Vous avez le nez qui chatouille et les yeux qui picotent ? Vous souffrez peut-être du rhume des foins ou d’une allergie au pollen, comme un tiers de la population française.
Sachez qu’il existe des solutions pour se soigner et se protéger ! On vous en dit plus dans cet article 👇
SOMMAIRE
- Qu’est-ce que le rhume des foins ?
- Et le pollen, c’est quoi ?
- Les pollens sont-ils tous dangereux ?
- Quels sont les effets du pollen sur notre corps ?
- Comment savoir si je suis allergique au pollen ?
- Comment mieux se protéger des allergies ?
- Comment soigner une allergie au pollen ?
Également appelé rhinite allergique, le rhume des foins est une allergie saisonnière lié à la production de pollen.
👉 On distingue 3 formes d’allergies au pollen :
la rhinite allergique saisonnière, avec nez bouché, éternuements, nez qui coule et démangeaisons ;
la conjonctivite allergique saisonnière, avec yeux rouges qui piquent, sensation de sable dans les yeux ;
l’asthme allergique, lorsque les pollens les plus petits entrent dans les bronches et provoquent des crises d’asthme, diminution du souffle, sifflements bronchiques et toux persistante. Lire notre article « Vivre avec l'asthme, un défi au quotidien »
📕 30% des Français souffrent d’allergie au pollen. Ce chiffre est en augmentation ces dernières années et pourrait atteindre les 50 % de la population d’ici 2050.
Le pollen se trouve sur de nombreuses espèces végétales comme les graminées, l’ambroisie, l’armoise, le plantin, le noisetier, le chêne, le bouleau…
Il s’agit d’un petit grain de poussière, le plus souvent jaune, libéré par les étamines (partie mâle de la plante) et qui se dépose sur le pistil (partie femelle) pour féconder la plante.
💡 La saison pollinique est vaste en France métropolitaine : les pollens d’arbres sont présents de février à avril, ceux des graminées de mai à juillet et ceux des herbacées d’août à octobre. Bonne nouvelle, il n’y a pas de pollen dans l’air lorsqu’il pleut 😉
👉 NON, les pollens ne sont pas tous allergisants.
Pour que le pollen provoque une réaction allergique, il faut :
qu’il soit présent en grande quantité dans l’air,
qu’il soit de petite taille (les petits grains de pollen restent plus longtemps dans l’atmosphère et parcourent de plus longues distances),
qu’il ait un fort pouvoir allergisant.
Au contact de nos yeux ou de nos voies respiratoires, les pollens provoquent des réactions plus ou moins invalidantes.
En voici les effets principaux :
éternuements,
nez qui gratte, parfois bouché ou qui coule clair,
yeux rouges, qui démangent et larmoient,
respiration sifflante et toux…
👉 Si vous êtes sujet aux symptômes présentés ci-dessus, parlez-en à votre médecin traitant.
Il pourra le cas échéant vous orienter vers un allergologue. Les symptômes d’allergie sont en effet diagnostiqués après un examen médical (tests cutanés, mesure du souffle…).
Pendant la saison pollinique, il est conseillé d’adopter les bons gestes afin de limiter les effets du pollen.
🏠 À l’intérieur
Rincez-vous les cheveux le soir (car les pollens s’y déposent en grand nombre).
Aérez votre maison au moins 10 minutes par jour, avant le lever et après le coucher du soleil.
Évitez l’exposition aux autres substances irritantes ou allergisantes (tabac, produits d’entretien ou de bricolage, parfums d’intérieur, encens, bougies, etc.).
🌳 À l’extérieur
Évitez de faire sécher le linge à l’extérieur.
Éviter les activités extérieures qui entraînent une surexposition au pollen : tonte du gazon, activités sportives… En cas de nécessité, privilégiez la fin de journée et le port de lunettes de protection et d’un masque.
Jardinez en début de journée et arrosez en fin de journée pour faire retomber les pollens (dans le respect des restrictions d’eau préfectorales).²
Favorisez la plantation de plantes et d’arbres peu allergisants.
Adoptez des protocoles de taille des végétaux qui limitent les émissions de pollens.
Luttez contre l’expansion de l’ambroisie en arrachant les plants qui poussent dans votre propriété (en vous protégeant les mains et le visage).
En voiture, gardez un maximum les vitres fermées.
💡 Plusieurs sites Internet ou applications mobiles vous permettent d’être informés des alertes polliniques. Citons notamment le Bulletin d’alerte pollinique et l’application mobile "Alertes pollens" du Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA).
© ATMO Auvergne-Rhône-Alpes
Selon l’Institut Pasteur de Lille, le moyen le plus efficace pour traiter une allergie au pollen sur le long terme reste la désensibilisation.
La désensibilisation consiste à mettre être en contact régulièrement et à faible dose du pollen avec votre organisme. De cette façon votre corps s’habituera à son contact et ne le reconnaîtra plus comme un ennemi.
