Pour affronter l'hiver, nous avons besoin de vitamines et d'oligo-éléments. Qu'il s'agisse de Vitamine C, B, magnésium, zinc ou fer, ils permettent de renforcer nos défenses immunitaires et boostent notre moral. Mais pour faire le plein d'énergie et lutter contre les infections, rien de mieux qu'une bonne alimentation ! Céline Capart, diététicienne et nutritionniste, nous explique comment réaliser de bonnes cures de vitamines, et affronter l'hiver !
Qu’il s’agisse des légumes racines (betteraves, navets, carottes), des cucurbitacées (potiron, potimarron, courge butternut), ou de la famille des choux (de Bruxelles, rouge, vert, blanc, brocolis), ils sont tous adaptés à la saison froide et apportent donc les nutriments essentiels pour réaliser de bonnes cures de vitamines. Aussi bien les vitamines du groupe B, du groupe C (dans les choux surtout), des minéraux (calcium, potassium, magnésium) mais également des antioxydants divers (bêta-carotène, caroténoïde, polyphénols).
De même pour les fruits d’hiver (les agrumes, les kiwis), et les fruits exotiques. Sans oublier les fruits secs, champions pour les fibres.
Attention toutefois, la vitamine C est très fragile. Le jus d’orange pressées doit être bu dans les 30 minutes qui suivent la préparation, sous peine de ne plus contenir de vitamine C, qui aura eu le temps de se dégrader. Et n'oubliez pas de ciseler du persil frais dans vos salades ou sur votre steak.
Les fruits et légumes d'hiver sont à consommer à chaque repas. Au moins deux légumes différents et un fruit, à midi et le soir. Cru ou cuit, nature, sous forme de compote, de purée, de gratin, de soupes, de jus… Ils se consomment sous toutes les formes. Les légumes en conserve ou surgelés peuvent aussi faire l’affaire pour dépanner quand on n’a pas le temps d’éplucher les légumes frais.
Pensez également à assaisonner vos plats de légumes d’épices et aromates pour améliorer la « santé » de vos recettes. Possédant des vertus médicinales protectrices sur des sphères diverses et très larges, les épices et aromates améliorent la saveur et l’odeur, apportent de la variété et évitent la monotonie astronomique.
Pour vos défenses anti-infectieuses, veillez à apporter les micronutriments indispensables :
Vous les retrouverez dans une alimentation variée et équilibrée avec notamment des fruits de mer, du poisson, de la viande, les légumes secs et les œufs.
De plus, un écosystème intestinal bien équilibré serait favorable à une bonne immunité. Les yaourts (et autres spécialités laitières), les fruits et les légumes ont une action positive sur la qualité de notre flore intestinale.
Et bien évidemment, il faut continuer à appliquer les conseils de base : la pratique d'une activité physique, même si elle n’est pas très intense, est essentiel car immunostimulant. L’hydratation, très importante pour permettre à l’organisme de fonctionner correctement. Le lavage des mains, pour éviter la transmission de germes et donc, rester loin des maladies.
En conclusion : une alimentation équilibrée est toujours la base pour bien se porter, mais en ces temps chargés de virus, il faut davantage penser aux fruits frais.
L’Assemblée Générale de votre mutuelle Santé Just qui regroupe les activités du centre optique Just’Optique et du centre auditif Just’Audio se réunira le 22 juin 2021, et se prononcera sur le renouvellement de la moitié de son Conseil d’Administration.
Cette instance porte la voix des adhérents de la Mutuelle Santé Just, et vous représente, vous toutes et tous. Car en tant qu'adhérents de la Mutuelle Just vous êtes automatiquement adhérents de Santé Just. Explications en détail.
Tout d'abord, votre mutuelle dispose d’un Conseil de 10 à 20 membres, et cela conformément à ses statuts. Ces derniers sont élus à bulletins secrets parmi les membres participants (les adhérents) et honoraires de la mutuelle qui présentent leur candidature. Les membres participants sont les personnes majeures qui figurent sur votre bulletin d’adhésion à la Mutuelle.
Par la suite, vos délégués, réunis en assemblée générale, élisent à bulletin secret les membres du Conseil d’Administration. Ils sont élus pour 6 ans, et peuvent êtres renouvelés par moitié tous les 3 ans.
Le Conseil d’Administration se réunit sur convocation du Président au moins 3 fois par an.
