En partenariat avec plus de 800 communes la mutuelle Just a élaboré une offre santé exclusive à destination des personnes qui y habitent ou y travaillent . Cette offre a été pensée pour vous proposer une couverture santé complémentaire de haute qualité et à tarif avantageux.
La confiance et la proximité sont au cœur de notre démarche. En choisissant la mutuelle communale, vous optez pour une complémentaire santé pensée en collaboration avec les acteurs locaux de votre ville, vous offrant une couverture santé complémentaire de haute qualité à des tarifs avantageux.
Nos garanties sont conçues pour accompagner votre parcours de santé au quotidien, en répondant à vos besoins de remboursement et en tenant compte de votre pouvoir d'achat.
👨👩👧👧 Une mutuelle communale ouverte à tous les habitants et salariés du territoire. Quels que soient votre âge et votre situation.
📢 Des tarifs négociés par votre ville. Grâce à la force du collectif, nous vous proposons une complémentaire santé au meilleur prix, négocié par votre ville.
🔎 Adhésion sans conditions. Aucun frais caché ni de questionnaire médical pour une couverture à J+1 !
🕥 Pas de délai de carence. Vous pourrez utiliser toutes vos garanties dès lors que votre contrat sera actif.
💶 Une Mutuelle à but non lucratif. Nous ne reversons pas de dividende à des actionnaires : la Mutuelle Just se place à 100% au service de ses adhérents depuis 1927.
👬 Une Mutuelle qui appartient à ses adhérents. 45 adhérents délégués et 20 adhérents administrateurs assurent la bonne gestion et la gouvernance de la Mutuelle Just. N'hésitez pas à candidater aux prochaines élections !
🤗 Choisir la mutuelle Communale, c’est faire le choix de la tranquillité et de la sérénité pour vous et votre famille. Profitez de nos tarifs avantageux et d'une couverture de qualité validée par votre mairie. Rejoignez dès aujourd'hui nos adhérents satisfaits !
N'attendez plus et faites le premier pas vers une protection santé adaptée à vos besoins spécifiques ! Il y a 3 façons d'obtenir rapidement votre devis personnalisé :
Obtenez un devis en 2 minutes en cliquant ici :
Choisissez votre créneau de RDV en ligne en cliquant ici :
Contactez-nous du lundi au vendredi de 9h00 à 17h30 au 0 809 546 000 (service gratuit + prix d'un appel).
💆 Bien-être
Jusqu’à 300€/an de forfait incluant podologue, pédicure, ostéopathe, diététicien, sophrologue, homéopathie et d'autres actes non remboursés.
🩺 Soins courants
Une couverture accrue en cas de dépassements d’honoraires et un forfait prothèse et accessoires d’orthopédie jusqu’à 300€/an/bénéficiaire.
🦷 Dentaire
Soins dentaires, actes de chirurgie, radiologie et jusqu’à 300€ / semestre pour l’orthodontie refusée par la sécurité sociale.
🚑 Hospitalisation
Chambre particulière remboursée pendant 60 jours/an jusqu’à 90€/jour (hors services spécialisés limités à 30 jours), Forfait confort hospi (TV, internet, téléphone), etc.
🦻 Auditif
Equipements 100% santé en classe I ou pour la classe II : jusqu’à 100% + au-delà du ticket modérateur, 400€ par oreille tous les 4 ans.
🆘 Assistance vie quotidienne, perte d’autonomie et soutien financier
Services d'assistance santé et de protection juridique santé inclus dans votre contrat.
👉 Ne laissez pas votre santé au hasard, profitez des avantages de nos offres de mutuelle communale pour une complémentaire santé optimale ! Nos conseillers (présents dans 300 agences et permanences dans toute la France) et nos téléconseillers (basés à Valenciennes) sont là pour répondre à toutes vos questions et vous accompagner tout au long de vos démarches et de la vie de votre contrat.
Pénuries d’eau potable, qualité de l'eau du robinet, conformité de l’eau en bouteille… l'or bleu fait régulièrement la Une des journaux à coups d’événements climatiques et d’actualités polémiques.
L’eau est indispensable à la vie, et doit à ce titre faire partie intégrante de nos préoccupations. Alors à l'occasion de sa journée mondiale célébré le 22 mars, nous avons regroupé une sélection de ressources sur l’eau potable afin que vous puissiez vous forger votre propre opinion.
Cap sur un sujet à la fois primordial pour notre santé, notre porte-monnaie et notre environnement. 🌍
L’eau est indispensable pour le fonctionnement du corps humain, puisqu’elle assure le bon fonctionnement de nos organes.
Notre corps perd en moyenne 2,6 litres d’eau chaque jour, sous forme de transpiration, d’urine, de respiration et de larmes. Pour compenser cette perte, il est recommandé de manger et boire chaque jour entre 1,3 et 2 litres d'eau (selon son poids et son niveau d’activité dans la journée).
