En partenariat avec plus de 800 communes la mutuelle Just a élaboré une offre santé exclusive à destination des personnes qui y habitent ou y travaillent . Cette offre a été pensée pour vous proposer une couverture santé complémentaire de haute qualité et à tarif avantageux.
La confiance et la proximité sont au cœur de notre démarche. En choisissant la mutuelle communale, vous optez pour une complémentaire santé pensée en collaboration avec les acteurs locaux de votre ville, vous offrant une couverture santé complémentaire de haute qualité à des tarifs avantageux.
Nos garanties sont conçues pour accompagner votre parcours de santé au quotidien, en répondant à vos besoins de remboursement et en tenant compte de votre pouvoir d'achat.
👨👩👧👧 Une mutuelle communale ouverte à tous les habitants et salariés du territoire. Quels que soient votre âge et votre situation.
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🔎 Adhésion sans conditions. Aucun frais caché ni de questionnaire médical pour une couverture à J+1 !
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💶 Une Mutuelle à but non lucratif. Nous ne reversons pas de dividende à des actionnaires : la Mutuelle Just se place à 100% au service de ses adhérents depuis 1927.
👬 Une Mutuelle qui appartient à ses adhérents. 45 adhérents délégués et 20 adhérents administrateurs assurent la bonne gestion et la gouvernance de la Mutuelle Just. N'hésitez pas à candidater aux prochaines élections !
🤗 Choisir la mutuelle Communale, c’est faire le choix de la tranquillité et de la sérénité pour vous et votre famille. Profitez de nos tarifs avantageux et d'une couverture de qualité validée par votre mairie. Rejoignez dès aujourd'hui nos adhérents satisfaits !
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Pénuries d’eau potable, qualité de l'eau du robinet, conformité de l’eau en bouteille… l'or bleu fait régulièrement la Une des journaux à coups d’événements climatiques et d’actualités polémiques.
L’eau est indispensable à la vie, et doit à ce titre faire partie intégrante de nos préoccupations. Alors à l'occasion de sa journée mondiale célébré le 22 mars, nous avons regroupé une sélection de ressources sur l’eau potable afin que vous puissiez vous forger votre propre opinion.
Cap sur un sujet à la fois primordial pour notre santé, notre porte-monnaie et notre environnement. 🌍
L’eau est indispensable pour le fonctionnement du corps humain, puisqu’elle assure le bon fonctionnement de nos organes.
Notre corps perd en moyenne 2,6 litres d’eau chaque jour, sous forme de transpiration, d’urine, de respiration et de larmes. Pour compenser cette perte, il est recommandé de manger et boire chaque jour entre 1,3 et 2 litres d'eau (selon son poids et son niveau d’activité dans la journée).
💡 Attention à ne pas attendre d’avoir soif pour boire ! La sensation de soif indiquant que la déshydratation est déjà amorcée, pensez à boire régulièrement de petites quantités d’eau au fil de la journée. Le pronostic vital est engagé dès lors qu’un organisme perd plus de 15 % de son poids en eau.
👉 QUELQUES RESSOURCES POUR VOUS INFORMER
Combien d’eau faut-il boire chaque jour ? – C.I.eau, le Centre d’information sur l’eau
Faut-il vraiment boire 1,5L d’eau par jour ? – Futura Sciences
💧 Une eau propre et sûre est essentielle pour maintenir notre corps en bonne santé. Il est donc crucial de veiller à ce que l'eau que nous consommons soit propre, sûre et conforme aux normes de qualité établies, afin de contribuer à prévenir les maladies et les infections plus ou moins graves.
Pour assurer la sécurité et la pureté de notre approvisionnement en eau, des normes strictes ont été établies et sont régulièrement mises à jour. Elles sont définies par le Code de la Santé Publique, et couvrent notamment les aspects microbiologiques et chimiques de l'eau (la présence de bactéries, concentration en substances telles que les nitrates, les pesticides, les métaux lourds…).
L’eau du robinet est en France l’un des aliments les plus contrôlés. Elle fait l’objet d’un suivi sanitaire permanent destiné à en garantir la sécurité sanitaire. Les agences régionales de santé (AR) sont responsables d’organiser ce contrôle, d’alerter les responsables du service public de l’eau en cas de risque pour la santé, de définir des mesures de prévention et de s’assurer du retour à la distribution d’une eau de qualité.