🤧 Si vous souhaitez limiter dans le temps les symptômes du rhume des foins, il existe des traitements symptomatiques tels que :
l’utilisation d’un sérum physiologique,
l’utilisation d’un spray nasal d’eau de mer additionné de manganèse.
Il est également possible de prendre des médicaments antihistaminiques afin de réduire la réaction allergique.
👨⚕️ Demandez conseil à votre pharmacien : les médicaments antihistaminiques sont disponibles sans ordonnance pour une durée de 7 jours et réduiront vos réactions allergiques. Si les symptômes persistent, consultez votre généraliste afin qu’il vous prescrive un antihistaminique pour une durée plus longue jusqu’à la disparition des symptômes.
💡 Il existe par ailleurs différents remèdes naturels qui peuvent vous aider à réduire les effets du pollen sur votre organisme :
L’estragon, qui a des propriétés anti-allergènes.
Le thym, qui est un expectorant naturel, très utile pour libérer les voies respiratoires.
L’huile essentielle de lavande vraie, efficace contre les éternuements, libère également les voies respiratoires.
L’ortie, pour atténuer les écoulements de nez.
Les infusions de sureau et de vinaigre de cidre sont aussi très efficaces contre ces écoulements.
Les feuilles de pétasite (sous forme de gélules) sont également de bons remèdes face au pollen.
Parmi nos sources :
Renoncement aux soins, augmentation de la consultation chez le médecin, pénuries de médicaments, impact de la réforme des retraites sur les dépenses de santé… La presse se fait régulièrement l’écho des effets de l’inflation sur le secteur de la santé.
📰 Retrouvez ci-dessous une sélection d’articles & reportages évoquant la hausse du coût de la santé – une constante évolution qui impacte incontestablement l’équilibre de notre Mutuelle.
« Selon une étude Cofidis diffusée ce mercredi, le budget santé annuel des Français a augmenté de 500 euros en cinq ans. Dès lors, 26 % ont renoncé à des soins. »
Extrait de l’article publié le 12 avril 2023 par la rédaction de L’Alsace.fr
👀 Lire l’article complet sur le site de L’Alsace
« À partir de l'automne, les consultations chez les médecins généralistes vont augmenter d'1,50 euro. Cette mesure fait réagir les professionnels de santé. »
Extrait du reportage diffusé au 20H de France 2 le 24 avril 2023
Journalistes : M. Martel, C. Sinz, J. Delage, P. Caron, N. Bensmail, L. Hauville
👀 Visionner le reportage complet sur le site de France Info
« SANTÉ PUBLIQUE. Le ministre de la Santé, François Braun, souhaite davantage de solidarité européenne pour faire face aux pénuries de médicaments. Les industriels du secteur eux, plaident pour des hausses de prix. »
Extrait de l’article de A. Boumediene publié le 11 mai 2023 sur 20minutes.fr
👀 Lire l’article complet sur le site de 20 Minutes
« La réforme des retraites de 2010 aurait induit une augmentation significative des soins médicaux et des arrêts-maladie, a révélé une nouvelle étude dévoilée par l’Insee jeudi dernier. »
Extrait de l’article de M. Menu publié le 16 mai 2023 sur Capital.fr
👀 Lire l’article complet sur le site de Capital
La SEP ? C’est le petit nom de la sclérose en plaques.
À l’approche de la journée mondiale de la lutte contre la sclérose en plaques, le 30 mai, découvrez ce qui se cache réellement sous ces trois lettres... en répondant aux 10 questions de notre SEP challenge !
Faux.
👉 La sclérose en plaques (SEP) est une maladie auto-immune* du système nerveux central, qui touche le cerveau et la moelle épinière.
Cette maladie impacte surtout la myéline (la substance qui protège les nerfs du corps).
Vrai.
🧠 Les causes de cette maladie sont encore floues et mal connues des chercheurs.
Faux.
📈 La sclérose en plaques est une maladie évolutive, selon deux types distincts :
Une forme qui évolue par poussées qui durent plus de 24 heures. Elles se manifestent par l’apparition de nouveaux symptômes, la réapparition d'un ancien symptôme ou l'aggravation de symptômes déjà existants.
Une forme sans poussée, où la maladie évolue plus progressivement.
💡 L’évolution et l’expression de la maladie sont extrêmement imprévisibles.
Faux.
👉 Les jeunes adultes sont la première cible de la sclérose en plaques (la SEP est souvent diagnostiquée entre 25 et 35 ans).
👩 La sclérose en plaques touche davantage la gent féminine : 3 malades sur 4 en France sont des femmes.
Faux.
👉 La SEP touche aujourd’hui 120 000 personnes en France, dont 700 enfants ! Près de 3000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année.
👪 Cette maladie n’est pas héréditaire.
Faux.
📝 Il n’est pas possible de diagnostiquer la sclérose en plaques avec une prise de sang (car cette dernière ne montre pas les signes de lésions cérébrales). Pour poser un diagnostic, il faut rencontrer un neurologue.
👉 L’examen IRM est essentiel au diagnostic de la sclérose en plaques.