💡 Attention à ne pas attendre d’avoir soif pour boire ! La sensation de soif indiquant que la déshydratation est déjà amorcée, pensez à boire régulièrement de petites quantités d’eau au fil de la journée. Le pronostic vital est engagé dès lors qu’un organisme perd plus de 15 % de son poids en eau.
👉 QUELQUES RESSOURCES POUR VOUS INFORMER
Combien d’eau faut-il boire chaque jour ? – C.I.eau, le Centre d’information sur l’eau
Faut-il vraiment boire 1,5L d’eau par jour ? – Futura Sciences
💧 Une eau propre et sûre est essentielle pour maintenir notre corps en bonne santé. Il est donc crucial de veiller à ce que l'eau que nous consommons soit propre, sûre et conforme aux normes de qualité établies, afin de contribuer à prévenir les maladies et les infections plus ou moins graves.
Pour assurer la sécurité et la pureté de notre approvisionnement en eau, des normes strictes ont été établies et sont régulièrement mises à jour. Elles sont définies par le Code de la Santé Publique, et couvrent notamment les aspects microbiologiques et chimiques de l'eau (la présence de bactéries, concentration en substances telles que les nitrates, les pesticides, les métaux lourds…).
L’eau du robinet est en France l’un des aliments les plus contrôlés. Elle fait l’objet d’un suivi sanitaire permanent destiné à en garantir la sécurité sanitaire. Les agences régionales de santé (AR) sont responsables d’organiser ce contrôle, d’alerter les responsables du service public de l’eau en cas de risque pour la santé, de définir des mesures de prévention et de s’assurer du retour à la distribution d’une eau de qualité.
👉 QUELQUES RESSOURCES POUR VOUS INFORMER
La qualité de l'eau potable – ARS Hauts-de-France (article du 19/10/2023)
Qualité de l'eau potable : comment est-elle assurée ? – Vie-publique.fr (parole d'experts du 05/02/2024)
Textes réglementaires sur les eaux destinées à la consommation humaine – AIDA / Ineris
L'eau si précieuse – France 3 (Enquête de région Grand Est du 22/11/2023)
🚰 En France métropolitaine, l’eau du robinet est propre à la consommation et moins chère que l’eau proposée par les industriels.
Les rapports annuels publiés par les services publics de l'eau sont accessibles au public et fournissent des informations détaillées sur la qualité de l'eau distribuée dans chaque région. Regroupés dans une cartographie interactive, ces rapports évoquent la présence ou non d’éléments microbiologiques et chimiques, ainsi que sur les éventuelles non-conformités détectées et les actions correctives entreprises (mesures prises pour résoudre tout problème ou toute non-conformité détecté(e) dans la qualité de l'eau potable).
L’eau potable du réseau public étant dépendante de traitements chimiques (pour la rendre potable et conforme aux normes sanitaires), elle bénéficie parfois d’une mauvaise image. Une image qui n’est d’ailleurs pas redorée par les scandales sanitaires, comme celui de la présence des polluants éternels…
👉 QUELQUES RESSOURCES POUR VOUS INFORMER
CARTE Résultats du contrôle sanitaire de la qualité de l’eau potable en ligne, commune par commune – Ministère du travail, de la santé et des solidarités
CARTE La qualité de l'eau dans votre commune – ARS / AtlaSanté
Carte interactive de la qualité de l’eau – UFC-Que Choisir (données 2019-2020)
Comment notre eau potable a-t-elle été contaminée par un pesticide interdit ? – Podcast "La Question du jour" de France Culture (07/04/2023)
Pollution de l'eau aux PFAS. Leur origine, leurs conséquences sur la santé, les solutions : trois choses à savoir sur les "polluants éternels" – France 3 Occitanie (02/11/2023)
PFAS : surveillance dans l’eau de consommation - ARS Auvergne-Rhône-Alpes (article du 08/03/2024)
🧴 Au quotidien, certains d’entre nous optent pour la consommation d’eau en bouteille. Soit par habitude, soit par méfiance envers la qualité de l’eau du robinet.
Depuis les années 1960, l’eau d’origine souterraine est en effet mise en bouteille par les industriels, avec deux grandes catégories d’eaux : les eaux minérales naturelles et les eaux de source.
Les scientifiques s’accordent à dire qu’en France métropolitaine, boire de l’eau en bouteille est avant tout une question de goût et de moyens, et non une question de santé publique comme cela peut l’être dans d’autres territoires dans le monde.
Cette consommation d’eau en bouteille soulève des questions environnementales et de santé liées à la pollution plastique et microplastique.
En effet, malgré les solutions de recyclage, la plupart des bouteilles d’eau vont terminer leur vie enterrée ou brûlées en déchèterie, si ce n’est abandonnées dans la nature.