👉 QUELQUES RESSOURCES POUR VOUS INFORMER
La qualité de l'eau potable – ARS Hauts-de-France (article du 19/10/2023)
Qualité de l'eau potable : comment est-elle assurée ? – Vie-publique.fr (parole d'experts du 05/02/2024)
Textes réglementaires sur les eaux destinées à la consommation humaine – AIDA / Ineris
L'eau si précieuse – France 3 (Enquête de région Grand Est du 22/11/2023)
🚰 En France métropolitaine, l’eau du robinet est propre à la consommation et moins chère que l’eau proposée par les industriels.
Les rapports annuels publiés par les services publics de l'eau sont accessibles au public et fournissent des informations détaillées sur la qualité de l'eau distribuée dans chaque région. Regroupés dans une cartographie interactive, ces rapports évoquent la présence ou non d’éléments microbiologiques et chimiques, ainsi que sur les éventuelles non-conformités détectées et les actions correctives entreprises (mesures prises pour résoudre tout problème ou toute non-conformité détecté(e) dans la qualité de l'eau potable).
L’eau potable du réseau public étant dépendante de traitements chimiques (pour la rendre potable et conforme aux normes sanitaires), elle bénéficie parfois d’une mauvaise image. Une image qui n’est d’ailleurs pas redorée par les scandales sanitaires, comme celui de la présence des polluants éternels…
👉 QUELQUES RESSOURCES POUR VOUS INFORMER
CARTE Résultats du contrôle sanitaire de la qualité de l’eau potable en ligne, commune par commune – Ministère du travail, de la santé et des solidarités
CARTE La qualité de l'eau dans votre commune – ARS / AtlaSanté
Carte interactive de la qualité de l’eau – UFC-Que Choisir (données 2019-2020)
Comment notre eau potable a-t-elle été contaminée par un pesticide interdit ? – Podcast "La Question du jour" de France Culture (07/04/2023)
Pollution de l'eau aux PFAS. Leur origine, leurs conséquences sur la santé, les solutions : trois choses à savoir sur les "polluants éternels" – France 3 Occitanie (02/11/2023)
PFAS : surveillance dans l’eau de consommation - ARS Auvergne-Rhône-Alpes (article du 08/03/2024)
🧴 Au quotidien, certains d’entre nous optent pour la consommation d’eau en bouteille. Soit par habitude, soit par méfiance envers la qualité de l’eau du robinet.
Depuis les années 1960, l’eau d’origine souterraine est en effet mise en bouteille par les industriels, avec deux grandes catégories d’eaux : les eaux minérales naturelles et les eaux de source.
Les scientifiques s’accordent à dire qu’en France métropolitaine, boire de l’eau en bouteille est avant tout une question de goût et de moyens, et non une question de santé publique comme cela peut l’être dans d’autres territoires dans le monde.
Cette consommation d’eau en bouteille soulève des questions environnementales et de santé liées à la pollution plastique et microplastique.
En effet, malgré les solutions de recyclage, la plupart des bouteilles d’eau vont terminer leur vie enterrée ou brûlées en déchèterie, si ce n’est abandonnées dans la nature.
On retrouve par ailleurs des microplastiques dans l’ensemble du corps humain : dans le colon, le foie, le sang, les urines, les poumons… Les recherches scientifiques sont en cours pour déterminer à quel niveau la quantité de microplastiques ingérée est problématique pour notre santé.
👉 QUELQUES RESSOURCES POUR VOUS INFORMER
Quelle est la différence entre eau de source et eau minérale ? – Futura Sciences
Eaux conditionnées – Ministère du travail, de la santé et des solidarités
Le contrôle des eaux – Syndicat des eaux de sources et des eaux minérales naturelles (SESEMN)
L'impact écologique de l'eau en bouteille est 3.500 fois plus élevé que celui de l'eau du robinet – Slate (article du 09/08/2021)
Plusieurs producteurs d’eau en bouteille ont filtré illégalement leur eau pour masquer une contamination – France Info (article du 30/01/2024 sur l’enquête menée par Le Monde et la cellule d’investigation de Radio France)
En bouteille ou au robinet, quelle eau faut-il boire ? – La Croix Hebdo (article du 02/03/2024)
Qu’est-ce que l’ostéoporose ? Comment utiliser l’alimentation et le sport pour prévenir cette maladie du squelette ? Comment diagnostique-t-on une pathologie qui fragilise les os ? L’examen d’ostéodensitométrie est-il remboursé ?
