
Lors d'une démission, il est parfois possible de conserver sa mutuelle d'entreprise. Mais cela est il possible en cas de démission, et dans quel cadre ?
Le fait de partir d’une entreprise peut induire également de perdre les avantages qu’elles procurent. Le contrat d’assurance santé collective qu’elle possède en est une. Mais certains cas permettent de continuer à bénéficier des garanties de la mutuelle, avec une incidence tarifaire.
En effet, la loi stipule que la couverture santé au profit des anciens salariés doit être maintenue en fonction des raisons du départ de l’entreprise.
Ce principe s’applique aux salariés ayant perdu leur emploi pour des raisons indépendantes de leur volonté. comme par exemple, le licenciement, l’invalidité ou le départ en retraite notamment.
Autre cas de figure, lorsque le salarié démissionne pour une raison légitime. Cette raison légitime ouvrant droit à un revenu de remplacement comme l’allocation chômage ou de formation.
Le contrat à titre collectif devient dès lors une adhésion individuelle. Sous réserve bien entendu que le salarié ait été réellement assuré au préalable à titre collectif.
L’ancien salarié qui désire conserver sa mutuelle d’entreprise devra en faire la demande auprès de l’organisme assureur. Cette demande doit se faire dans un délai de 6 mois suite à la rupture de son contrat.
L’organisme choisira dès lors de proposer une adhésion individuelle ou, dans certains cas, une souscription à un contrat collectif facultatif.
Ce maintien de droit ne concerne que la couverture santé, et la loi ne prévoit pas un maintien sur les contrats de prévoyance notamment.
Concrètement, la couverture proposée à l’ancien salarié doit être identique à celle dont il disposait lorsqu’il travaillait pour l’entreprise. Les prestations et les risques couverts doivent être similaires. La complémentaire santé n'imposera aucun questionnaire de santé, ni de délai de carence.
Ce maintien n’a pas de durée définie dans le temps, l’ancien salarié pourra en bénéficier aussi longtemps qu’il le souhaite. Seuls les ayants droits du salarié ne peuvent prétendre au maintien de la complémentaire santé sur une période de plus d'un an.
En définitive, la seule chose qui changera pour l’ancien salarié concernera le prix, en raison de l’individualisation du risque. En effet, les cotisations à payer seront plus élevées, et ceux bien que la loi impose que le coût de la cotisation ne puisse pas être supérieur de 50% à celle payé par les salariés de l’entreprise. Toutefois, entre l’absence de participation de l’entreprise, dont l’apport équivaut souvent à 50% de la cotisation, et ce supplément, le prix pourra être élevé.
Mutuelle et accident de travail : comment est-ce pris en charge ? Il convient de connaître les incidences d’un point de vue financier. Et le rôle joué par les mutuelles dans la prise en charge de ces accidents.
Un accident du travail est un dommage corporel subit par un salarié en lien avec son activité professionnelle. Il convient de le rappeler car la définition de celui-ci est parfois mal établi. Le terme regroupe donc aussi les accidents pouvant survenir lors du trajet permettant de se rendre à son travail, ou de revenir à son domicile, ainsi que les déplacements pour prendre ses repas.
La déclaration de l’accident de travail doit se faire dans les 24 heures, avec un passage obligatoire auprès du médecin traitant. Celui-ci délivrera le certificat à transmettre à la Caisse Primaire d’Assurance Maladie. L’employeur fournira une feuille d’accident qui permettra d’obtenir de la sécurisation un niveau de remboursement à 100%.
En effet, l’accidenté du travail obtient une prise en charge totale des frais de santé et d’hospitalisation, et sans délai de carence. Seul le jour de l’accident reste à la charge de l’employeur. Durant l’arrêt, la Sécurité Sociale versera donc une “indemnité journalière”. Cette indemnité équivaut à 60% du salaire quotidien, durant les 28 premiers jours. Par la suite, la quotité augmentera à 80% jusqu’à la fin de l’arrêt de travail. Précisons que ces indemnités journalières ne sont pas soumises à l’impôt sur le revenu.