On retrouve par ailleurs des microplastiques dans l’ensemble du corps humain : dans le colon, le foie, le sang, les urines, les poumons… Les recherches scientifiques sont en cours pour déterminer à quel niveau la quantité de microplastiques ingérée est problématique pour notre santé.
👉 QUELQUES RESSOURCES POUR VOUS INFORMER
Quelle est la différence entre eau de source et eau minérale ? – Futura Sciences
Eaux conditionnées – Ministère du travail, de la santé et des solidarités
Le contrôle des eaux – Syndicat des eaux de sources et des eaux minérales naturelles (SESEMN)
L'impact écologique de l'eau en bouteille est 3.500 fois plus élevé que celui de l'eau du robinet – Slate (article du 09/08/2021)
Plusieurs producteurs d’eau en bouteille ont filtré illégalement leur eau pour masquer une contamination – France Info (article du 30/01/2024 sur l’enquête menée par Le Monde et la cellule d’investigation de Radio France)
En bouteille ou au robinet, quelle eau faut-il boire ? – La Croix Hebdo (article du 02/03/2024)
Qu’est-ce que l’ostéoporose ? Comment utiliser l’alimentation et le sport pour prévenir cette maladie du squelette ? Comment diagnostique-t-on une pathologie qui fragilise les os ? L’examen d’ostéodensitométrie est-il remboursé ?
Que vous ayez déjà subi une fracture osseuse ou que vous redoutiez ce scénario, informez-vous et agissez pour ne pas laisser l'ostéoporose menacer la solidité de vos os ! 🤗
🦴 L'ostéoporose est une maladie qui se caractérise par une diminution de la densité osseuse et une détérioration de la structure osseuse, ce qui fragilise les os et augmente le risque de fractures.
Contrairement à d'autres maladies, l'ostéoporose peut rester silencieuse pendant des années, sans que la personne ne ressente aucun symptôme avant qu'une fracture ne survienne.
Plusieurs facteurs peuvent augmenter le risque de développer de l'ostéoporose :
Le vieillissement.
Le sexe. Les femmes sont plus souvent touchées par l'ostéoporose que les hommes.
L’hérédité. Une prédisposition génétique peut jouer un rôle, surtout s'il existe des antécédents familiaux d'ostéoporose.
Les traitements. Certains traitements médicaux peuvent favoriser la perte de densité osseuse.
Des maladies endocriniennes. Des affections telles que l'hyperparathyroïdie et l'hyperthyroïdie peuvent contribuer à l'ostéoporose.
Des carences en vitamine D ou en calcium. Elles peuvent entraîner une déminéralisation osseuse, notamment chez les personnes âgées ou celles ayant un régime alimentaire inadéquat.
Des habitudes de vie. Une faible masse corporelle, un manque d'activité physique, une immobilisation prolongée, ainsi que la consommation excessive de tabac et d'alcool, peuvent augmenter le risque d'ostéoporose.
🏃♀️ L'activité physique régulière stimule la formation des os et aide à maintenir la densité osseuse. En particulier les exercices de renforcement musculaire et les activités comme la marche, la course à pied ou la danse.
Pour prévenir l'ostéoporose, il est recommandé de pratiquer au moins 30 minutes d'exercice physique (modéré à intense) plusieurs fois par semaine.
💡 À l'âge adulte et lors du vieillissement, le maintien d’une bonne masse musculaire et l’amélioration de la souplesse et de l’équilibre sont les meilleures façons d’éviter les chutes.
🍽 Avoir une alimentation équilibrée, avec des aliments sources de calcium et de vitamine D, contribue à prévenir l’ostéoporose.
Les aliments riches en calcium sont essentiels pour maintenir une bonne densité osseuse, comme par exemple :
les produits laitiers : lait, yaourt, fromage
les légumes verts à feuilles : épinards, brocoli
les amandes et autres noix
les sardines avec les arêtes
le tofu enrichi en calcium.
La vitamine D joue un rôle crucial dans l'absorption du calcium et dans la minéralisation des os. Une carence en vitamine D peut donc entraîner une mauvaise santé osseuse, d'où l'importance de manger des aliments riches en vitamine D, comme :
les poissons gras : saumon, maquereau, sardines,
les œufs,
le foie de morue,
les aliments enrichis en vitamine D (produits laitiers, céréales, jus d'orange...).
🔴 La réponse est non, et cela ne va pas vous surprendre : le tabac et l’abus d’alcool ne sont effectivement pas bons pour l’ostéoporose, et pour votre santé en général.
Le tabagisme aggrave les problèmes liés à l'ostéoporose. Pour abandonner cette habitude, nous vous recommandons de (re)lire notre article Et si j’arrêtais de fumer ?.