Que vous ayez déjà subi une fracture osseuse ou que vous redoutiez ce scénario, informez-vous et agissez pour ne pas laisser l'ostéoporose menacer la solidité de vos os ! 🤗
🦴 L'ostéoporose est une maladie qui se caractérise par une diminution de la densité osseuse et une détérioration de la structure osseuse, ce qui fragilise les os et augmente le risque de fractures.
Contrairement à d'autres maladies, l'ostéoporose peut rester silencieuse pendant des années, sans que la personne ne ressente aucun symptôme avant qu'une fracture ne survienne.
Plusieurs facteurs peuvent augmenter le risque de développer de l'ostéoporose :
Le vieillissement.
Le sexe. Les femmes sont plus souvent touchées par l'ostéoporose que les hommes.
L’hérédité. Une prédisposition génétique peut jouer un rôle, surtout s'il existe des antécédents familiaux d'ostéoporose.
Les traitements. Certains traitements médicaux peuvent favoriser la perte de densité osseuse.
Des maladies endocriniennes. Des affections telles que l'hyperparathyroïdie et l'hyperthyroïdie peuvent contribuer à l'ostéoporose.
Des carences en vitamine D ou en calcium. Elles peuvent entraîner une déminéralisation osseuse, notamment chez les personnes âgées ou celles ayant un régime alimentaire inadéquat.
Des habitudes de vie. Une faible masse corporelle, un manque d'activité physique, une immobilisation prolongée, ainsi que la consommation excessive de tabac et d'alcool, peuvent augmenter le risque d'ostéoporose.
🏃♀️ L'activité physique régulière stimule la formation des os et aide à maintenir la densité osseuse. En particulier les exercices de renforcement musculaire et les activités comme la marche, la course à pied ou la danse.
Pour prévenir l'ostéoporose, il est recommandé de pratiquer au moins 30 minutes d'exercice physique (modéré à intense) plusieurs fois par semaine.
💡 À l'âge adulte et lors du vieillissement, le maintien d’une bonne masse musculaire et l’amélioration de la souplesse et de l’équilibre sont les meilleures façons d’éviter les chutes.
🍽 Avoir une alimentation équilibrée, avec des aliments sources de calcium et de vitamine D, contribue à prévenir l’ostéoporose.
Les aliments riches en calcium sont essentiels pour maintenir une bonne densité osseuse, comme par exemple :
les produits laitiers : lait, yaourt, fromage
les légumes verts à feuilles : épinards, brocoli
les amandes et autres noix
les sardines avec les arêtes
le tofu enrichi en calcium.
La vitamine D joue un rôle crucial dans l'absorption du calcium et dans la minéralisation des os. Une carence en vitamine D peut donc entraîner une mauvaise santé osseuse, d'où l'importance de manger des aliments riches en vitamine D, comme :
les poissons gras : saumon, maquereau, sardines,
les œufs,
le foie de morue,
les aliments enrichis en vitamine D (produits laitiers, céréales, jus d'orange...).
🔴 La réponse est non, et cela ne va pas vous surprendre : le tabac et l’abus d’alcool ne sont effectivement pas bons pour l’ostéoporose, et pour votre santé en général.
Le tabagisme aggrave les problèmes liés à l'ostéoporose. Pour abandonner cette habitude, nous vous recommandons de (re)lire notre article Et si j’arrêtais de fumer ?.
L'alcool peut diminuer la densité minérale osseuse et augmenter le risque de fractures. Modérer sa consommation d'alcool est donc crucial pour atténuer les effets néfastes de l'ostéoporose.
🩺 Le diagnostic de l'ostéoporose peut être réalisé grâce à la mesure de la densité minérale osseuse (DMO) par ostéodensitométrie, également appelée densitométrie osseuse.
Cet examen dure moins de quinze minutes. Il mesure la densité osseuse du rachis et du col du fémur à l'aide de rayons X à faible dose.
Les résultats permettent de déterminer le T score, comparant la densité osseuse à une valeur de référence, et ainsi d'évaluer la fragilité osseuse.
Il y a deux cas de figure.