Une fois en place, le Conseil d’administration détermine les orientations de la Mutuelle et veille à leur application. Les Administrateurs ont pour rôle de délibérer sur les décisions stratégiques de la Mutuelle. Par ailleurs, ils peuvent aussi se saisir de toute question intéressant la bonne marche de la mutuelle.
Si vous êtes intéressé(e), alors vous devez obligatoirement envoyer votre candidature au plus tard le 12 juin. Celle-ci se fait par lettre recommandée avec accusé de réception (adressée à : Mutuelle Just, 53 avenue de Verdun, 59300 Valenciennes) ou par recommandé électronique (e-mail : g.bara@just.fr). Le formulaire d’acte de candidature est à retrouver ici.
1 kg cerise
600 g sucre semoule gélifiant
5 brins romarin frais
Lavez, équeutez et dénoyautez les cerises puis mettez-les dans une bassine avec le sucre et le romarin. Laissez macérer au moins 3 heures (le mieux est de le préparer la veille).
ÉTAPE 2
Portez la préparation à ébullition et laissez cuire une dizaine de minutes à feu vif. Testez la prise de la confiture en versant une goutte sur une assiette froide, si elle fige de suite, la confiture est prête.
ÉTAPE 3
Mettez la confiture dans des pots stérilisés, fermez et retournez le immédiatement. Laissez refroidir complètement la confiture pour une meilleure dégustation.
Conseil :
Si vous utilisez du sucre cristal (sans gélifiant) mettez une mousseline avec les noyaux de cerise dans la bassine et comptez 20 à 25 minutes de cuisson.
Vous pouvez retirer les brins de romarin avant la mise en pot si vous ne souhaitez pas qu’ils soient dans les pots.
Bon appétit !
250 g de beurre
200 g de sucre
4 oeufs
70 g de farine
250 g de chocolat
ÉTAPE 1
Avant tout, préchauffer le four à 180°C. Au bain-marie, faire fondre le chocolat et le beurre.
Dans un saladier, battre les œufs avec le sucre jusqu'à ce que le mélange mousse et blanchisse.
ÉTAPE 2
Dans la préparation, incorporer délicatement le chocolat, le beurre puis la farine.
Après avoir obtenu une pâte homogène, verser dans un moulle beurré et fariné (24/25 cm de diamètre).
Faire cuire environ 25 minutes.
ÉTAPE 3
Laisser refroidir le gâteau pour qu’il soit à température ambiante.
Bon appétit !
Le travail sur ordinateur, les réunions en visio, la télévision, l'utilisation des smartphones, tablettes … Tant d’activités se passant derrière les écrans. Nos yeux sont très sollicités sur une journée, d’autant plus depuis le 1er confinement. Pour vous aider à prévenir, mais aussi diminuer la sensation de fatigue visuelle, Yannick Benet ostéopathe et business manager chez Néo Forma, nous livre ses précieux conseils.
Les principaux signes de fatigue visuelle sont multiples :
Maux de tête
Yeux secs ou larmoyants
Irritation des yeux
Vision floue ou dédoublée
Difficulté d’accommodation
Douleur autour des yeux
Altération du champ de vision
Nous pouvons également retrouver d’autres signes comme des étourdissements, paupière qui tremble, sensation d’éblouissement ou encore la vision brouillée.
La fréquence du clignement des yeux varie de 12 à 20 clignements par minute, ceux-ci vont servir à hydrater le globe oculaire. Lors d’un usage intensif des écrans, la fréquence diminue de moitié et l’œil sera moins hydratée.
De plus, la fatigue oculaire peut entraîner une baisse de la qualité de lecture, de la concentration, et peut également avoir une conséquence directe sur la qualité de travail.
Le clignement est un mouvement indispensable au bon fonctionnement de l’œil. Clignez des yeux de manière exagérée pendant 30 secondes, et répétez. N’hésitez pas aussi à vous hydrater régulièrement (1,5-2L d’eau/jour), ou à utiliser localement des larmes artificielles pour les yeux.
Lorsque vous travaillez sur écran, il est important de garder une distance minimum de 50 à 70 cm des yeux, correspondant à une longueur de bras. Le haut de votre écran devra être positionné à hauteur de vos yeux, afin de favoriser le regard au neutre. Exception des personnes portant des verres progressifs, où l’écran devra être positionné plus bas.