Faux.
😷 Les symptômes varient d’une personne à une autre. Ils se modifient avec le temps et dépendent de la zone du cerveau ou de la moelle épinière touchée.
💡 C’est une maladie qui peut parfois être invisible aux yeux des autres.
Vrai.
👉 Les pertes d’équilibre font partie des symptômes les plus présents chez les personnes atteintes de la SEP.
La sclérose en plaques peut également provoquer :
des problèmes oculaires,
des troubles de la motricité,
des troubles de la sensibilité,
des symptômes psychiques et cognitifs,
des symptômes généraux, digestifs, urinaires et sexuels.
💡 L’apparition de l'un ou de plusieurs de ces symptômes n'indique pas forcément la présence d'une sclérose en plaques.
Vrai.
👨⚕️ Jusqu’à présent, aucun traitement n’a été découvert pour guérir de la sclérose en plaques.
Vrai.
💊 Il existe 3 traitements permettant de ralentir la progression de la maladie et de l’atténuer :
Le traitement de fond. Il a pour but de réduire la fréquence des poussées, de diminuer les séquelles et donc de ralentir la progression du handicap.
Le traitement des poussées. En cas de poussée de sclérose en plaques, des corticoïdes sont prescrits en perfusion quotidienne, sous forme de « bolus » (dose unique administrée en 3 heures), 3 jours de suite. Ils permettent de diminuer la durée de la poussée et d'accélérer la récupération.
Les traitements symptomatiques. Ils permettent de soulager la douleur quand elle existe, de diminuer les contractures musculaires, de traiter la constipation, l'anxiété, les troubles urinaires…
Pour en savoir plus :
Quand vous vivez ou êtes témoin d’une situation d’urgence, vous n’avez pas le temps de choisir le numéro de téléphone adéquat en jouant à pile ou face : chaque seconde compte !
Pour être secouru de la meilleure façon et ne pas encombrer inutilement les lignes des secours, il est crucial de connaître par cœur les numéros d’appel d’urgence.
💡 Ces numéros sont gratuits depuis un téléphone fixe ou un téléphone portable, et sont accessibles en France 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
👉 Il est important lors de votre appel aux secours de donner le maximum d'informations précises, comme votre numéro de téléphone, l'adresse précise de l'endroit où les secours doivent intervenir et les raisons de l'appel. Ne raccrochez pas avant que l'interlocuteur ne vous le demande !
Et si votre cas n'est pas urgent (mal de tête, rhume...), vous pouvez joindre un médecin ou une pharmacie de garde (la nuit, les week-ends et jours fériés). La liste des médecins et pharmacies de garde est disponible auprès de votre mairie (et souvent sur son site Internet).
Vous confondez le 15, le 18 et le 112 ? Vous ne savez pas à quoi servent le 114, le 119 ou le 196 ? Pas de panique, on vous résume tout dans cet article.
Le 15 est le numéro de téléphone du service d'aide médicale urgente (SAMU).
👉 Il est à contacter en cas d’urgence médicale et de détresse vitale : un malaise, une hémorragie, des douleurs thoraciques ou des difficultés respiratoires.
Le 18 est le numéro de téléphone d’urgence des pompiers.
👉 Il est à composer en cas d'incendie, de fuite de gaz, de risque d'effondrement, d'ensevelissement, de brûlure, d'électrocution, d'accident impliquant des personnes ou tout autre situation de péril avéré ou potentiel.
Le 17 est le numéro de téléphone de Police secours.
👉 Le 17 permet de demander l'intervention des forces de l'ordre en cas d'infraction ou de danger comme des violences, une agression, un accident de la route, un trouble à l’ordre public, un vol à l'arraché ou un cambriolage. Une équipe de policiers ou de gendarmes se rendra sur les lieux.
💡 Si votre situation ne relève pas d'une urgence, composez plutôt le numéro du commissariat de police ou de la brigade de gendarmerie de votre secteur.
Le 112 est le numéro central d'appel d'urgence, utilisable dans tous les pays de l’Union européenne.
👉 En France, il permet d’être orienté vers le SAMU, les pompiers ou Police secours, selon les cas d’urgence. Depuis un pays européen, il permet de signaler le cas d’urgence en français et d’être pris en charge par les urgences locales.
Le 114 est un numéro d'urgence par SMS ou par fax. Les communications se vont par écrit avec votre correspondant (ou bien par visiophonie après téléchargement de l'application « Urgence 114 » sur votre smartphone).
👉 Il est utilisable par les personnes sourdes, les personnes malentendantes et les personnes en cas d’urgence qui ne sont pas en mesure de téléphoner ou de parler.
Le 197 est le numéro d'urgence activé en cas d’alerte attentat ou d’alerte enlèvement.
👉 Lorsque qu'une alerte est diffusée et que vous disposez d’informations pouvant aider les enquêteurs, composez ce numéro depuis la France : des policiers spécialisés vous répondent pour recueillir votre témoignage.