👉 L’ostéodensitométrie est prise en charge sur prescription médicale pour les patients à risques, c’est-à-dire pour les personnes dont les facteurs médicaux rendent nécessaire l’examen de mesure de l’ostéoporose. L’Assurance Maladie détaille sur son site les situations qui sont totalement remboursées, pour tous ou spécifiquement pour les femmes ménopausées.
L’examen est alors pris en charge à 70 % par la Sécurité sociale (sur la base d'un tarif fixé à 39,96 €), la Mutuelle Just vous rembourse les 30 % restants, complétant ainsi la prise en charge du ticket modérateur (c’est-à-dire la part des dépenses qui reste à votre charge après le remboursement de l'Assurance maladie et avant la déduction des participations forfaitaires).
👉 Si votre cas ne remplit pas ces premiers critères, l’ostéodensitométrie peut être réalisée mais ne sera pas prise en charge par la Sécurité sociale.
Côté mutuelle, vous bénéficiez d’une prise en charge si votre contrat l’inclut dans le « forfait de prévention » (ce forfait de la Mutuelle Just dépend de l’offre de complémentaire santé souscrite et du niveau de garanties que vous avez choisi). Vous pouvez alors demander le remboursement de cet examen prescrit par le médecin, dans la limite du forfait disponible.
Sources et informations complémentaires :
Assurance maladie
Inserm
Vidal
Fondation sur la recherche médicale
Le 14 mars est la journée mondiale de l’audition. L’occasion rêvée de savoir si les idées reçues que nous avons sur les appareils auditifs sont avérées !
M. DAHRI, audioprothésiste diplômé d'État (DE), a accepté de répondre à nos questions et nous invite à se faire dépister dès que possible.
Avec lui, découvrons tout ce qu’il faut savoir sur les appareils auditifs… qui ne sont pas tous chers, gros et moches ! 🦻
M. DAHRI : « Au quotidien, on s’aperçoit qu’un proche souffre d’une perte d’audition lorsqu’il met plus fort le son de la télévision ou qu’il fait souvent répéter son entourage.
Un autre signe de la perte auditive, c’est lorsque la personne a du mal à comprendre son interlocuteur dans un environnement bruyant. Elle va alors entendre ce qu’on lui dit, mais sans saisir exactement le sens de ses paroles.
C’est pour cela qu’il est intéressant d’être accompagné lors du premier rendez-vous chez l’audioprothésiste, car la personne directement concernée peut avoir du mal à accepter le fait qu’elle a une perte auditive. »
« Pour commencer, il faut savoir qu’il est important de faire tester son audition au moins une fois par an, pour mesurer l’évolution de la perte auditive.
Au plus tôt on agit sur la perte, mieux c’est. Il ne faut pas attendre d’avoir 80 ans et de se dire : " Là ça ne va plus du tout. ".
Lorsqu’on met trop de temps pour se faire tester, c’est plus compliqué de mettre des appareils, parce que le cerveau s’est habitué à ne plus entendre certains bruits, ou s’est habitué à entendre à un niveau sonore très bas. Lui faire redécouvrir certains sons grâce aux appareils peut donc être compliqué. C’est pour cela que plus on est appareillé tôt, mieux c’est pour sa santé. »
« La plupart du temps les gens pensent que les appareils auditifs sont très chers et trop gros. Alors que non !
Côté prix, il existe les solutions 100% santé, où l’équipement est entièrement pris en charge.
Côté taille, il faut savoir que les appareils auditifs sont de plus en plus discrets, même si leur aspect esthétique dépend du niveau d’audition à compenser. Par contre, le patient peut personnaliser son appareil parmi une large gamme de couleurs. »
« Et bien non, ça n’a rien à voir !
Pour les personnes qui viennent faire un premier test auditif, je peux évaluer s’il y a une perte auditive, mais il faudra qu’ils aillent ensuite consulter un ORL pour diagnostiquer médicalement la perte. Ils auront ainsi une ordonnance à me présenter qui leur donne le droit d’être appareillés avec une prise en charge de la sécurité sociale et de leur mutuelle.
Au centre auditif, je leur explique les différents types et gammes d’appareils auditifs. Puis ils bénéficient d’une période d’essai de l’appareil d’environ 1 mois (adaptable en fonction du profil de chacun), sans frais ni engagement.
Dans le cas d’un renouvellement d’appareils, ce qui est possible tous les 4 ans, l’ordonnance est à demander à son médecin traitant.