Notez aussi que lorsque vous consultez vos smartphones, la distance minimum doit être de 30 cm.
Il est important d’adapter la luminosité de vos écrans à l’éclairage de votre environnement. Lorsque vous êtes dans un endroit sombre, diminuez la luminosité de vos écrans et inversement lorsque vous êtes dans un endroit éclairé, dans le but de ne pas créer de différentiel entre vos écrans et votre éclairage.
La lumière bleue se révèle à long terme, et à usage excessif, nocive pour la rétine. Il existe différentes solutions pour réduire de manière significative cette lumière : soit utiliser des lunettes à filtre anti-lumière bleue ou application un filtrage de lumière sur smartphones, ordinateur et tablette.
La poussière, les poils d’animaux, la climatisation et autres allergènes assèchent les yeux. Vous pouvez alors utiliser un purificateur, ou aérer régulièrement. Autre astuce, vous pouvez humidifier l’air en plaçant une bassine dans une pièce ou à proximité d’un radiateur.
Il sera important de vous accorder des pauses régulières, d’alterner les tâches et d’essayer de regarder au loin afin de faire travailler la vision longue distance. Également, limitez les reflets sur l’écran afin d’éviter les éblouissements qui fatiguent l’œil.
Idéalement, essayez de trouver une source lumineuse perpendiculaire à votre espace de travail.
Dans le but de diminuer ou soulager les signes de fatigue visuelle, pratiquer régulièrement des exercices faisant travailler les muscles oculaires est fortement recommandé. Par exemple :
Placez un stylo à bout de bras devant vos yeux, fixez le stylo puis faites le bouger dans les différents plans de l’espace tout en le suivant des yeux (sans faire bouger la tête).
Dessinez sur une feuille deux points distants d’environ 5 cm, puis rapprochez la feuille jusqu’à ce que les points coïncident.
La fatigue visuelle touche tout le monde. Soyez vigilant à l’apparition de signes et n’hésitez pas à consulter un professionnel en cas d’aggravation de ces signes.
Suite aux dernières annonces gouvernementales, le confinement va être allégé pour la fin de l’année 2020. Après une année difficile sur le plan santé et social, les fêtes de fin d’année nous motivent et donnent espoir.
Afin que vous passiez des repas de fête sans culpabilité, avec modération et en profitant pleinement du moment, notre diététicienne Céline Capart vous livre ses précieux conseils pour profiter des fêtes sans culpabiliser.
Tout d'abord, qui dit fêtes de fin d'année, dit repas multiples, bien copieux, aux apports nutritionnels riches. Il est vrai qu'il arrive parfois, au moment de sortir de table, d'en sortir écœuré. Même, d'avoir un sentiment de culpabilité d'avoir trop mangé, et la peur d’avoir pris quelques kilos après les efforts de cet été.
Arrêtons-nous ! La culpabilité vient de ce que nous moralisons, des règles que l’on s’impose, que l’on a entendu, de notre ego, qui nous fait croire au bien et au mal. Dans l’alimentation, il est important de dédiaboliser tous les aliments et d’apprendre de vos attitudes pour vous bonifier.
De la même manière que vous faites vos achats de Noël en avance, anticipez les repas festifs en limitant les plats riches en calories avant les fêtes (raclette, tartiflette, choucroute, fondue…) et succombez aux potages d’hiver fait-maison avec les légumes de saison (tous les choux, céleri, topinambour, citrouille, carotte, endive, salsifis, poireau…)
En ce qui concerne le jour-J, la 1re règle et la plus importante de toutes est de PROFITER ! Oui, vous avez bien lu, PROFITER. Profitez de ces moments avec vos proches et ne pensez pas aux calories présentes dans votre assiette. Pour une fois, ne cherchez pas à contrôler votre alimentation et savourez simplement le moment afin de renouveler votre stock de motivation pour l'année à venir.
Attention, tout de même, profiter ne veut pas dire "se remplir" et faire une orgie culinaire, mais simplement lâcher prise et apprécier le moment présent, sans confondre plaisir et excès !
La seconde règle, c'est la MODÉRATION. C'est une qualité importante tout au long de l'année, mais plus encore en période de fêtes. Il s'agit tout simplement de vous faire plaisir à petite dose, façon « restaurant gastronomique » . Pratiquez la modération à chaque instant, pour chaque plat, pour arriver à temps avec une petite place dans l’estomac pour le dessert. Quel bonheur !