Le 115 est le numéro d’urgence du Samu social, un ensemble d'associations non gouvernementales venant en aide aux personnes démunies.
👉 Il s’agit du numéro national d'assistance et d'orientation pour signaler toute personne dans la rue, en détresse sociale.
Le 116 117 est le numéro d’accès à la permanence des soins ambulatoires qui est expérimenté dans les départements de Corse, des Pays-de-la Loire et de Normandie. Il est gratuit et accessible les soirs à partir de 20 heures, le week-end à partir du samedi midi et les jours fériés (il n'est donc pas accessible en journée durant la semaine).
👉 Il permet d'obtenir un conseil médical, une orientation vers un médecin généraliste ou une maison médicale de garde, l'organisation d'une visite à domicile en cas d'incapacité de la personne à se déplacer.
Le 119 est le numéro d'Enfance en danger.
👉 Il permet de signaler tout cas de violences sur mineur : maltraitance ou abus sur un enfant.
Le 116 111 est un numéro européen pour les enfants en danger.
👉 Toute personne ayant connaissance d'une situation d'enfant en danger peut d'appeler ce numéro, quel que soit le pays européen dans lequel il se trouve. Le service permet notamment aux enfants qui transitent à travers l'Europe - et qui connaissent ce numéro - d'être aidés quand ils arrivent en France.
Le 116 000 est le numéro d’Enfants disparus.
👉 Il est à utiliser en cas de disparition d'enfant. Les équipes ont pour mission d'écouter et soutenir les familles d'enfants disparus.
Le 196 est le numéro des Secours maritimes à contacter depuis le littoral. Depuis la mer, il s’agit du canal 16 de la VHF (Very High Frequency).
👉 Il permet d’alerter en cas de situation de détresse ou d'urgence en mer. Il vous met en relation avec le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage en mer (CROSS). À noter que le 196 ne remplace pas en mer la VHF, qui reste prioritaire pour alerter et rester en contact avec le CROSS et les moyens de secours.
Le 191 est le numéro des secours aéronautiques.
👉 Il est utilisable par les usagers en situation de détresse, les témoins directs d'un accident d'aéronef (avions, hélicoptères, aérostats), ou toute personne inquiète de la disparition d'un aéronef et de ses occupants. Des opérations de recherche et de sauvetage peuvent ainsi être enclenchées.
Le 3117 est le numéro d’urgence pour les victimes et témoins d’agressions dans les trains SCNF et RATP.
👉 Vous pouvez contacter un agent 24h/24 par téléphone au 3117, par SMS au 31177 ou par l'application mobile « Alerte 3117 » pour signaler une situation dangereuse dont vous êtes victime ou témoin dans les transports en commun.
Sources : Servicepublic.fr, Gouvernement.fr, Masecurite.interieur.gouv.fr
On en parle moins souvent et pourtant, le coronavirus affecte également notre peau. Elle peut être signe de contamination mais peut également subir les agressions provenant du lavage des mains intensif, du port du masque ou encore l'utilisation répétée du gel hydroalcoolique.
Le Dr Anne CAUDRON, dermatologue et vénérologue à l'hôpital privé Saint-Claude, répond à toutes nos interrogations. Elle nous livre également ses conseils pour prendre soin de notre peau, même en pleine épidémie.
La Société Française de Dermatologie a lancé sous la forme d’appel à cas national l'enquête COVIDSKIN. Cette enquête a pour but de recenser les manifestations cutanées pouvant être associées au COVID-19.
Comme pour de nombreuses pathologies médicales, l'infection au Coronavirus a montré que la peau est un organe parlant de la maladie. C'est une zone sur laquelle les symptômes peuvent apparaître avant, pendant ou en retard par rapport à l'infection. Ainsi, les patients présentant des lésions à type d’engelures sont arrivés en première ligne.
Bien que la fréquence de lésions vésiculeuses ou bulleuses ait été remarquée, ces lésions ne semblent pas associées à une sévérité particulière.
La Société Française de Dermatologie a déclaré que "le caractère non inaugural ou révélateur de ces manifestations ne constitue pas un signe « d’alerte , en particulier lorsqu’elles sont isolées." De plus, "il n’existe pas d’argument en faveur d’une contagiosité potentielle de ces patients, message important pour les patients et leur entourage."
On nomme, par la suite, d'autres manifestations, parmi lesquelles :
Il est donc suggéré de tester rapidement les patients atteints de ces symptômes, même en l'absence de syndrome viral, pour limiter la propagation du virus et éviter une deuxième vague.
Les lavages répétés des mains (plus de 10 fois par jour), et l'utilisation de bio-nettoyants pour les surfaces entraînent une dermite caustique (appelée également dermite d'irritation.)
Celle-ci est différente de l'eczéma chronique des mains. Elle débute par l'apparition d'une inflammation (rougeur, sécheresse, fissures, prurit et sensation de brûlure) sur le dos des mains et en interdigital, et non sur les paumes ou les pulpes.