Chose importante, il faut s’adresser à un audioprothésiste qui est diplômé d'État : c’est l’assurance d’être correctement pris en charge. »
« En tant qu’audioprothésiste diplômé d'État j’attribue un type d’appareil auditif en fonction du besoin de chaque patient.
Il y a deux catégories d’appareils : la Classe I et la Classe II.
La Classe I correspond au 100% santé. L’appareil auditif est intégralement pris en charge par la sécurité sociale et la complémentaire santé.
Ce dispositif est très peu connu et c’est dommage, parce que ces appareils sont complètement remboursés et permettent de mieux entendre et de mieux comprendre. Le seul point auquel il faut faire attention, c’est que ces types d’appareils fonctionnent avec de très petites piles. Et il peut être compliqué de les changer pour les personnes en manque de dextérité.
La Classe II correspond à la gamme du dessus. L’appareil auditif a un reste à charge, qui peut être remboursé par la mutuelle, selon son niveau de garantie.
Ces appareils plus perfectionnés permettent de mieux filtrer le bruit et donc d’avoir un certain confort auditif. Ils ne comportent pas de piles et sont rechargeables.
Chez Just Audio, nous proposons dans tous les cas des facilités de paiement. »
« Le premier conseil que je donne à chaque fois, c’est de bien porter ses appareils du matin jusqu’au soir.
Ce que je fais, c’est que je laisse à la personne le temps de s’adapter : je paramètre les appareils à 50 % du réglage la première semaine. Ensuite, en fonction de la personne, je les augmente progressivement, pour laisser le temps au cerveau de s’adapter aux nouveaux sons présents dans l’environnement. »
« D’années en années, les appareils auditifs sont perfectionnés et permettent de filtrer davantage les bruits et donc d’avoir des sons plus nets, plus confortables pour l’oreille.
Parmi les autres avancées technologiques, certains appareils détectent si le propriétaire chute et le signalent à l’entourage de la personne.
Enfin, certains modèles ont la possibilité d’être connectés au téléphone portable. On peut ainsi régler le volume de son appareil auditif mais également recevoir ses appels téléphoniques sans écouteurs supplémentaires. Cette fonctionnalité est principalement choisie par les personnes qui aiment la technologie. »
« Ce sont des appareils électroniques, ce qui veut dire qu’il doit y avoir un bon suivi.
De mon côté, je vais vérifier si les micros et les filtres commencent à se boucher. Pour cela, les patients viennent en général tous les 6 mois, mais j’agis au cas par cas. Il y a certains patients qui produisent plus de cérumen et donc à qui je demande de venir tous les 3 mois.
En faisant ça, on reste sur une fonctionnalité de l’appareil à 100%. Parce qu’il suffit qu’un micro se bouche pour avoir un impact direct sur la compréhension de la personne.
Un appareil bien entretenu dure plus longtemps ! »
💡 Si vous habitez dans le Nord, vous pouvez bénéficier de l’accompagnement de M. DAHRI quelle que soit votre mutuelle, en prenant rendez-vous au centre auditif Just Audio situé 19 rue de la Poste à Valenciennes (59). La prise de RDV s’effectue sur Doctolib ou en appelant le 03 27 45 07 47 du mercredi au samedi de 9h30 à 18h00.
Arrivée il y a à peine trois mois au sein de la Mutuelle Just, Perrine a vite été mise dans le bain. Pas forcément de la manière dont elle l’aurait souhaitée, mais la crise du coronavirus est passée par là et a mis un coup de projecteur sur son métier : la gestion des risques. Malgré un planning plus que chargé en ce moment, Perrine nous a accordé quelques instants pour nous expliquer son domaine d’expertise et son rôle dans la crise sanitaire que nous traversons.
« En entreprise, un risque est un événement dont la survenance est aléatoire et susceptible de causer un dommage aux personnes ou aux biens de la structure ». Enoncée par cœur comme une leçon d’école, cette définition prend tout son sens actuellement. Un sacré aléa tout de même que ce covid-19, qui met en lumière l’importance du rôle de Perrine et des gestionnaires des risques en général.