N’ayez pas peur ! Les excès ne durent qu’un temps, et vu ainsi, ils sont non seulement peu dangereux mais nécessaires après cette année difficile.
Nos dernières recommandations pour le menu de 2020 :
Si vous suivez les conseils de notre diététicienne, soyez assuré de profiter des fêtes sans culpabiliser !
Toutes nos équipes vous souhaitent à tous de passer de bonnes fêtes de fin d’année, plein de bonnes choses à manger et à boire, entouré de personnes sympathiques et aimantes.
Qui dit confinement dit isolement, stress, ennui, et donc situation propice au grignotage impulsif pour combler ces sensations. C'est pourquoi, aujourd'hui, Céline Capart, diététicienne et nutritionniste, nous livre ses 7 conseils pour limiter le grignotage. Après avoir lu cet article, vous n'aurez plus aucune excuse de grignoter !
L'alimentation par grignotage, également appelée "chaos alimentaire" consiste à un abandon partiel ou total des repas socialisés. Ces derniers sont remplacés par des prises alimentaires hautement caloriques, avalées par petites quantités et intervalles irréguliers, sans faim réelle. Les aliments cuisinés sont le plus souvent délaissés au profit d’une nourriture consommable sans préparation.
Aussi, le grignotage peut être le moyen de s’octroyer un peu d’attention. Il n’est pas évoqué par la faim mais plutôt pour gérer un stress, nous détacher d’une émotion désagréable ou de combler un vide. Par ailleurs, les grignotages réguliers déstabilisent l’équilibre nutritionnel et font prendre du poids.
Conseil n°1 : Pensez à vous hydrater
Pour commencer, notre corps est composé de 60-70% d’eau. Il est essentiel de bien boire de l’eau tout au long de la journée et principalement entre les repas. Vous coupez ainsi l’envie de grignoter et éliminez les toxines. Peu habitué, votre esprit peu confondre sensation de soif et de faim. De plus, les premiers signes de faim sont souvent liés à une mauvaise hydratation. N’hésitez donc
pas à vous réconforter avec un thé et une tisane pour varier les goûts et vous réchauffer.
Conseil n°2 : Gardez le rythme
Et les bonnes quantités en mangeant doucement et en mâchant bien : 3
repas par jour et à heure fixe, avec des féculents (pâtes, riz, pain, etc.), à chaque menu. Une nourriture variée et équilibrée limite les risques de fringale, de grignotage, et favorise un meilleur équilibre physique et psychique.
Conseil n°3 : Occupez-vous
Evitez l’ennui , changer d’activité, faites une pause. Gardez le lien social avec un petit coup de téléphone à un ami… Sport, musique, télévision, lecture, couture, tricot, sudoku, soin, bain, cuisine… À chacun ses goûts. Etablissez un programme ludique alternant travail, détente et sorties ( selon les recommandations sanitaires).
Conseil n°4 : Un petit creux, ça arrive
En cas de petit creux, préférez un fruit (frais, sec ou à coque), des bâtonnets de légumes, un laitage, du pain avec du chocolat ou du fromage, voire même des œufs, du blanc de dinde ou du surimi. Faites des collations ou fractionnez vos repars avec des intervalles de 4h.
Conseil n°5 : Rangez correctement vos aliments
Il faut que vous évitiez de laisser des aliments librement à disposition et triez les placards. En rangeant correctement les aliments vous serez moins tenté de grignoter.
Conseil n°6 : Privilégiez des aliments à index glycémique bas
Aliments complets, avoine, oléagineux, fruits et légumes, légumes secs, viande, poisson, œufs, laitages natures, fromage et... le chocolat noir.
Conseil n°7 : Ecoutez votre corps
Selon Oscar Wilde "le meilleur moyen de résister à la tentation est d'y céder." Soyez bienveillants avec vous, tenter de tout contrôler est parfois efficace et coûte beaucoup. Interrogez vous en conscience sur votre comportement pour trouver la réponse qui vous conviendra. La tenue du carnet alimentaire permet de comprendre pourquoi nous mangeons sans cesse, en allant à la recherche des événements responsables et de modifier ainsi son comportement.
Découvrez comment conserver une bonne alimentation durant le confinement sur notre blog.