Cette dermite peut être prévenue en utilisant des détergents synthétiques, huiles émollientes douces et pains sur-gras. Il faut également éviter l'eau chaude, privilégier un séchage sans frotter, et protéger les mains avec des gants lors du ménage, du bricolage et du jardinage. On conseille d'appliquer une crème émolliente sans parfum, même en l'absence de lésions le soir au coucher, et de soins cicatrisants dès l'apparition de cette dermite.
Il est important de savoir que la solution hydroalcoolique ne cause pas de dermite caustique (sauf sur des mains abîmées), et que le rinçage du savon doit être soigneux pour éviter l'irritation des mains.
Chez les personnes présentant des antériorités d'eczéma, de dermatoses faciales à type d'acné ou de rosacé, le port prolongé du masque peut entraîner des poussées inflammatoires dues aux frottements et à l'irritation par microtraumatismes répétés.
Il est de ce fait conseillé :
Pour les personnes ayant une peau sèche :
Pour les personnes ayant une peau grasse :
C'est un cri d'alarme qui s'entend tous les ans en été. Chaque année, des faits divers associant piscine et enfant s'étalent dans les journaux. En cette période estivale, un rappel des principales règles de sécurité pour s'assurer que la piscine reste un jeu pour vos enfants parait opportun. Merci aux spécialistes des cliniques Elsan Hauts-de-France pour leurs précieux conseils.
Depuis l'arrivée des beaux jours, c'est la période des piscines qui font le bonheur des parents et des enfants. Ces derniers sont à surveiller particulièrement. En effet, qu'elles soient publiques ou privées, les piscines demeurent des lieux de danger pour les petits.
Malheureusement, chaque année, ils sont environ une centaine à se noyer ! C'est d'ailleurs la première cause de décès par accident de la vie courante avant 13 ans.
Ces chiffres doivent nous alerter et nous inciter à respecter quelques mesures simples pour éviter les risques.
Tout d'abord, la première règle est toute simple : on ne laisse jamais un enfant seul autour d'une piscine. Cela peut paraître évident, mais des drames commencent souvent à cause d'un instant d'inattention.
Parallèlement à une surveillance adéquate, la meilleure manière de faire comprendre la situation à votre enfant est de le sensibiliser. En le familiarisant avec l'eau, en lui expliquant les règles et les dangers potentiels, vous responsabilisez votre enfant et augmentez sa vigilance.
Quant au matériel de protection type brassards ou bouée, s'ils sont indispensables pour les jeunes enfants, ils ne dispensent pas d'une surveillance accrue.
Un long voyage avec un enfant, ça peut faire peur. Même si l'appel de la route et des contrées lointaines est tentant, la perspective de longues heures de trajet peut rebuter. Comment occuper les enfants pendant ce voyage ? Tous les conseils de nos partenaires des Hôpitaux privés du Hainaut sont à votre disposition.
Tout d'abord, avant d'aborder le trajet, pensez à ce qui se passe avant celui-ci. Préalable à toute conduite excédant deux heures, le repos doit être une priorité. En effet, une sieste avant le départ vous permettra d'appréhender sereinement les kilomètres qui vous attendent.
Mais, cette recommandation peut aussi être appliquée à vos enfants... D'une manière quelque peu différente. Ainsi, vous pouvez tout à fait prendre la route à une heure où vos enfants vont rapidement s'endormir et profiter ainsi de leur repos pour voyager sereinement.
En voyage, avec enfant ou non, le bon timing, c'est deux heures. Au-delà de cette période, la vigilance du conducteur, même reposé, baisse. Il est donc important de faire des pauses régulières, même si cela doit allonger le temps de parcours. Ne vaut-il mieux pas arriver à destination avec quelques minutes de retard que de ne pas arriver du tout ?
Pour bien optimiser ces pauses, préparez-les en amont. Prévoyez de quoi manger et boire, de quoi divertir les enfants et de quoi vous changer si besoin. Rien n'est plus énervant que de devoir décharger tout le contenu du coffre de la voiture pour trouver ce qui vous manque. Pensez donc à positionner ce que vous prévoyez d'utiliser dans des endroits facilement accessibles.
Quand ils ne dorment pas, comment occuper les enfants pendant le voyage, nous direz-vous ?
Tout d'abord, emportez en premier lieu leurs jouets préférés. Cela permettra à l'enfant de se sentir à l'aise et il aura ainsi l'impression que le temps "passe plus vite".
Ensuite, avant le départ, vous pouvez consulter de nombreux sites internet proposant des jeux pour occuper vos enfants pendant le voyage. Le classique décompte des voitures rouges croisées ou la liste des départements français à citer en fonction des plaques d'immatriculation font toujours leur petit effet. Mais, vous trouverez sûrement d'autres jeux sur ces sites spécialisés.
Enfin, rien n'empêche un bon livre ou le lecteur dvd portable. Cependant, ils doivent être proposés avec parcimonie, car à la longue, ils peuvent provoquer des maux de tête ou des nausées.