L'alcool peut diminuer la densité minérale osseuse et augmenter le risque de fractures. Modérer sa consommation d'alcool est donc crucial pour atténuer les effets néfastes de l'ostéoporose.
🩺 Le diagnostic de l'ostéoporose peut être réalisé grâce à la mesure de la densité minérale osseuse (DMO) par ostéodensitométrie, également appelée densitométrie osseuse.
Cet examen dure moins de quinze minutes. Il mesure la densité osseuse du rachis et du col du fémur à l'aide de rayons X à faible dose.
Les résultats permettent de déterminer le T score, comparant la densité osseuse à une valeur de référence, et ainsi d'évaluer la fragilité osseuse.
Il y a deux cas de figure.
👉 L’ostéodensitométrie est prise en charge sur prescription médicale pour les patients à risques, c’est-à-dire pour les personnes dont les facteurs médicaux rendent nécessaire l’examen de mesure de l’ostéoporose. L’Assurance Maladie détaille sur son site les situations qui sont totalement remboursées, pour tous ou spécifiquement pour les femmes ménopausées.
L’examen est alors pris en charge à 70 % par la Sécurité sociale (sur la base d'un tarif fixé à 39,96 €), la Mutuelle Just vous rembourse les 30 % restants, complétant ainsi la prise en charge du ticket modérateur (c’est-à-dire la part des dépenses qui reste à votre charge après le remboursement de l'Assurance maladie et avant la déduction des participations forfaitaires).
👉 Si votre cas ne remplit pas ces premiers critères, l’ostéodensitométrie peut être réalisée mais ne sera pas prise en charge par la Sécurité sociale.
Côté mutuelle, vous bénéficiez d’une prise en charge si votre contrat l’inclut dans le « forfait de prévention » (ce forfait de la Mutuelle Just dépend de l’offre de complémentaire santé souscrite et du niveau de garanties que vous avez choisi). Vous pouvez alors demander le remboursement de cet examen prescrit par le médecin, dans la limite du forfait disponible.
Sources et informations complémentaires :
Assurance maladie
Inserm
Vidal
Fondation sur la recherche médicale
Le 14 mars est la journée mondiale de l’audition. L’occasion rêvée de savoir si les idées reçues que nous avons sur les appareils auditifs sont avérées !
M. DAHRI, audioprothésiste diplômé d'État (DE), a accepté de répondre à nos questions et nous invite à se faire dépister dès que possible.
Avec lui, découvrons tout ce qu’il faut savoir sur les appareils auditifs… qui ne sont pas tous chers, gros et moches ! 🦻
M. DAHRI : « Au quotidien, on s’aperçoit qu’un proche souffre d’une perte d’audition lorsqu’il met plus fort le son de la télévision ou qu’il fait souvent répéter son entourage.
Un autre signe de la perte auditive, c’est lorsque la personne a du mal à comprendre son interlocuteur dans un environnement bruyant. Elle va alors entendre ce qu’on lui dit, mais sans saisir exactement le sens de ses paroles.
C’est pour cela qu’il est intéressant d’être accompagné lors du premier rendez-vous chez l’audioprothésiste, car la personne directement concernée peut avoir du mal à accepter le fait qu’elle a une perte auditive. »
« Pour commencer, il faut savoir qu’il est important de faire tester son audition au moins une fois par an, pour mesurer l’évolution de la perte auditive.
Au plus tôt on agit sur la perte, mieux c’est. Il ne faut pas attendre d’avoir 80 ans et de se dire : " Là ça ne va plus du tout. ".
Lorsqu’on met trop de temps pour se faire tester, c’est plus compliqué de mettre des appareils, parce que le cerveau s’est habitué à ne plus entendre certains bruits, ou s’est habitué à entendre à un niveau sonore très bas. Lui faire redécouvrir certains sons grâce aux appareils peut donc être compliqué. C’est pour cela que plus on est appareillé tôt, mieux c’est pour sa santé. »
« La plupart du temps les gens pensent que les appareils auditifs sont très chers et trop gros. Alors que non !
Côté prix, il existe les solutions 100% santé, où l’équipement est entièrement pris en charge.
Côté taille, il faut savoir que les appareils auditifs sont de plus en plus discrets, même si leur aspect esthétique dépend du niveau d’audition à compenser. Par contre, le patient peut personnaliser son appareil parmi une large gamme de couleurs. »
« Et bien non, ça n’a rien à voir !
Pour les personnes qui viennent faire un premier test auditif, je peux évaluer s’il y a une perte auditive, mais il faudra qu’ils aillent ensuite consulter un ORL pour diagnostiquer médicalement la perte. Ils auront ainsi une ordonnance à me présenter qui leur donne le droit d’être appareillés avec une prise en charge de la sécurité sociale et de leur mutuelle.