Dans le cadre de la Journée Européenne d'Information sur les Antibiotiques, le Dr Philippe Lecocq, infectiologue à la Polyclinique du Parc nous en dit un peu plus sur les antibiotiques.
Un antibiotique est un médicament qui tue les bactéries ou les empêche de se multiplier. Il en existe plusieurs classes et n’agissent pas sur toutes les bactéries : certains s’attaquent à quelques bactéries seulement, d’autres à une grande variété de bactéries.
Les antibiotiques sont efficaces uniquement contre les maladies d’origine bactérienne (infection urinaire, pneumonie, méningite bactérienne… ). Ils ne sont pas actifs contre les virus et n’ont donc pas d’effet sur le rhume, la bronchite aiguë, la grippe, la rhino-pharyngite et sur la plupart des angines. Ainsi, ils ne permettent pas aux patients de guérir plus vite ni de se protéger des infections virales transmises par d’autres personnes.
La découverte des antibiotiques a constitué un très grand progrès qui a permis de prolonger la vie de nombreuses personnes. Mais leur consommation est devenue très importante en France et se situe 30 % au-dessus de la moyenne européenne. La consommation globale semble se stabiliser depuis quelques années maintenant. 93 % des antibiotiques prescrits le sont en ville. Une très grande quantité est utilisée pour la santé animale dont 95 % administrée à des animaux destinés à la consommation humaine.
L’antibiorésistance est le phénomène qui consiste pour une bactérie à devenir résistante aux antibiotiques. Les bactéries qui y sont exposées développent des mécanismes de défense qui leur permettent d’échapper à leur action. Cette résistance peut se transmettre d’une bactérie à une autre. Les antibiotiques deviennent ainsi inefficaces. Le phénomène est fortement lié au mauvais usage et à leur surconsommation en médecine humaine ou animale. Il peut ainsi arriver qu’aucun antibiotique ne puisse être efficace pour traiter certaines bactéries. Malheureusement les nouveaux antibiotiques deviennent rares.
Pour lutter contre le développement des résistances bactériennes et préserver leur efficacité, il faut :
Vous vous sentez fatigué à l’arrivée de l’automne ? Rien de plus naturel ! Avec le changement de saison, le passage à l'heure d'hiver, de nombreuses personnes ressentent un blues saisonnier, une fatigue chronique ou ont tendance à tomber facilement malade. Outre le changement de température, plusieurs facteurs influent sur notre santé. Yannick Benet, ostéopathe et business manager chez Néo Forma, nous explique tout.
Dans la nuit du 24 au 25 octobre, nous gagnerons une heure de sommeil. S’il est facile de reculer l’aiguille de notre montre, il n’en est pas de même pour notre horloge biologique.
Un changement d’heure induit automatiquement un décalage dans la synchronisation de notre rythme circadien avec l’exposition à la lumière. Le rythme circadien, c’est ce rythme biologique établi sur 24H qui nous permet d’être réveillé le matin et de s’endormir le soir.
Quand celui-ci est mal synchronisé avec les signaux de lumière naturelle, notre système immunitaire devient plus vulnérable : c’est la porte ouverte aux virus de saison.
Pour lutter contre ce phénomène, plusieurs astuces existent :
Stimuler son système immunitaire est aussi un moyen efficace de rester en bonne santé tout l’hiver.
Grâce à une alimentation équilibrée et adaptée à la saison, il est possible de booster ses défenses immunitaires :
Enfin, les scientifiques ont démontré depuis 2010, que la pratique d’une activité physique régulière (au moins 20minutes) améliore significativement la résistance de notre organisme au virus saisonnier du rhume.
Mais attention aux blessures qui surviennent volontiers à froid, d’autant plus quand la température chute.
La pratique d’un réveil musculaire global permet d’échauffer tout l’ensemble de l’organisme et de le préparer à l’effort musculaire.
Découvrez également notre article conseil pour bien gérer son stress. Préservez votre santé mentale et votre santé physique grâce à nos conseils d'experts régulièrement dispensés sur notre blog.
On en parle moins souvent et pourtant, le coronavirus affecte également notre peau. Elle peut être signe de contamination mais peut également subir les agressions provenant du lavage des mains intensif, du port du masque ou encore l'utilisation répétée du gel hydroalcoolique.