« Mon rôle au sein de la Mutuelle Just est double, nous précise Perrine. D’abord, je m’occupe de l’identification, de l’évaluation et de la priorisation des risques. Ensuite, j’ai une autre fonction : contrôleuse interne. Il s’agit d’assurer un contrôle permanent des activités, dit de second niveau (le premier niveau étant un niveau plus opérationnel). Je joue le rôle de garde-fou pour éviter des risques, tels que la fraude par exemple ». Un risque malheureusement toujours d’actualité en cette période où les tentatives d’arnaques se multiplient…
Ce sujet s’efface toutefois un peu face au tremblement de terre coronavirus.
Perrine se souvient du fil des événements : « Quelques jours avant l’annonce du confinement, la cellule de crise de la mutuelle s’est réunie. L’objectif numéro 1 était double : maintenir notre proximité avec nos adhérents tout en assurant la sécurité des salariés. Il fallait également rester vigilants aux autres risques potentiels, comme le ressenti psychologique du personnel, les possibilités de cyber-attaque… ». Perrine a analysé ce qu’elle appelle « le risque avéré » et a fait des préconisations en un temps record. L’ensemble de la mutuelle est passée en mode confinement sans augmentation notable du délai de traitement des demandes de ses adhérents.
Une première victoire grâce à l’apport de tous les collaborateurs. Perrine insiste d’ailleurs sur ce point : la gestion des risques ne concerne pas qu’une seule personne, elle demande l’implication de tous. Elle, se contente d’être la plus factuelle et objective possible pour proposer la meilleure voie d’amélioration.
En ce moment même, Perrine continue à travailler sur plusieurs plans spatio-temporels.
A court terme d’abord où la priorité a été mise sur un retour progressif à la normale des activités de la mutuelle suite à l’annonce du déconfinement le 11 mai. « Nous avons acté une réouverture de nos plus grosses agences le 18 mai. Pour les autres, ce sera le 25 mai. Ces réouvertures sont conditionnées à la garantie que toutes les mesures de sécurité soient appliquées ». Quant au personnel du siège, le Comité de direction a opté pour un maintien au maximum du télétravail et un retour sur place sur la base du volontariat et limité à quinze personnes pour le moment.
Sur le moyen terme, Perrine est malheureusement obligée d’envisager une deuxième vague de contamination suite au déconfinement et d’y préparer la mutuelle. « Je suis dans l’anticipation, en veille constante. Il faut préparer le monde d’après, précise-t-elle. Dès la réouverture du siège et des agences, je serai aussi à l’écoute pour voir s’il y a des points d’amélioration à apporter, des changements à effectuer… ».
Enfin, sur le long terme, Perrine se projette déjà sur les futurs risques potentiels, qu’ils soient conjoncturels, sanitaires ou d’un tout autre type.
Quand on l’interroge sur ce qu’elle retire de cette crise qui n’est pas encore achevée et de sa gestion par la Mutuelle Just, Perrine se veut positive : « Cette période exceptionnelle a révélé beaucoup de choses pour la mutuelle. Nous avions quelques points de faiblesse qui ont été fortement rattrapés. Je pense, par exemple, à la mise en place du télétravail, qui s’est déployé en un temps record et a été très vite efficient. Il n’y a pas eu de rupture non plus de notre mission première et un maintien de qualité de service appréciable ».
Pour la suite, Perrine est totalement en phase avec la direction de la mutuelle. « Toute période problématique doit être source de positif. Il faut transformer les contraintes en opportunités et la mutuelle travaille actuellement sur une amélioration de ses services aux adhérents et sur sa vision d’avenir ».
Terminons cet article sur cette note positive et cet espoir en l’avenir…
Le 19 avril, c’est la fête des secrétaires et assistantes de direction. A la Mutuelle Just, nous fêtons donc Anne-Sophie, Elisabeth et Gerlinde. C’est cette dernière que nous vous proposons de découvrir aujourd’hui dans son quotidien.
Confinement oblige, c’est au téléphone que se déroule cet entretien alors qu’une cinquantaine de mètres nous séparent habituellement du bureau de Gerlinde au siège de la mutuelle. Pour le trouver, rien de plus simple : c’est la porte en face du bureau du directeur général.
Car Gerlinde en est l’assistante. « J’ai la double casquette d’assistante du directeur général et de celle du président du Conseil d’administration de la mutuelle, explique-t-elle. Mais c’est cette deuxième partie qui me prend le plus de temps ».