Au centre auditif, je leur explique les différents types et gammes d’appareils auditifs. Puis ils bénéficient d’une période d’essai de l’appareil d’environ 1 mois (adaptable en fonction du profil de chacun), sans frais ni engagement.
Dans le cas d’un renouvellement d’appareils, ce qui est possible tous les 4 ans, l’ordonnance est à demander à son médecin traitant.
Chose importante, il faut s’adresser à un audioprothésiste qui est diplômé d'État : c’est l’assurance d’être correctement pris en charge. »
« En tant qu’audioprothésiste diplômé d'État j’attribue un type d’appareil auditif en fonction du besoin de chaque patient.
Il y a deux catégories d’appareils : la Classe I et la Classe II.
La Classe I correspond au 100% santé. L’appareil auditif est intégralement pris en charge par la sécurité sociale et la complémentaire santé.
Ce dispositif est très peu connu et c’est dommage, parce que ces appareils sont complètement remboursés et permettent de mieux entendre et de mieux comprendre. Le seul point auquel il faut faire attention, c’est que ces types d’appareils fonctionnent avec de très petites piles. Et il peut être compliqué de les changer pour les personnes en manque de dextérité.
La Classe II correspond à la gamme du dessus. L’appareil auditif a un reste à charge, qui peut être remboursé par la mutuelle, selon son niveau de garantie.
Ces appareils plus perfectionnés permettent de mieux filtrer le bruit et donc d’avoir un certain confort auditif. Ils ne comportent pas de piles et sont rechargeables.
Chez Just Audio, nous proposons dans tous les cas des facilités de paiement. »
« Le premier conseil que je donne à chaque fois, c’est de bien porter ses appareils du matin jusqu’au soir.
Ce que je fais, c’est que je laisse à la personne le temps de s’adapter : je paramètre les appareils à 50 % du réglage la première semaine. Ensuite, en fonction de la personne, je les augmente progressivement, pour laisser le temps au cerveau de s’adapter aux nouveaux sons présents dans l’environnement. »
« D’années en années, les appareils auditifs sont perfectionnés et permettent de filtrer davantage les bruits et donc d’avoir des sons plus nets, plus confortables pour l’oreille.
Parmi les autres avancées technologiques, certains appareils détectent si le propriétaire chute et le signalent à l’entourage de la personne.
Enfin, certains modèles ont la possibilité d’être connectés au téléphone portable. On peut ainsi régler le volume de son appareil auditif mais également recevoir ses appels téléphoniques sans écouteurs supplémentaires. Cette fonctionnalité est principalement choisie par les personnes qui aiment la technologie. »
« Ce sont des appareils électroniques, ce qui veut dire qu’il doit y avoir un bon suivi.
De mon côté, je vais vérifier si les micros et les filtres commencent à se boucher. Pour cela, les patients viennent en général tous les 6 mois, mais j’agis au cas par cas. Il y a certains patients qui produisent plus de cérumen et donc à qui je demande de venir tous les 3 mois.
En faisant ça, on reste sur une fonctionnalité de l’appareil à 100%. Parce qu’il suffit qu’un micro se bouche pour avoir un impact direct sur la compréhension de la personne.
Un appareil bien entretenu dure plus longtemps ! »
💡 Si vous habitez dans le Nord, vous pouvez bénéficier de l’accompagnement de M. DAHRI quelle que soit votre mutuelle, en prenant rendez-vous au centre auditif Just Audio situé 19 rue de la Poste à Valenciennes (59). La prise de RDV s’effectue sur Doctolib ou en appelant le 03 27 45 07 47 du mercredi au samedi de 9h30 à 18h00.
SEP. Trois lettres pour désigner une maladie qui touche plus de 110 000 personnes en France : la Sclérose En Plaques. A l’occasion de la journée de lutte contre cette pathologie, la Mutuelle Just a souhaité donner la parole à Nadine, adhérente de notre mutuelle et membre active de la Fondation pour l'aide à la recherche sur la sclérose en plaques (ARSEP), pour vous expliquer ce qui se cache derrière ces trois fameuses lettres : SEP.
Il s’agit d’une maladie auto-immune qui touche le système nerveux central. Cela signifie que le corps s’attaque à l’une de ses propres parties, à savoir la gaine des nerfs dans le cas de la SEP. Les nerfs de notre corps sont protégés par la myéline qui constitue une sorte de gaine autour d’eux. Un peu comme un fil électrique est protégé par une gaine en plastique. La sclérose en plaques déclenche des trous au niveau de la myéline, ce qui entraîne des problèmes de conduction. Là encore, la comparaison avec le fil électrique est parlante.
Les symptômes principaux de cette maladie sont nombreux et variés : troubles de l’équilibre, de la marche, de la vision, de l’audition, de la mémoire, de l’élocution… Mais le point commun entre tous les malades, ce sont les douleurs terribles, indéfinissables, et une fatigue omniprésente, allant jusqu’à la nausée.