On vous versera l'indemnisation en continu, dans l’hypothèse d’une incapacité de travail permanente.
Les soins médicaux, les frais de transport à l’hôpital, les soins ambulatoires et le forfait hospitalier font l’objet d’une prise en charge totale de la part de la Sécurité Sociale, hors dépassement d’honoraires.
En fonction de l’ancienneté dans l’entreprise, le salarié peut bénéficier d’une indemnisation complémentaire. Après au moins 3 ans, l’indemnité sera de 90% du salaire brut mensuel, complétant ainsi l’indemnité de la Sécurité Sociale. La durée sera de 60 jours, et augmentera en fonction de l’ancienneté, avec un maximum pouvant atteindre 180 jours.
La mutuelle n’intervient donc pas dans le cadre d’un accident de travail, sauf si l’assureur de l’entreprise refuse de couvrir le salarié et l’entreprise. Dans ce cas l’assurance se doit d’informer la mutuelle santé.
Bien que n’intervenant pas directement, certains besoins de santé courant peuvent tout de moins s’avérer bien utiles durant cette période. Certains contrats offrent de plus des éléments de confort spécifiques lors des accidents de travail, ce qui peut être fort utile.
La question du délai de remboursement par une mutuelle des frais de santé est récurrente. Suite à une visite chez le médecin, ou à l’occasion du règlement de médicaments à la pharmacie, vous percevez un remboursement de vos frais. Si vous possédez une mutuelle santé, le delta manquant vous sera ensuite payé. Quels sont les délais de remboursement par la mutuelle ?
Médicament, consultation, hospitalisation, l’avance des frais de santé est fréquente, et peut constituer un manque dans une trésorerie. Le délai de remboursement par la mutuelle est donc important. Sachant que l’usage de la carte Vitale a permis de créer un processus relativement rapide. En effet, la présentation de la carte verte assure une transmission rapide des informations vers la caisse d’Assurance Maladie. Selon les données fournies par la Sécurité Sociale, le délai moyen d’un remboursement est de cinq jours, durée pouvant être légèrement supérieure en cas de jours fériés. Le versement se fait directement sur le compte bancaire de l’assuré.
L’absence de la carte Vitale, ou une anomalie sur le terminal de transmission du professionnel de santé, induit d’utiliser une feuille de soins. Le délai est généralement d’une semaine à dix jours. Plus si c’est un acte plus complexe qui fait l’objet de la transaction (hospitalisation, chirurgie,…).
Le remboursement de la mutuelle se fait toujours après celui de la Sécurité Sociale. Vous devez dès la réception du bordereau de remboursement de la Sécurité Sociale prendre contact avec votre complémentaire pour obtenir le paiement restant dû. La rapidité du remboursement est donc dépendante de celui des caisses d’Assurance maladie, le délai supplémentaire étant d’environ quinze jours.
Toutefois, certaines mutuelles sont reliées à la Sécurité Sociale par un système de télé-transmission. Ce système vous évite d’avoir à faire la démarche auprès de votre complémentaire santé. Le lien se fait en direct et le délai du remboursement de la mutuelle sur votre compte bancaire es d'une dizaine de jours. Attention toutefois, certaines mutuelles appliquent un délai de carence pour ces prestations lors de la souscription d’un contrat, ou à l’occasion d’un changement de formule. Ces délais peuvent porter sur toutes les prestations ou uniquement certaines, et avoir une durée de trois à six mois.
Au moment de choisir sa complémentaire santé, il est donc important de vous informer sur les délais de carence pouvant exister. Ainsi que sur le fait que l'organisme bénéficie de la télé transmission avec la Sécurité Sociale afin de percevoir des remboursements sans trop attendre.
Spécialisée dans la mutuelle communale et la protection santé individuelle, la Mutuelle Just propose une gamme complète d’offres pour protéger votre capital santé.