En effet, dans le cadre de sa mission auprès de Philippe Mixe, président de notre mutuelle solidaire, Gerlinde gère les interactions entre la structure et ses adhérents administrateurs, le bon déroulement des différentes instances et commissions, le suivi des rapports officiels et des relations avec l’organisme de contrôle des assurances… Des tâches multipliées par le nombre d’entités gérées par la mutuelle !
Pas de quoi effrayer toutefois cette professionnelle aguerrie. « Après un bac technologique au lycée Wallon de Valenciennes, j’ai tenté la fac de droit mais ça ne m’a pas plu, se souvient-elle. J’ai obtenu un premier job comme secrétaire aux consultations de l’hôpital de Valenciennes, puis je suis parti effectuer un contrat de qualification auprès de la chambre de commerce et d’industrie : j’y ai obtenu un diplôme universitaire en comptabilité et économie d’entreprise ». A la suite de cela, Gerlinde est embauchée au centre de formation de la CCI, celui-là même qui l’a formée. D’abord, en tant qu’assistante de formation, puis comme responsable. « J’ai terminé mon parcours là-bas comme responsable de l’école de gestion et de commerce (EGC) qui était encore à Valenciennes à l’époque. Mais, j’avais fait le tour de la branche formation de la chambre de commerce alors j’ai décidé de partir pour la Mutuelle Just ». C’était en 2005.
Quinze ans plus tard, Gerlinde a bien évolué au sein de la structure. D’abord secrétaire du directeur général, elle récupère donc un rôle auprès du président du conseil d’administration suite à la fusion avec une autre mutuelle. Comme une marque de confiance supplémentaire, on lui confie également la gestion des services généraux : « Il s’agit de s’assurer que les agences et le siège de la mutuelle sont toujours en parfait état et de gérer la flotte automobile de la mutuelle ». Pour ce faire, elle a sous sa responsabilité Pierre, notre agent d’entretien, et des contacts réguliers avec nos prestataires de services.
De son propre aveu, Gerlinde apprécie cette diversité dans son travail, tout comme cette autonomie qu’elle a su obtenir par son sérieux et son abnégation. Une vraie reconnaissance qu’elle ressent encore plus depuis 2017 et l’arrivée de Ghislain Decobecq au poste de directeur général : « Notre directeur général a su mettre en place une ambiance de travail vraiment agréable, moins hiérarchisée. Tout le monde s’entend bien au niveau du personnel de la mutuelle, ça me plait énormément ». Un esprit mutualiste qui nous permet de tous nous associer pour souhaiter à Gerlinde, Elisabeth, Anne-Sophie et à toutes les secrétaires et assistantes de direction, une très bonne fête !
Dans l’organisation de la Mutuelle Just, il est le service qui regroupe le plus grand nombre de collaborateurs. Le secteur développement est chargé d’accroitre le portefeuille d’adhérents et de fidéliser ceux qui nous font déjà confiance. Il joue un rôle primordial dans le maintien en bonne santé de votre mutuelle. Laurent, directeur de ce secteur stratégique, nous en dit plus.
Toujours élégant et alerte, Laurent nous reçoit dans son bureau. Au mur, une carte de la région Hauts-de-France et un tableau blanc rempli de calculs. « Toute structure doit penser à son développement. Ce n’est pas un gros mot, explique-t-il d’emblée. Nous devons sans cesse chercher de nouvelles parts de marché pour continuer à exister, nous développer et continuer à proposer une réelle qualité de service à nos adhérents ».
Pour cela, un mot d’ordre : être à la pointe de l’innovation. « Quand Just a lancé une offre à destination des communes, personne d’autre n’y croyait, rappelle Laurent. Maintenant, toutes les autres complémentaires santé investissent ce créneau. Nous avons aussi été les premiers à proposer le remboursement des huiles essentielles ou de la cryothérapie, les premiers à mettre en place un forfait sport pour les affections de longue durée. L’innovation est dans notre ADN ». Selon lui, la taille de la mutuelle joue beaucoup : une petite structure permet une réactivité plus grande.
Autre valeur essentielle aux yeux du directeur développement : la qualité. Comme il le dit lui-même, un prix ne veut rien dire si on ne met pas en face des prestations. « Je pense qu’on vient chez Just pour la qualité de service. Nous avons la chance d’avoir un ancrage régional fort, des équipes commerciales et fidélisation efficaces et un conseil d’administration composé d’adhérents qui connaissent, de fait, les besoins exprimés et les points à améliorer. Nous sommes à l’écoute du marché, mais aussi de nos adhérents». Quand on lui parle de tarifs, Laurent est totalement transparent : « Sur le marché des complémentaires santé, nos produits sont correctement placés. Je ne suis pas fan des produits low cost. Encore une fois, c’est le rapport qualité/prix qui doit primer ».