C’est la grande inconnue et c’est ce qui fait que la sclérose en plaques est actuellement une maladie qui ne se soigne pas.
On parle de facteurs environnementaux : il y a plus de cas dans l’hémisphère nord et, en France, les Hauts-de-France sont la deuxième région la plus touchée. Il semblerait qu’une infection par un virus (EBV - mononucléose infectieuse) puisse jouer un rôle dans le déclenchement de la SEP. Le tabagisme, l’obésité, un déficit en vitamine D et donc d’ensoleillement, une altération du microbiote, font partie des facteurs qui augmentent le risque de faire une SEP et qui sont le plus fréquemment rencontrés.
Est-ce que la génétique entrerait aussi en ligne de compte ? Effectivement, si la SEP n’est pas une maladie génétique, certains gênes sont rencontrés plus fréquemment ce qui expliquerait une plus grande fréquence dans certaines familles. Ce qui est sûr, c’est que c’est une maladie essentiellement féminine avec 3 femmes touchées pour un homme. Pourquoi ? Là encore, peu d’explications pour le moment.
Pour les formes progressives de la maladie, c’est-à-dire qui évoluent constamment, il n’y a que des traitements palliatifs ou de confort. Pour la forme rémittente récurrente, 80% des patients, qui évolue par poussées, il existe un panel thérapeutique d’une dizaine de médicaments pour ralentir la progression et limiter les poussées. On peut ainsi récupérer plus rapidement entre les poussées. Toutefois, il n’existe aucun traitement curatif actuellement.
Aider la recherche est donc primordial…
En effet. Il y a eu énormément d’avancée sur les moyens de soulager les patients, mais trouver la cause de la maladie est essentiel. Actuellement, il y a aussi des études pour essayer de réparer la myéline endommagée. C’est pour cela que la journée du 30 mai est importante : pour mettre un coup de projecteur et inciter au don pour la recherche.
Habituellement, nous mettons en place des tirelires dans les magasins. Cette année, avec les événements sanitaires, nous avons opté pour une cagnotte en ligne. Si je peux utiliser la tribune que vous m’offrez pour une chose, ce serait celle-là : rendez-vous sur le site helloasso et faites un don pour la recherche contre la sclérose en plaques. Ceux qui en souffrent vous remercient de penser à eux.
La Mutuelle Just a été l’une des premières à se lancer dans l’aventure de la mutuelle négociée avec les communes. Cet esprit visionnaire lui permet désormais de compter parmi ses partenaires près de 300 communes qui proposent à leurs habitants une offre santé de qualité, ouverte à tous et à prix réduit. Rencontre aujourd’hui avec le maire de l’une de ces communes partenaires.
Direction Bermerain, petite commune du Pays Solesmois. 720 habitants, dont 25% de seniors. Si Yvan Bruniau, l’édile du village, s’est intéressé à la mutuelle négociée, c’est parce qu’il a été interpellé par la situation de certains d’entre eux. « On m’a fait remonter l’inquiétude de certains de mes administrés qui n’avaient pas de couverture santé, précise-t-il. De ce fait, je me suis intéressé aux solutions possibles pour les aider et les accompagner ».
La solution, M. Bruniau la trouve quand il découvre l’offre de partenariat avec la Mutuelle Just. « Ce qui m’a séduit avec l’approche de la Mutuelle Just, c’est qu’elle mise sur l’esprit mutualiste, loin du commercial pur et dur, concède le maire. La municipalité porte le projet, sert de relais et n’est pas impactée financièrement. Et le plus important, il répond aux besoins de notre population âgée ». Celle-là même qui l’avait interpellé au commencement de la réflexion.
Un accord du conseil municipal et une signature de convention plus tard, la mutuelle prend ses quartiers à Bermerain pour une réunion publique qui satisfait beaucoup M le maire : « Une quarantaine de Bermerinois s’était déplacée ce soir-là. Cela représente tout de même 5% de la population de la ville ! »
Depuis, Yvan Bruniau est pleinement satisfait de cette collaboration qui a débuté en 2016 : « C’est une réelle satisfaction de voir ce projet se pérenniser. Cela notamment grâce à un autre atout de la Mutuelle Just : sa proximité et sa facilité d’accès. Pour régler une question en suspens, c’est tellement plus simple ». Un atout que la mutuelle cultive depuis près d’un siècle…
Être auto-entrepreneur ou diriger une société dont on est l’unique salarié, c’est bien souvent le choix d’une vie professionnelle. Cette aventure entrepreneuriale n’est pas sans contraintes et nécessite un investissement de tous les instants. Un temps précieux que l’on ne consacre pas ou peu à la prise en compte de sa santé. C’est dans ces moments-là qu’un entrepreneur doit pouvoir compter sur une bonne mutuelle.