C’est l’été et, selon où l’on se trouve, la chaleur est déjà fortement présente ou le sera bientôt. Or, l'enfant est sensible à la chaleur. Comment prémunir nos enfants de la chaleur ? C’est ce que se propose de nous expliquer le Dr. Solange Moore, pédiatre à la Polyclinique du Parc de Saint-Saulve.
Tout d’abord, hydratons-les !
Les corps des bébés ont une teneur en eau plus importante que la nôtre. Un nourrisson se déshydratera beaucoup plus vite qu’un adulte.
Il faut lui proposer à boire de façon très régulière car un bébé ne manifestera pas sa soif si ce n’est lorsqu'elle le gênera et le rendra grognon !
Dans les cas de fortes chaleurs, on ne donne que de l’eau et toujours de l’eau. Seule l’eau désaltère ! Les jus de fruits et le lait ne sont pas indiqués dans ce cas.
Il est du devoir des parents de les aider à se “refroidir “.
Il faut privilégier les habits amples : avec un T-shirt ample ou une robe, un bébé aura moins chaud qu’avec un body. Et oui, un bébé peut très bien jouer tout nu également, quand la température ambiante avoisine les 28 -30°C.
On peut ensuite utiliser l’eau de manière externe : en brumisant et en laissant patauger dans un bain un peu plus frais que d’habitude (aux alentours des 35°C. S'il est petit, un “bain enveloppé” peut l’aider l'enfant à réguler sa chaleur, si vous en maîtrisez la technique.
Du côté de l’alimentation aussi, il est possible d’agir. En chauffant moins les aliments ou en privilégiant les aliments riches en eau (melon, pastèque, nectarines…)
En effet, il faut essayer de diminuer la température ambiante !
Pendant les heures chaudes de la journée, il est conseillé de fermer les volets et les fenêtres à la mode méridionale afin d’empêcher la chaleur extérieure d’entrer dans la maison. On les rouvrira à la nuit tombante quand il fera plus frais.
Un ventilateur peut utilement refroidir la pièce. Mais ne le dirigeons pas vers l’enfant ! Posé au sol et dirigé vers un coin de la pièce, il refroidira d’autant mieux l’air si un linge mouillé ou mieux une bouteille d’eau congelée est placée devant lui.
En revanche, si vous êtes équipé d’une climatisation, attention au choc thermique en sortant. Adaptez progressivement l’enfant à la température extérieure en diminuant progressivement la clim.
Dehors, on privilégie les endroits frais, ombragés. Si vous promenez votre bébé en landau ou poussette, ne couvrez pas complètement ces derniers.
Enfin, en voyage, il faut s’arrêter régulièrement à l’ombre pour faire boire les enfants, aérer l’habitacle, se reposer.
Et, bien entendu, on ne laisse jamais un enfant au soleil, ni dans sa poussette, ni dans la voiture !
Les vacances sont commencées pour certains. Elles vont arriver pour d’autres. En tout cas, nous sommes tous concernés par la relation entre le soleil et notre peau. Comment se protéger ? Quels sont les bienfaits et les méfaits du soleil pour la peau ? Réponses avec le Dr Giorga Cortesi, dermatologue à la Clinique de Flandre.
C'est une échelle de mesure de l'intensité du rayonnement ultraviolet émis par le soleil et du risque qu'il représente pour la santé. Plus il est élevé, plus le risque est fort.
On distingue les UVA qui pénètrent plus profondément dans le derme et sont responsables des taches pigmentaires, du vieillissement de la peau et des rides.
Quant aux UVB, ils sont moins pénétrants mais provoquent les coups de soleil, brûlures, cloques et la majorité des cancers de la peau.
La seule règle face au soleil : on se protège ! Les nuages ou même les vitres ne protègent pas des rayons UV. Ce n'est pas parce que vous ne voyez pas le soleil, qu'il n'y a pas de risque.
Bronzer sans danger, c'est bronzer protégé.
Il faut évidemment parler de la crème solaire, indispensable pour profiter du soleil en toute sécurité. Pour bien la choisir, préférez un indice FPS, facteur de protection solaire, entre 30 et 50 selon votre type de peau, mais aussi selon l'indice UV de votre lieu de bronzage.
Il est recommandé aussi de ne pas s'exposer entre 12h et 16h, au moment où le soleil est à son zénith.
En plus de la crème et des horaires d'exposition à respecter, n'oubliez pas que le chapeau ou autre couvre-chef est indispensable pour se prémunir des insolations. Quant aux lunettes de soleil, elles permettent de protéger vos yeux des rayons UV.
Tout à fait. C'est pourquoi, en plus de se protéger, il est aussi primordial de faire attention à certains paramètres.
Pour les cicatrices récentes par exemple. Je conseille de ne pas les exposer au soleil. Si vous n'avez pas le choix, utilisez de préférence un pansement pour les protéger.
Le soleil favorise aussi l'apparition des rides et de certaines taches. Pour s’en préserver, on se protège et on prend le soleil de manière raisonnable.