Le Dr Anne CAUDRON, dermatologue et vénérologue à l'hôpital privé Saint-Claude, répond à toutes nos interrogations. Elle nous livre également ses conseils pour prendre soin de notre peau, même en pleine épidémie.
La Société Française de Dermatologie a lancé sous la forme d’appel à cas national l'enquête COVIDSKIN. Cette enquête a pour but de recenser les manifestations cutanées pouvant être associées au COVID-19.
Comme pour de nombreuses pathologies médicales, l'infection au Coronavirus a montré que la peau est un organe parlant de la maladie. C'est une zone sur laquelle les symptômes peuvent apparaître avant, pendant ou en retard par rapport à l'infection. Ainsi, les patients présentant des lésions à type d’engelures sont arrivés en première ligne.
Bien que la fréquence de lésions vésiculeuses ou bulleuses ait été remarquée, ces lésions ne semblent pas associées à une sévérité particulière.
La Société Française de Dermatologie a déclaré que "le caractère non inaugural ou révélateur de ces manifestations ne constitue pas un signe « d’alerte , en particulier lorsqu’elles sont isolées." De plus, "il n’existe pas d’argument en faveur d’une contagiosité potentielle de ces patients, message important pour les patients et leur entourage."
On nomme, par la suite, d'autres manifestations, parmi lesquelles :
Il est donc suggéré de tester rapidement les patients atteints de ces symptômes, même en l'absence de syndrome viral, pour limiter la propagation du virus et éviter une deuxième vague.
Les lavages répétés des mains (plus de 10 fois par jour), et l'utilisation de bio-nettoyants pour les surfaces entraînent une dermite caustique (appelée également dermite d'irritation.)
Celle-ci est différente de l'eczéma chronique des mains. Elle débute par l'apparition d'une inflammation (rougeur, sécheresse, fissures, prurit et sensation de brûlure) sur le dos des mains et en interdigital, et non sur les paumes ou les pulpes.
Cette dermite peut être prévenue en utilisant des détergents synthétiques, huiles émollientes douces et pains sur-gras. Il faut également éviter l'eau chaude, privilégier un séchage sans frotter, et protéger les mains avec des gants lors du ménage, du bricolage et du jardinage. On conseille d'appliquer une crème émolliente sans parfum, même en l'absence de lésions le soir au coucher, et de soins cicatrisants dès l'apparition de cette dermite.
Il est important de savoir que la solution hydroalcoolique ne cause pas de dermite caustique (sauf sur des mains abîmées), et que le rinçage du savon doit être soigneux pour éviter l'irritation des mains.
Chez les personnes présentant des antériorités d'eczéma, de dermatoses faciales à type d'acné ou de rosacé, le port prolongé du masque peut entraîner des poussées inflammatoires dues aux frottements et à l'irritation par microtraumatismes répétés.
Il est de ce fait conseillé :
Pour les personnes ayant une peau sèche :
Pour les personnes ayant une peau grasse :
C'est l'été ! Le moment de profiter des beaux jours. Mais, si vous sortez, d'autres habitants de nos vertes forêts, plaines ou montagnes en font tout autant. Moustiques, guêpes, taons, méduses ou encore araignées peuplent nos campagnes et nos villes et peuvent vous piquer. Pas de panique, les spécialistes des cliniques Elsan Hauts-de-France vous conseillent.
Ça y est, vous ne pouviez pas rester longtemps sans vous faire dévorer par les moustiques. Ou alors, votre enfant a marché sur une guêpe camouflée dans l'herbe. Et la méduse que vous n'avez pas vu dans l'eau bleue turquoise, elle ne vous a pas raté.
Dès que possible, le premier geste à effectuer en cas de piqûres d'insectes est on ne peut plus simple. En effet, il faut nettoyer la zone piquée à l'eau et au savon pour éviter un risque d'infection.
Vous pouvez ensuite appliquer une crème antiprurigineuse ou contenant un anesthésique local pour apaiser votre peau. En cas de réaction allergique légère, optez pour un gel antihistaminique.
Si vous êtes plutôt adepte des solutions naturelles, votre meilleure alliée sera l'huile essentielle de lavande. En effet, cette plante commune est connue pour son effet anti-inflammatoire et anesthésiant. Attention, toutefois, à bien respecter les dosages indiqués, comme pour toutes les huiles essentielles.