Pour illustrer cet état de fait, nous allons à la rencontre de Matthieu Colpaert. Ce cinquantenaire gère seul l’EURL Valcart MC à Valenciennes. « Il s’agit d’un magasin franchisé Cartridge World qui vend des cartouches d’encre et laser, explique l’intéressé. Je réalise également des petits travaux d’impression, de reliure, de plastification, ainsi que de la location d’imprimantes ».
Avant de lancer son entreprise, cet ancien salarié d’Auchan disposait de la portabilité de sa mutuelle d’entreprise pendant un an. Une chance pour lui car la réforme de l’ANI, qui oblige les entreprises à proposer une mutuelle à leurs salariés, a complétement laissé de côté les travailleurs indépendants.
Matthieu a tout de même fait le choix de changer de mutuelle après cette période transitoire. Il s’en explique : « J’ai adhéré chez Just car j’apprécie leur ancrage régional. Il y a, de ce fait, une vraie simplicité et une facilité d’accès qui sont importantes car, quand on gère une entreprise, on n’a pas forcément le temps de penser à ses remboursements de soins ». Le chef d’entreprise souligne aussi une vraie capacité de conseil de la part de ses interlocuteurs et des valeurs communes entre lui et la Mutuelle Just autour du sport. N’en jetez plus ! Matthieu est conquis et n’a pas hésité à rattacher ses trois filles à son contrat.
Il y a également un autre point non négligeable qui a fini de convaincre Matthieu Colpaert : le prix. En effet, l’entrepreneur bénéficie d’un des avantages, parfois méconnu, de la mutuelle dite communale. Et justement, Valenciennes est une des 300 communes partenaires de la Mutuelle Just. « En tant que personne travaillant à Valenciennes, je peux profiter des mêmes tarifs négociés qu’un habitant de la commune, acquiesce-t-il. C’est appréciable car cela permet de réduire les coûts des mensualités ».
Cette spécificité est valable dans toutes nos villes et tous nos villages partenaires et offre une vraie plus-value au commerce local. Ce n’est pas Matthieu qui dira le contraire.
C’est dans un imposant bâtiment Art déco classé Monument historique que nous avons rendez-vous avec Sabrina, Adjointe ressources humaines au Touquet Équipements et Évènements. La structure a souscrit une mutuelle d'entreprise chez Just. Explications.
« Nous avons contractualisé avec la Mutuelle Just en 2008, précise d’emblée la pétillante RH. Cela faisait suite à la volonté de nos élus de donner aux salariés un accès plus facile à une protection sociale ». C’est ce qui s’appelle être en avance sur son temps puisque l’obligation pour l’employeur de proposer une mutuelle d'entreprise à ses salariés ne sera effective qu’en 2016…
Être précurseur peut toutefois être à double tranchant et le saut vers l’inconnu peut parfois être problématique. Est-ce le cas au Touquet ? Sabrina répond : « Nous n’avons rien à redire sur l’accompagnement de la Mutuelle Just. Tout roule. Nos interlocuteurs ont toujours été très réactifs pour ce qui est de prendre en compte les nouvelles adhésions, les modifications de données ou les radiations. Du côté de nos salariés, je n’ai jamais eu écho de retours négatifs ».
Deux autres points sont particulièrement appréciés par Sabrina : la proximité et l’échange. « C’est un partenariat très fort. Ensemble, nous mettons en place des réunions d’informations pour expliquer les nouveautés, les changements, les bonnes pratiques aux salariés. Nous avons aussi des rencontres régulières avec notre conseiller de terrain qui vient nous voir pour s’assurer que nous ne rencontrons pas de difficultés. Ce sont des petits plus fortement appréciables ». Et qui permettent à Sabrina, et sa responsable Anna, de gérer les contrats de leurs 80 salariés en toute tranquillité.
La mutuelle communale se développe en France. Cette offre de complémentaire santé présente l’avantage d’utiliser l’effet de groupe pour proposer des tarifs préférentiels. Elle est également un excellent moyen de ramener des personnes ayant renoncé aux soins faute de moyens dans un parcours de soins classique. Dans les Hauts-de-France, la Mutuelle Just a été la première à saisir l’importance de permettre aux habitants des communes de profiter de tarifs négociés. Nous vous proposons aujourd’hui le témoignage de l’un de nos partenaires communaux.
Marchiennes, Nord. Sa célèbre abbaye. Sa forêt domaniale. Et son grand soleil en ce jour caniculaire de juillet. C’est autour d’un verre d’eau fraiche que nous rencontrons Claude Merly, Maire de la ville, et Hélène, responsable du Centre Communal d’Action Sociale (CCAS). Le sujet du jour : la mutuelle communale mise en place depuis plus d’un an.