Pour innover, fidéliser, accompagner les adhérents et convaincre les potentiels adhérents, Laurent peut compter sur une équipe de 34 personnes. Pour celui qui est revenu à la Mutuelle Just en 2016 (après un premier passage entre 1998 et 2002) et dont tout le monde loue les qualités de manager, ces collaborateurs sont une vraie plus-value, un moteur même, dans son approche commerciale. « Concrètement, le premier contact avec la mutuelle se fait forcément via un collaborateur du développement, précise-t-il. Que ce soit par le centre d’appels, les conseillers en agence ou les chargés de développement, nous sommes le point d’entrée de l’adhérent et du potentiel adhérent. Les collaborateurs sont les premiers ambassadeurs de la structure et je suis persuadé que de leur motivation dépend en grande partie la fidélité des adhérents ».
D’où sa volonté de les aider à performer pour permettre à la mutuelle de rester en bonne place dans le paysage mutualiste français. « La Mutuelle Just est perçue comme une PME. Or, je trouve qu’on n’insiste pas assez sur sa gouvernance : il y a encore quelques années c’était une association loi 1901 ! Il y a une vraie histoire et un sacré chemin parcouru pour en arriver là où nous en sommes aujourd’hui ». Ce qu’est la Mutuelle Just aujourd’hui ? Une communauté de valeurs et solidaire qui compte 65 000 adhérents et que Laurent et son équipe participent chaque jour à faire vivre et à épanouir.
Lui, c’est Frédéric. Son métier : développeur web. C’est un homme de l’ombre. L’un de ceux que vous ne verrez jamais en agence ou que vous n’aurez pas au téléphone. Et pourtant, il fait partie des rouages essentiels au bon fonctionnement de notre mutuelle puisqu’il est l’un des garants du bon cheminement de l’information entre vous et nous.
« J’ai commencé ma carrière professionnelle dans une boutique de jeux vidéo, explique celui qu’on appelle « Fred » au sein de la mutuelle. J’y suis resté sept ans, puis j’ai rejoint une enseigne de grande surface en tant que conseiller à la vente ». Suite à sa fin de contrat, Frédéric fait le bilan. « A titre personnel, cela faisant 25 ans que je faisais de l’informatique, donc pourquoi pas en faire mon métier… »
Durant sa formation au CNAM de Lille, Frédéric perfectionne sa technique, déjà très sûre. Puis, il rejoint la Mutuelle Just, première structure à lui donner sa chance en tant qu’informaticien, en 2015. « J’étais la clé à molette du service, plaisante-t-il. Je gérais aussi bien les demandes matérielles que logicielles. Je suis resté six mois ». Un départ qui ne doit rien au hasard ou à un souci professionnel : l’opportunité de participer à la certification ISO 9001 d’une entreprise d’usinage de précision était trop forte.
Preuve que sa première période au sein de la Mutuelle Just lui plaisait, Frédéric demande à revenir en novembre 2016. Pour ne plus la quitter. Mieux : pour y évoluer. « Suite à une restructuration du service informatique, un poste de développeur web a été créé. J’ai postulé et ma candidature a été retenue. Le fait de connaitre les logiciels de gestion de la mutuelle a été un argument majeur dans le cadre du couplage entre les différents outils existants et ceux à créer », explique celui qui, désormais, s’éclate dans son nouveau rôle.
Depuis, Frédéric développe des outils qui sécurisent le traitement des données de la mutuelle. Il crée des bases documentaires pour faciliter le travail des équipes. Il participe pleinement au développement de nouveaux outils web pour nos adhérents. « Je fais rarement deux jours la même chose, souligne-t-il. Quant à mon planning, j’ai arrêté d’en faire : il n’arrête pas de changer au gré des demandes ».
Mais, loin de se plaindre, Frédéric en redemanderait presque, tant il semble avoir définitivement trouver sa voie professionnelle.
Spécialisée dans la mutuelle communale et la protection santé individuelle, la Mutuelle Just propose une gamme complète d’offres pour protéger votre capital santé.