Vous avez quand même attrapé un coup de soleil ? Je recommande alors beaucoup de crème hydratante pour soigner votre peau brûlée par le soleil, ou encore de l'aloe vera.
L’arsenal est à peu près le même que pour les adultes :
Tout d’abord, il est important de respecter la règle de l'ombre.
Surveillez votre ombre : ombre courte, vite à l’ombre !
Enfin, attention au parasol qui n'offre pas une protection complète face au soleil.
Lui préférer une maison bien fraîche !
Nous sommes tous plus ou moins sujet au stress, mais la période incertaine actuelle peut avoir tendance à exacerber ce sentiment chez certaines personnes. Loin d'être anormale, le stress en situation exceptionnelle peut être gérer et apprivoiser. Yannick Benet, ostéopathe et business manager chez Néo Forma, nous livre quelques clés de lecture.
Pour beaucoup d’entre nous, le stress est un sentiment de mal-être, c’est pourtant une réaction physiologique à une stimulation extérieure (qu’elle soit physique, mentale, sociale, ou même émotionnelle). Cette stimulation peut être également définie comme mineure ou importante, négative ou positive.
Ce stress entraîne une cascade de réactions : l'augmentation du rythme cardiaque, la constriction des vaisseaux sanguins, la montée d'adrénaline... assurant la réaction du corps à la situation. Si les stimuli face au stress persistent, cela donne lieu à différents malaises physiques et psychologiques. Ce sont les symptômes de stress :
En conclusion, le stress est une réaction réflexe du corps devant une situation plus ou moins compliquée qui demande de l’adaptation.
Attention, la plupart du temps, les réactions de stress sont normales et utiles (par exemple : savoir réagir face à un examen médical important, faire face à un déménagement ou gérer un conflit avec un proche...).
Isolement, quarantaine… L’actuelle pandémie à laquelle nous sommes confrontés est une réalité particulièrement inédite. D’autant plus que la source du stress est un événement traumatisant qui nous confronte tous (plus ou moins directement) à une menace de mort. C’est une charge émotionnelle difficile à contrôler.
Pour certains d’entre nous, elle a déjà eu des répercussions : de fatigue, de troubles du sommeil, peur de l’avenir, comment reprendre son travail.
Les réactions de chacun dépendent de beaucoup de facteurs (antécédents, âge, entourage…), elle affecte donc différemment les personnes :
Dans ce contexte, il est évident que certaines personnes seront confrontées à du stress, de la déprime et de l’anxiété, plus qu’en temps normal.
Toutes ces manifestations et réactions liées au stress sont donc normales dans ce contexte de pandémie. Rassurez-vous, la plupart d’entre vous ont tout à fait les ressources pour s’adapter à cette situation.
Les astuces spécifiques au coronavirus :
Le stress ne vient heureusement pas que du Covid-19, donc pour votre vie de tous les jours, voici mes autres astuces. Prenez-soin de vous en vous accordant des plaisirs, et exprimez vos émotions. Pensez à adopter une bonne hygiène de vie en mangeant équilibré, en pratiquant du sport, et en dormant suffisamment !!
Des exercices à pratiquer chez vous :
Le plus important, limitez les facteurs qui vous causent du stress, apprenez à déléguer (autant dans votre vie de famille qu’au travail), et si la situation perdure et que vous ne voyez plus le bout du tunnel, faites-vous aider.
Avec les beaux jours, chacun va rechercher la lumière du soleil : ses effets bénéfiques sont prouvés sur le moral ou sur la santé. Mais, le soleil peut également être nocif dans certaines conditions. Pour nos yeux, par exemple, le soleil n’est pas forcément notre meilleur ami. Alors comment bien choisir ses lunettes de soleil ? Explications avec Philippe Buys, responsable développement commercial de Just’Optique, centre optique partenaire de la Mutuelle Just à Valenciennes.
La plupart des gens sont désormais conscients qu’il faut protéger sa peau pour contre les rayons du soleil. Pour les yeux, c’est exactement la même chose.
Les fameux rayons ultra-violets, spectre invisible du rayonnement solaire si néfaste pour la peau, peuvent également causer des problèmes oculaires. Le lien a clairement été établi entre la surexposition aux UV et certaines maladies de l’œil comme la cataracte ou les cancers de la cornée.
Un autre danger auquel on ne pense pas forcément, c’est la propagation par la lumière des ondes électromagnétiques. Seules les ondes verticales sont utiles à notre vision et nous permettent de distinguer les couleurs et les contrastes. Les ondes horizontales altèrent notre vue : contraste des couleurs plus faible, éblouissement, fatigue, inconfort et irritation de l’œil...
Pour ce qui est du filtrage des UV, le port de lunettes de soleil est obligatoire. Il faut privilégier essentiellement des verres qui bloquent entièrement les UVA et B (les deux types d’UV qui parviennent jusqu’à nous). Ces verres doivent être montés sur une monture enveloppante et adaptée à la morphologie pour couvrir toute la périphérie de l’œil.