« J’avais vu passer un article dans les journaux sur le sujet et nous avions de temps en temps la question de la part de certains habitants de la commune, raconte Claude. J’ai donc commencé à m’intéresser au sujet. J’ai consulté quelques-uns de mes homologues et j’ai réalisé qu’une mutuelle communale pourrait être un plus pour mes concitoyens ». Car, quand il s’agit du bien-être de ses administrés, M. le Maire ne transige pas.
Porté par le CCAS de la ville, le projet de mutuelle communale fait son chemin dans les règles. La Mutuelle Just, bien implantée dans le secteur, est consultée, tout comme plusieurs autres acteurs de la complémentaire santé. « Nous nous sommes renseignés auprès de plusieurs mutuelles, explique Hélène, qui gère actuellement avec sa collègue Catherine le partenariat avec notre organisme. La plus intéressante restait Just. Ce choix a été acté en conseil municipal et le partenariat a pu démarrer ».
Réunions publiques, mise en place d’une permanence, outils de communication, tout est mis en œuvre par notre mutuelle pour informer les habitants de cette nouvelle offre solidaire. Ce qu’apprécie M. Merly : « Plus il y aura d’adhérents dans la commune, plus ce sera intéressant pour tout le monde, confirme-t-il. Le fait que Just dédie un conseiller pour des permanences régulières est, dans ce cadre, tout à fait appréciable ». La responsable du CCAS renchérit : « Tout se passe bien. L’organisation est top, il n’y a, pour l’instant, rien à redire. Les réunions publiques ont bien fonctionné et il y aura quatre permanences d’ici la fin de l’année ». De quoi permettre aux 4 600 Marchiennois d’avoir toutes les informations nécessaires pour faire leur choix.
Aujourd’hui, direction Marly, près de Valenciennes. Nous avons rendez-vous avec les représentants de l’Association des Anciens Salariés de PPG (AASPPG). A la Mutuelle Just, cette association est parmi celles qui comptent le plus d'adhérents et cela fait plusieurs années que ça dure.
C’est à l’étage d’une maison de ville que nous rencontrons Gérard, Béatrice et Moïse, respectivement président, trésorière et secrétaire de l’AASPPG.
Il y a plus de vingt ans, un groupe d’anciens salariés de PPG, société spécialisée dans la peinture industrielle, fait un constat : une fois sortis des effectifs de l’entreprise, les retraités ne bénéficient plus de la mutuelle collective de leur employeur. Ils ne peuvent plus prétendre qu’à des contrats individuels, aux prestations moins intéressantes et aux tarifs plus élevés. Une association est donc née, regroupant d’anciens salariés de PPG, afin de mettre en place un contrat collectif de complémentaire santé pour ses membres.
« Au départ, nous sommes restés dans la même mutuelle que celle de PPG, explique Moïse. Mais, très vite, les avantages que nous avions se sont délités. Alors, le président de l’époque a proposé aux membres du conseil de l’association de regarder ce qui se faisait ailleurs et avons choisi la Mutuelle Just ». Désormais, cela fait presque dix ans que la relation entre l’association et la mutuelle perdure.
Et pourtant, ils reconnaissent eux-mêmes leur intransigeance : « Nous sommes chiants, il n’y a pas d’autres mots, acquiesce Gérard en souriant. Nous ne voulons pas forcément la mutuelle la moins chère, mais des garanties avantageuses pour nos adhérents. Nous nous intéressons à toutes les subtilités des contrats ».
Une vraie plus-value pour les 400 familles adhérentes à la Mutuelle Just qui bénéficient d’un vrai relais de la part de leurs dirigeants. « On fonctionne comme ça depuis plusieurs années, en partenariat et en confiance, souligne Moïse. On connait nos interlocuteurs, ils sont à l’écoute et prennent en compte nos propositions pour améliorer le contrat quand cela nous semble nécessaire ».
Cette méthode semble fonctionner puisqu’au 1er janvier de chaque année l’AASPPG renouvelle sa confiance à notre mutuelle, alors même que tous les ans, elle lance un appel d’offres pour interroger le marché. « Notre vice-président nous aide à analyser nos chiffres tous les mois, précise Béatrice, la trésorière du groupe. Nous coachons nos adhérents pour qu’il n’y ait pas d’abus. Quand un membre de l’association se fait démarcher par une autre mutuelle, nous analysons avec lui les garanties et on se rend très souvent compte que notre contrat associatif reste le plus avantageux ».
L’association AASPPG recherche de l’efficacité, de l’écoute et de l’exigence : elle semble avoir trouvé son bonheur avec la Mutuelle Just.
Spécialisée dans la mutuelle communale et la protection santé individuelle, la Mutuelle Just propose une gamme complète d’offres pour protéger votre capital santé.