Autre possibilité, vous pouvez également appliquer en massage des plantes anti-inflammatoires telles que le calendula et le millepertuis.
Dans tous les cas, en cas de doute, un seul réflexe : la consultation chez un professionnel de santé.
C'est un cri d'alarme qui s'entend tous les ans en été. Chaque année, des faits divers associant piscine et enfant s'étalent dans les journaux. En cette période estivale, un rappel des principales règles de sécurité pour s'assurer que la piscine reste un jeu pour vos enfants parait opportun. Merci aux spécialistes des cliniques Elsan Hauts-de-France pour leurs précieux conseils.
Depuis l'arrivée des beaux jours, c'est la période des piscines qui font le bonheur des parents et des enfants. Ces derniers sont à surveiller particulièrement. En effet, qu'elles soient publiques ou privées, les piscines demeurent des lieux de danger pour les petits.
Malheureusement, chaque année, ils sont environ une centaine à se noyer ! C'est d'ailleurs la première cause de décès par accident de la vie courante avant 13 ans.
Ces chiffres doivent nous alerter et nous inciter à respecter quelques mesures simples pour éviter les risques.
Tout d'abord, la première règle est toute simple : on ne laisse jamais un enfant seul autour d'une piscine. Cela peut paraître évident, mais des drames commencent souvent à cause d'un instant d'inattention.
Parallèlement à une surveillance adéquate, la meilleure manière de faire comprendre la situation à votre enfant est de le sensibiliser. En le familiarisant avec l'eau, en lui expliquant les règles et les dangers potentiels, vous responsabilisez votre enfant et augmentez sa vigilance.
Quant au matériel de protection type brassards ou bouée, s'ils sont indispensables pour les jeunes enfants, ils ne dispensent pas d'une surveillance accrue.
Un long voyage avec un enfant, ça peut faire peur. Même si l'appel de la route et des contrées lointaines est tentant, la perspective de longues heures de trajet peut rebuter. Comment occuper les enfants pendant ce voyage ? Tous les conseils de nos partenaires des Hôpitaux privés du Hainaut sont à votre disposition.
Tout d'abord, avant d'aborder le trajet, pensez à ce qui se passe avant celui-ci. Préalable à toute conduite excédant deux heures, le repos doit être une priorité. En effet, une sieste avant le départ vous permettra d'appréhender sereinement les kilomètres qui vous attendent.
Mais, cette recommandation peut aussi être appliquée à vos enfants... D'une manière quelque peu différente. Ainsi, vous pouvez tout à fait prendre la route à une heure où vos enfants vont rapidement s'endormir et profiter ainsi de leur repos pour voyager sereinement.
En voyage, avec enfant ou non, le bon timing, c'est deux heures. Au-delà de cette période, la vigilance du conducteur, même reposé, baisse. Il est donc important de faire des pauses régulières, même si cela doit allonger le temps de parcours. Ne vaut-il mieux pas arriver à destination avec quelques minutes de retard que de ne pas arriver du tout ?
Pour bien optimiser ces pauses, préparez-les en amont. Prévoyez de quoi manger et boire, de quoi divertir les enfants et de quoi vous changer si besoin. Rien n'est plus énervant que de devoir décharger tout le contenu du coffre de la voiture pour trouver ce qui vous manque. Pensez donc à positionner ce que vous prévoyez d'utiliser dans des endroits facilement accessibles.
Quand ils ne dorment pas, comment occuper les enfants pendant le voyage, nous direz-vous ?
Tout d'abord, emportez en premier lieu leurs jouets préférés. Cela permettra à l'enfant de se sentir à l'aise et il aura ainsi l'impression que le temps "passe plus vite".
Ensuite, avant le départ, vous pouvez consulter de nombreux sites internet proposant des jeux pour occuper vos enfants pendant le voyage. Le classique décompte des voitures rouges croisées ou la liste des départements français à citer en fonction des plaques d'immatriculation font toujours leur petit effet. Mais, vous trouverez sûrement d'autres jeux sur ces sites spécialisés.
Enfin, rien n'empêche un bon livre ou le lecteur dvd portable. Cependant, ils doivent être proposés avec parcimonie, car à la longue, ils peuvent provoquer des maux de tête ou des nausées.
Spécialisée dans la mutuelle communale et la protection santé individuelle, la Mutuelle Just propose une gamme complète d’offres pour protéger votre capital santé.