Si l’on porte des lentilles, des produits offrant une couche de filtre anti-UV existent.
Concernant les rayons horizontaux considérés comme néfastes, la meilleure alternative consiste en l’utilisation de verres polarisants. En effet, ces équipements suppriment les reflets parasites et permettent de bénéficier d’une vision supérieure dans toutes les situations où la lumière est réfléchie sur une surface plane, comme lors de la conduite en journée, d’activités en haute montagne ou en pleine mer.
Je ne peux que déconseiller les lunettes de soleil « bon marché » qu’on trouve dans les boutiques de souvenirs ou au bord des plages. Ces équipements sont dans leur grande majorité sans effet réel de protection.
Une astuce consiste à regarder si la monture ou l’étiquette accompagnant la monture solaire indique « conforme anti UVA et B ».
Dans tous les cas, pour une protection efficace et un produit durable, il vaut mieux se renseigner auprès d’un opticien professionnel qui saura vous conseiller et assurer votre sécurité oculaire face aux rayons du soleil.
Ça tombe bien : toute l’équipe Just’Optique est composée d’opticiens experts et certifiés. N’hésitez pas à vous rendre dans leur magasin à Valenciennes ou consulter le site internet du magasin pour faire votre présélection de montures solaires.
Rester en forme constitue un pilier dans le bien être de chaque individu et notamment pour un senior. Il permet de se sentir bien à la fois dans son corps mais également dans sa tête. Mathilde, coordinatrice sport santé dans notre centre partenaire, nous donne ses conseils. Alors, comment rester en forme au quotidien pour les seniors ?
"Les recommandations de l’OMS indiquent que les personnes âgées devraient pratiquer au moins 150 minutes d’activité d’endurance par semaine. Cela avec une intensité modérée. Ou alors 75 minutes d’activité d’endurance avec une intensité soutenue.
Lorsqu’une personne âgée a des difficultés à cause d’un problème de santé, il est conseillé d’être malgré tout actif physiquement, autant que son état de santé lui permet.
En cas de soucis de santé, il faut, en premier lieu, en parler à son médecin traitant qui pourra conseiller et orienter si nécessaire vers une structure adaptée à la prise en charge de la pathologie pour une bonne réadaptation à l’effort.
En conclusion, pour rester en forme, il faut rester mobile et conserver une pratique physique quotidienne d’intensité modérée."
La Mutuelle Just prône, depuis de nombreuses années, le sport santé l’activité physique comme source de bien-être et de bonne santé. Aujourd’hui, nous demandons l’avis d’une experte en la matière pour rester en forme : Mathilde, responsable de notre centre partenaire, spécialisé dans le sport santé.
Quelle définition pouvons-nous donner de l’activité physique et à quoi sert-elle ?
"On entend par activité physique tout mouvement produit par les muscles, qui engendrera une augmentation de la dépense énergétique. Il s’agit donc de plusieurs pratiques, aussi bien celles pouvant être réalisées en établissement [comme dans notre centre sport santé partenaire], que celles du quotidien (passer l’aspirateur, jardiner…). Vous pouvez d’ailleurs changer quelques petites habitudes du quotidien pour augmenter votre activité physique. Se garer un peu plus loin sur le parking pour vos courses, favoriser les escaliers par rapport à l’ascenseur, aller à la boulangerie du quartier à pied …
Ces activités physiques, en plus d’être nécessaires pour se maintenir en bonne santé, sont également importantes pour conserver votre tonus musculaire. De ce fait, elles vous permettent de vous sentir mieux au quotidien, dans votre corps mais également dans votre tête.
Mon petit conseil : dans le choix de votre pratique, orientez-vous vers une activité physique qui vous plait, qui vous motive pour qu’elle soit pérenne."
Vous nous disiez qu’une bonne hydratation est également importante…
"Au-delà du fait qu’il est important de bien vous hydrater, boire de l’eau permet tout simplement au corps de bien fonctionner ! L’hydratation permet, en premier lieu, de combler la perte d’eau liée à la transpiration. Elle élimine également les toxines créées au cours de l’activité physique, lubrifie le muscle, évitant ainsi les crampes et les blessures…"
Qu’en est-il des étirements ?
"Ils vont permettre de garder un muscle plus souple ; ainsi les muscles sollicités répondront mieux aux mouvements, le corps gagnera en souplesse. Vous serez ainsi plus à l’aise dans les activités du quotidien et vous améliorerez la posture de votre corps."
Un dernier conseil pour nos lecteurs ?
"Il est important d’avoir des repas variés, équilibrés et aheurés. Il faut également savoir se faire plaisir dans l’alimentation, être raisonnable sans pour autant se frustrer. Avant et après la pratique d’une activité physique, il ne faut pas hésiter à prendre une collation si nécessaire. Cela permettra d’apporter de l’énergie à l’organisme. "
Spécialisée dans la mutuelle communale et la protection santé individuelle, la Mutuelle Just propose une gamme complète d’offres pour protéger votre capital santé.